Comité National pour la Bientraitance et les Droits des Personnes Agées et des Personnes Handicapées (cnbd)





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Information et communication à destination du grand public

Détermination d’une charte médias
Mesure 2:

Amélioration de la formation initiale et continue de tous les intervenants auprès des personnes âgées : bénévoles et professionnels
Mesure 3 :

Valorisation des actions déjà existantes et structuration des dispositifs de prévention du suicide des personnes âgées et de postvention sur l’ensemble du territoire

Diffusion des outils mis à disposition des professionnels
Mesure 1:

Information et communication à destination du grand public

Détermination d’une charte médias
Objectifs :

>Sensibiliser le grand public au concept de Bien vieillir,

>Diffuser des messages simples et valorisants sur le vieillissement :

>Développer et promouvoir des programmes de prévention de l’isolement et de la fragilité physique et psychique des personnes âgées.
Information et communication à destination du grand public
Ce travail de communication pourra être décliné :
- au niveau national, via une campagne de communication portée par l’INPES proposant des messages populaires, valorisants et facilement appropriables par le grand public. Des exemples pourraient être : « La dépression n’est pas une fatalité / n’est pas inéluctable », « La vieillesse peut être une étape difficile à surmonter » « une aide psychologique peut être apportée même aux âges les plus avancés »……
- au niveau local, via des brochures/flyers proposées par le Conseil général ou l’ARS reprenant les messages nationaux et précisant les ressources/acteurs territoriaux existants.

Ces brochures seraient mises à disposition du grand public à l’accueil des services publics et associatifs intervenant dans le secteur gérontologique.
Ce mode de communication est notamment celui proposé au sein de certaines fiches action du rapport Aquino95.
Au-delà des modalités habituelles de communication (TV, radio, presse, campagne d’affichage…), il est enfin indispensable d’évoquer le rôle d’internet et des réseaux sociaux. Les personnes vieillissantes deviennent de manière de plus en plus fréquente des utilisateurs assidus et compétents des « nouveaux médias ». Toute stratégie de communication doit donc intégrer non seulement le rôle que des sites et des échanges de mail jouent, mais aussi des médias comme Face Book et Twitter, adaptés aux Smart Phones et aux Tablettes. La mise en œuvre des TIC deviendra très rapidement un complément indispensable de l’établissement de liens sociaux, particulièrement importants dans la prévention du suicide.
Le contenu des programmes

Outre la sensibilisation au Bien Vieillir, il est nécessaire de développer des programmes délivrant des informations permettant aux personnes âgées, dès 65 ans, de mieux gérer les situations de crises ou de transition en améliorant leur stratégies de résolution des problèmes (coping) face au stress.
En particulier, la perte du rôle professionnel lors du départ à la retraite et la perte de rôle social inhérent entraînent souvent une baisse de l’estime de soi et renforcent l’isolement, notamment chez les hommes. Dans le cadre des stages de préparation à la retraite et dans l’accompagnement au départ à la retraite mis en place par les DRH, préconiser un renforcement de la sensibilisation au risque de perte de lien social et d’accentuation de la solitude. Pistes pour valoriser l’expérience et valoriser l’estime de soi: bénévolat de compétence, tutorat en entreprise,….
L’annonce du diagnostic d’une maladie sévère ou de son aggravation éventuelle chez un patient âgé est un second exemple de situation de crise qui impose de mettre en place un dispositif de soutien et de prévention.
Le fait que la dépression n’est pas inéluctable au cours du vieillissement et qu’elle peut être traitée avec succès est un message qui doit être largement diffusé auprès du grand public et des personnes âgées. En effet, ces actions de sensibilisation (visant à éviter la stigmatisation de la dépression) auprès des personnes âgées s’avèrent efficaces comme l’a démontré le programme d’intervention japonais permettant l’information des personnes âgées sur la dépression, son diagnostic et sa prise en charge médicale96.

Les journées de sensibilisation et rencontres citoyennes déjà mises en place dans de nombreuses régions françaises devraient être poursuivies et développées à l’intention de certains publics spécifiques telles que les personnes âgées.
Le comité insiste sur l’intérêt de faire passer des messages très simples comme celui développé pour l’alimentation «Chaque jour, mangez 5 fruits et légumes» qui peuvent facilement être mis en œuvre par les personnes, comme par exemple favoriser les actions créatrices de liens intra-communautaires, lutter contre les stigmatisations liées à l’âge et pratiquer un activité physique adaptée ayant une action positive sur le bien-être.
Détermination d’une charte media

Les médias peuvent jouer un rôle essentiel dans la prévention du suicide. La commission souligne l’importance d’établir une charte éthique avec eux. Ce traitement du suicide par les médias n’est pas sans incidence. Le seul fait de son énoncé rend sans doute pensable le même acte pour des personnes en crise, surtout si la personne qui s’est tuée était connue et appréciée, ou dans une situation proche.

Il est recommandé de ne pas mentionner le moyen du suicide, de ne pas présenter de photos, de ne pas donner le sentiment que le suicide a un motif unique, de ne pas l’héroïser ou le justifier, de ne pas trop s’attarder sur ces événements. En lien avec l’impact de l’information, et dans le respect de leurs missions, les journalistes peuvent faire passer des messages positifs de prévention du suicide, notamment en évoquant l’existence de signes d’alerte repérables ou les ressources d’aide existantes.

Dans le cadre des actions de sensibilisation au sein des écoles agréées de journalisme menées par la Direction générale de la santé et le Groupement d’études et de prévention du suicide, visant à proposer aux futurs journalistes des connaissances scientifiques permettant de mieux comprendre le phénomène du suicide, afin de le traiter de la manière la plus adaptée à une démarche de prévention, les aspects particuliers aux personnes âgées devront être spécifiquement abordés.

Mesure 2:

Amélioration de la formation initiale et continue pour tous les intervenants auprès des personnes âgées : bénévoles et professionnels
Objectif :

Garantir une formation de qualité sur les questions de la souffrance psychique et du suicide des personnes âgées, des facteurs de risque, des conduites à tenir en situation de crise, etc. pour les professionnels du secteur gérontologique.

Développer ces modules spécifiques tant lors des formations initiales que lors des formations continues
Le comité propose de renforcer, dans toutes les régions, les programmes de formation pluridisciplinaire et transversale visant au repérage de la crise suicidaire et à la prise en charge des endeuillés après suicide, afin d’améliorer les compétences des professionnels et des bénévoles des institutions sanitaires et sociales et des associations, afin de favoriser l’utilisation par les divers intervenants d’outils communs de réflexion et d’action, en ayant recours à des organismes de formation agréés. Il faut distinguer à cet égard la nécessité de sensibiliser un certain nombre d’acteurs aux situations à risques suicidaires (personnes sentinelles), d’une part, et de former d’autres acteurs au repérage et à la prise en charge de la crise suicidaire d‘autre part.
Renforcer les actions de formation des personnes sentinelles (professionnels, aidants et bénévoles en contact avec les personnes âgées ou très âgées) au repérage de la dépression et de la crise suicidaire chez la personne âgée. Par ailleurs la sensibilisation des acteurs n’a de pertinence que si elle est articulée avec la prise en charge, c’est-à-dire si les acteurs que l’on sensibilise savent à qui et comment, adresser les personnes en souffrance.
Les personnels du domicile tout comme les personnels des établissements doivent être formés pour dépister les troubles de l’humeur et les risques suicidaires.

Les programmes devraient permettre de les sensibiliser à détecter les facteurs de risque de suicide et favoriser la recherche d’aide (en évitant la stigmatisation) dans les situations de détresse. Ceci exige une meilleure formation à la psychologie du grand âge.
Pour les bénévoles, ces actions entreront dans le cadre du programme MONALISA.

Il pourra être fait appel au Conseil de Développement de la Vie Associative (CDVA) pour la promotion de la formation des bénévoles.

Le comité souhaite insister sur l’intérêt de développer la formation à distance. En particulier, l’UNPS développe dans le cadre d’une convention avec l’université de Compiègne un programme de formation à distance à partir d’éléments communs pluridisciplinaires utilisés dans des formations classiques d’associations d’aide et d’accompagnement et destinés aux accompagnants et écoutants (La porte Ouverts, SOS Amitié, Recherche et Rencontres…..).
Former les professionnels des secteurs médico-social et sanitaire dans le cadre de la formation initiale (en privilégiant les échanges inter disciplinaires et inter professionnels) et continue en particulier par le biais de la formation interprofessionnelle (OGDPC).

En particulier, il s’agira de renforcer les actions de formation dispensées aux médecins généralistes sur le repérage des facteurs de risque et de la crise suicidaire chez les personnes âgées et aux spécialistes (psychiatres, gériatres) sur le dépistage et accompagnement de la souffrance et des troubles psychiques des personnes âgées.

Les psychologues, acteurs importants des soins, devront également bénéficier d’une formation dans ce domaine.

Il est par ailleurs important d’intégrer au projet d’établissement des hôpitaux et des établissements médico-sociaux accueillant des personnes âgées une thématique « prévention du suicide » déclinée en  trois temps : formation des personnels, procédure de suivi et d’accompagnement en cas de repérage, organisation visant à la réduction de l’accès aux moyens létaux.
Le comité insiste tout particulièrement sur la nécessité de traiter le thème du suicide des personnes âgées dans toutes les formations déjà existantes sur le suicide.

Mesure 3:

Valorisation des actions déjà existantes et structuration des dispositifs de prévention du suicide des personnes âgées et de postvention sur l’ensemble du territoire.

Diffusion des outils mis à disposition des professionnels
Objectifs :

Mettre les personnes âgées au cœur d’un dispositif où chacune des interventions auprès d’elles (médico-psycho-sociale…) est complémentaire

Donner une réelle visibilité aux dispositifs et outils déjà en place
L’action proposée aura trois volets :

Volet 1 : Etat des lieux exhaustif des dispositifs de prévention mis en place sur le territoire

Dans un premier temps, un état des lieux pourra être mené par les Agences Régionales de Santé (ARS) sur leurs territoires de santé (éventuellement à partir des données déjà disponibles) en lien avec les Conseils Généraux, concernant les actions de prévention et de postvention en cours. Il permettra de faire une cartographie et de déterminer les zones du territoire où un tel dispositif de prévention est opérationnel et celles où un tel dispositif n’a pas encore été mis en place.
Une remontée de la connaissance de ces dispositifs au niveau national permettra de faire une synthèse et de déterminer les actions potentiellement les plus pertinentes.
Volet 2 : Appel d’offre national pour les territoires les moins pourvus:

Dans un second temps, un appel d’offre portera sur les territoires les moins pourvus (c'est-à-dire des territoires sans dispositif organisé de prévention du suicide des personnes âgées) afin de mettre en place des actions s’inspirant des actions déjà mises en œuvre et repérées comme les plus pertinentes. Cet appel d’offre sera mené conjointement par l’ARS en lien avec les Conseils Généraux (voir rapport Broussy et Aquino).
Il nous semble particulièrement important que les dispositifs puissent inclure un schéma de l’organisation proposée avec notamment

  1. L’identification des trois niveaux d’alerte sur le modèle du groupe dispositif d’alerte:

    1. -les personnes qui ont un rôle d’alerte : les personnes sentinelles en contact direct avec les personnes âgées (intervenants à domicile, pharmacien, dentiste, …), les associations de bénévoles dans le cadre du programme MONALISA.

    2. - les personnes qui analysent l’alerte : MG, secteur médico-social (Conseil Général (équipes médico-sociales), CLIC, CCAS

    3. - les personnes qui traitent l’alerte et accompagnent les personnes : coordination gérontologique (Conseil Général (équipes médico-sociales), CLIC, CCAS, réseaux et filières gériatriques) et secteur psychiatrique (hospitalier ou libéral) en lien avec le MG.

On identifiera deux parcours d’accompagnement : l’un pour les personnes âgées déjà dans le circuit de soins pour lesquelles le dispositif veillera à simplifier son parcours (Parcours Personnes Agées en Risque de Perte d’Autonomie : PAERPA) et l’autre pour les personnes hors du circuit de soins que le dispositif veillera à faire accéder aux soins.

En particulier, on veillera à accroître le nombre et l’accessibilité à des consultations spécialisées pour les personnes âgées ayant des troubles psychiatriques et un risque suicidaire faites par des spécialistes formés aux spécificités de la psychiatrie du sujet âgé et aux particularités du vieillissement et de ses pathologies.

  1. L’identification des missions des intervenants notamment :

    1. repérage des facteurs de risque et de la crise suicidaire et rôle d’orientation

    2. prise en charge effective de la crise suicidaire et des troubles psychiatriques des personnes âgées, soutien des facteurs protecteurs. Il sera nécessaire de formaliser des suivis ambulatoires de patients dépressifs (temps de psychologue, infirmier) à domicile comme en établissements.

    3. accompagnement des familles endeuillées par le suicide (postvention).


Une place significative devrait être faite pour les psychologues cliniciens qu’il faudrait pouvoir employer beaucoup plus dans un véritable rôle de « coach » et dont il conviendrait d’augmenter le nombre tant en établissement qu’à domicile. En effet, les psychologues sont formés pour exercer un rôle de conseil, de médiations, et d’accompagnement psychoaffectif irremplaçable auprès des malades et de leur famille, que ce soit par exemple au fil des épreuves d’un soutien à domicile ou dans la préparation et le bon déroulement d’une entrée en résidence pour personnes âgées.

De plus, il serait utile de mieux tirer profit de leurs connaissances au plan institutionnel (à titre préventif) comme, par exemple, dans la mise en place des plans d’aide ou des projets de soin, mais aussi dans l’élaboration des projets de service ou des projets d’établissement.


  1. Des actions de formations en lien avec les organismes de formation professionnelle. On fera appel à des boites à outils à destination des professionnels (en particulier l’outil Mobiqual sur la dépression des personnes âgées, les formations « Prévention du suicide JL Terra »).




  1. Une description des structures porteuses et un plan de collaboration. Le dispositif de recours proposé qui s’appuiera sur des structures préexistantes au niveau local proposera et mettra en œuvre une coordination effective et forte entre le secteur gérontologique, le secteur psychiatrique et les médecins généralistes avec un travail concerté entre ces différents professionnels et le tissu associatif local. On peut proposer aux Accueils de Jour Alzheimer ou syndrome apparentés d’accueillir des patients déprimés et isolés pour les stimuler, restaurer leur narcissisme en les valorisant, jusqu’à une amélioration de leur état.




  1. Une réflexion et un plan d’action sera également fait au niveau du territoire pour limiter l’accès aux moyens létaux : armes à feu, substances toxiques.


Propositions d’indicateurs pour l’évaluation de ces actions

Indicateurs pour l’évaluation des actions

      • nombre de médecins généralistes et spécialistes formés

      • nombre de professionnels non médicaux formés

      • nombre de dépressions diagnostiquées

      • durée de prescription des antidépresseurs

      • diminution du nombre des décès par suicide et des tentatives de suicide.

      • nombre de professionnels accompagnant les personnes âgées à domicile et en établissements


On veillera notamment à la bonne application de la consultation sans délai (article 15.2.4 de la NGAP).
Volet 3 : Appel d’offre en recherche :

Un appel d’offre en recherche devra s’axer sur :

  • La fragilité et les troubles mentaux

  • Le développement et l’évaluation scientifique de prise en charge spécifique (prévention et postvention du suicide des personnes âgées.


En particulier, plusieurs interventions décrites dans la littérature s’avèrent prometteuses et mériteraient d’être évaluées en France telles que :

  • Les interventions visant à rompre l’isolement des personnes âgées par un service téléphonique comprenant deux options ; une option d’appel à utiliser en cas de besoin, et une option de suivi par des appels réguliers.

  • Les interventions visant à informer les personnes âgées sur la dépression, à leur repérage et à leur prise en charge médicale (MG, psychiatres et gériatres).

Une complémentarité des études et travaux de recherche est nécessaire entre les PHRC en recherche clinique, et les analyses de besoins et d’évaluation des soins issues des bases de données de la DREES au Ministère. Le domaine de la suicidologie est au carrefour de plusieurs disciplines, ce qui implique de construire un programme coordonné de recherches sur plusieurs années, avec les organismes concernés : Drees, Iresp, Invs, INSERM, Universités… dans le cadre de l’Observatoire National du Suicide
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