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Le propre et le sale : l’hygiène du corps depuis le Moyen Age, Editions du Seuil, Paris, 2013, p.196. 27 Amory Lovins, Hunter Lovins, Brittle Power: Energy Strategy for National Security, Brick House, Andover, 1982. 28 Janine Benyus, Biomimicry: Innovation Inspired by Nature, Harper Perennial, New York, 1997. 29 Luc Schuiten, Vers une Cité Végétale, Madraga, Wavre, 2010 ; Dickson Despommier, The Vertical Farm: Feeding the World in the 21st Century, Picador, New York, 2011, pp. 14-34. 30 Michael Braungart, William McDonough, Cradle to Cradle: Re-Making the Way we Make Things, Vintage, London, 2009, p.139, nous traduisons. Sur la vision d’une ville « comme une forêt », voir aussi Luc Schuiten, op. cit., pp.157-159. 31 Il est intéressant de noter que les arbres diffèrent des animaux (qu’ils soient rationnels ou non) dans la mesure où ils consomment non pas des stocks d’énergie très concentrés, mais plutôt des flux d’énergie nettement moins concentrés. Or, si les êtres humains restent nécessairement des consommateurs de stocks d’énergie, rien n’empêche leurs bâtiments et leurs villes de faire la transition vers la consommation de flux énergétiques. 32 Voir, entre autres, Jean-Luc Bertrand-Krajewski, op. cit. ; Vladimir Novotny, Paul Brown, Cities of the Future: Towards Integrated Sustainable Water and Landscape Management, IWA Publishing, 2007 ; Hervé Andrieu, Bruno Tassin, Sylvie Barraud « Hydrologie Urbaine, ou Comment rendre l’eau transparente dans la ville » in Olivier Coutard et Jean-Pierre Lévy (dir.), Ecologies Urbaines, Editions Economica, Paris, 2010, pp.130-139. 33 American Rivers, Daylighting Streams: Breathing Life into Urban Streams and Communities, 2013. 34 Bernard Chocat « Un nouveau paradigme pour les eaux pluviales urbaines » in Revue Techniques, Sciences, Méthodes, 2013, No. 6, pp.14-15. 35 Une eau « brute » doit se comprendre ici comme une eau non-potable destinée à un usage humain. 36 Marielle Montginoul « Les eaux alternatives à l’eau du réseau d’eau potable pour les ménages : un état des lieux », Revue Ingénieries, 2006, No. 45, pp.49-62 ; Jiri Marsalek et al., Urban Water Cycle Processes and Interactions, UNESCO, Paris, 2008, pp.24-25. 37 http://dirt.asla.org/2009/09/03/biomimetic-buildings/ 38 Une eau « grise » est une eau usée qui ne contient pas d’excrément. 39 Jiri Marsalek et al. Urban Water. op. cit., p.53. 40 Michael Braungart, William McDonough, Cradle to Cradle, op. cit., pp.125-127. 41 Nancy Todd, John Todd, From Ecocities to Living Machines: Principles of Ecological Design, North Atlantic Books, Berkeley, 1993, p.103. 42 Olivier Coutard « Services urbains : la fin des grands réseaux ? » in Olivier Coutard et Jean-Pierre Lévy (dir.), Ecologies Urbaines, op. cit., p.117. 43 Gilles Deleuze, Félix Guattari, Mille Plateaux : Capitalisme et Schizophrénie 2, Les Editions de Minuit, Paris, 1980. 44 Ibidem, p.14. 45 Ibidem, pp.18-19. 46 Selon une « étymologie populaire », le mot « peuplier » vient du mot « peuple », car les romains plantaient ces arbres autour de leurs places publiques. Or, le critère par lequel on désigne cette étymologie comme « populaire » tient précisément au fait qu’elle ne se confirme pas par analyse « généalogique » ; mais le rhizome – moyen par lequel le peuplier se propage – est précisément « anti-généalogique ». Dans le cas du peuplier, cette étymologie « populaire » convient donc parfaitement ! 47 Le danger de contamination des eaux potables nécessiterait des sauvegardes supplémentaires. Des « systèmes à barrières multiples » (Jiri Marsalek et al., Urban Water, op. cit., p.31-32) pourraient en principe remplir cette fonction. 48 On pense notamment aux imprimantes 3D. 49 Au-delà de la culture de produits agricoles sur les toits, certains penseurs de la ville biomimétique ont imaginé la généralisation de « fermes verticales » urbaines (Dickson Despommier, The Vertical Farm, 2011). On pourrait peut-être dire que la disposition de leurs plantes hors sol en étages horizontaux correspond à l’imaginaire du « bâtiment-arbre ». 50 « C’est peut-être un des caractères les plus importants du rhizome, d’être toujours à entrées multiples » (Gilles Deleuze et Félix Guattari, Mille Plateaux, op. cit., p.20). 51 « Un rhizome peut être rompu, brisé en un en endroit quelconque, il reprend suivant telle ou telle de ses lignes et suivant d’autres lignes » (Ibidem, p.20). 52 Le rhizome semblerait donc être la figure biologique le plus adaptée à la « troisième révolution industrielle » dont parle Jeremy Rifkin (The Third Industrial Revolution: How Lateral Power is Transforming Energy, The Economy, and The World, Palgrave Macmillan, New York, 2011) ; il incarne à la fois la génération distribuée, le stockage local d’énergie, la latéralité et la résilience. 53 Martin Heidegger « La fin de la philosophie et la tâche de la pensée », Questions III et IV, Gallimard, Paris, 1976b, pp.281-306. 54 Gaston Bachelard, La formation de l’esprit scientifique : contribution à une psychanalyse de la connaissance, Vrin, Paris, 1999, p.38. 55 Karl Popper, The Open Society and its Enemies, Routledge, London, 2011, pp.230-231. 56 Arthur Tansley, “The Use and Abuse of Vegetational Concepts and Terms”, Ecology, Jul., 1935, Vol. 16, No. 3, pp. 284-307. 57 Paul Ricoeur, La Métaphore Vive, Editions du Seuil, Paris, 1975. 58 Le mot « conception » est employé ici au sens large ; il peut signifier aussi bien la « conception » de la ville par des ingénieurs, des designers ou des architectes que la « conception » de la ville qu’ont des élus, des citadins ou des chercheurs. 59 Jean-Philippe Pierron, Les Puissances de l’imagination : Essai sur la Fonction Ethique de l’Imagination, Cerf, Paris, 2012. 60 Martin Heidegger « La fin de la philosophie et la tâche de la pensée », Questions III et IV, Gallimard, Paris, 1976b, pp.298-303. 61 Michel Foucault « Naissance de la biopolitique » Dits et Ecrits III (1976-1979), Gallimard, Paris, 1994, pp.818-825 ; Giorgio Agamben, Moyens sans Fins : Notes sur la Politique, Payots et Rivages, Paris, 1995. 62 Etymologiquement, le mot « catégoriser » signifie « contre » (cata-) l’ « espace ouvert et public » (agora). Toute catégorisation de telle ou telle chose comme ceci ou comme cela suppose donc son émergence préalable dans l’agora. La catégorisation constitue ainsi un état de « clôture » herméneutique, lequel fait suite à l’état d’ « ouverture » herméneutique qui caractérise la présence de toute chose dans l’agora. 63 Paul Ricoeur, La Métaphore Vive, op. cit., p.371. 64 Il est intéressant d’observer dans ce contexte que de nombreux hydrologues urbains ont essayé de théoriser un « changement de paradigme » de l’eau urbaine (Bertrand-Krajewski 2006 ; Novotny and Brown 2007 ; Chocat 2013), mais sont souvent frustrés par la lenteur du changement (Chocat 2013). D’après nous, ce qui manque surtout à ce changement est un nouvel imaginaire de la ville : celui de la « ville forêt ». |
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