I fécondation, développement embryonnaire et fœtal





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date de publication05.02.2017
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CHAPITRE 7

Procréation et maîtrise de la reproduction
I Fécondation, développement embryonnaire et fœtal :

1- La fécondation :

Qd 1 ovule et 1 spermatozoïde se rencontrent et fusionnent  1 œuf (zygote) qui évoluera en embryon, puis en fœtus pr enfin, après 9 mois, donner naissance à 1 BB.

Procréation suite à rapport sexuel au cours duquel 200 à 300 M de spermatozoïdes sont émis à l’intérieur de l’appareil génital féminin.
a. la rencontre des gamètes :

Conditionnée par la migrat° ds spermatozoïdes dans ls voies génitales féminines et par la libérat° au moment voulu d’1 ovule fécondable, ainsi que sa migrat° dans les trompes de Fallope, lieu de la fécondat°.

  • La migration des spermatozoïdes : project° ds spermatos dans le vagin pendt l’éjaculat°. Le milieu vaginal,

acide, leur est très défavorable. Ls spermatos ne peuvent passer au-delà du col de l’utérus que pendant la période d’ovulat°. Dans l’utérus (milieu favorable), bcp st détruits par ls cellules phagocytaires ; ls autres peuvent attendre 1 j ou 2 avant de progresser vers ls trompes (mvts de leur flagelle et contract° de la paroi utérine). Seuls qques centaines continuent leur avancée dans ls trompes. Lors du passage dans la glaire cervicale, ls spermato st débarrassés du liquide séminal qui inhibait leur maturat° et ls enzymes de leur acrosome st activées. Ils acquièrent leur capacité fécondante : c’est la capacitat°. Ils continuent leur cheminement dans ls trompes et - d’1 centaine arriveront jusqu’à l’ampoule, partie dilatée de la trompe, site de la fécondat°. Voir figure 15 p.53

  • La migration de l’ovocyte : au moment de l’ovulat°, l’ovocyte avec son globule polaire et entouré de cellules

folliculaires (corona radiata) est  vers le pavillon de la trompe, puis la trompe elle-mm (liquide péritonéal et folliculaire). L’ovocyte, bloqué en métaphase équationnelle, progresse jusqu’à l’ampoule tubaire où il pt attendre 12 à 48h d’éventuels spermatozoïdes. Voir figure 16 p.54

b. Les phénomènes de la fécondation :

L’ovocyte obstrue le canal de l’ampoule. Il va piéger qques dizaines de spermato, qui passent entre ls cellules folliculaires et viennent en contact avec la zone pellucide /laquelle ils se fixent grâce à ds protéines mbranaires complémentaires. La mb pellucide est perforée et 1 spermato entre en contact avec la mb plasmique de l’ovocyte. Ls mb plasmiques ds 2 gamètes fusionnent et le spermato, sans son flagelle, pénètre dans le cytoplasme de l’ovocyte.

Activat° de l’ovocyte, puis éclatement ds granules corticaux (la zone pellucide devient imperméable aux autres spermatos : réaction corticale) et reprise de la méiose de l’ovocyte. Emiss° d’1 second globule polaire et transformat° de l’ovocyte en ovule.

Ls noyaux ds gamètes gonflent et migrent vers le ctre de l’ovule pr fusionner : c’est la caryogamie. Dernière étape de la fécondat° : on a 1 cellule œuf à 2n chromosomes (zygote), 1ère cellule de l’embryon.cf 17 p.55 et annexe 6 p.80-83

2- Le dvpmt embryonnaire et fœtal :

1 œuf ayant ds caraq normales va poursuivre son dvpmt. S’il présente ds anomalies chromosomiques, celles-ci risquent d’ la mort de l’œuf, sf dans le cas des trisomies par exemple (fœtus viable).

L’œuf est le + souvent unique. Grossesses multiples rares mais fréquence en  depuis le dvpmt de la « procréation médicalement assistée ». 2 sortes de jumeaux : les homozygotes (vrais jumeaux issus d’1 mm œuf) et les hétérozygotes (faux jumeaux issus de 2 œufs ).

a. Migration et évolut° de l’œuf :

Après format° de l’œuf, débutent ls 1ères  cellulaires donnant 2, puis 4, 8 … cellules (blastomères) qui donneront 9 mois + tard un nourrisson.

L’œuf fécondé poursuit sa migrat° dans la trompe utérine pr s’implanter dans l’utérus dès le 7ème j . Au stade 16 cellules (4ème j), l’œuf a l’allure d’1 petite mûre (stade morula). Puis  de la segmentat° et disparit° de la zone pellucide. Multiplicat° + rapide ds cellules de la couche périphérique que ds cellules internes : format° d’1 cavité (blastocèle).

Les cellules internes se groupent à l’1 ds pôles, formant le bouton embryonnaire, à l’origine de l’embryon. Ls cellules périphériques forment le trophoblaste, à l’origine d’1 partie du placenta. Entre le bouton embryonnaire et le trophoblaste, se forme la cavité amniotique, qui se rempliera plus tard de liquide. L’ensemble constitue le blastocyte qui arrive dans la cavité utérine. Voir figure 18 p.56

b. La Nidation :

Le blastocyte s’1plante ds l’endomètre le 7ème j après la fécondat°. Utérus très réceptif car phase lutéinique (dvpmt maxi du corps jaune). Muqueuse très dvpée et vascularisée, ls contract° du myomètre étt inhibées par la progestérone.

Ls cellules du trophoblaste pduisent ds enzymes qui leur permettent de s’enfoncer dans la muqueuse, ainsi qu’1 hormone, l’hCG (hormone chorionique gonadotrophine) qui permet le maintien du corps jaune qui sécrète les oestrogènes et la progestérone (mise en évidence dans ls tests de grossesse). La progestérone empêche l’utérus de se contracter et permet sa dilatat° au fur et à mesure que l’œuf grossit. A part du 3ème mois, c’est le placenta qui en assurera la product°.

Implantation du blastocyte dans la muqueuse utérine indispensable à l’œuf qui est dépourvu de grdes réserves nutritives et va permettre ds échanges réguliers par voie sanguine.

Proliférat° ds cellules du trophoblaste qui forment 2 couches distinctes : le syncytiotrophoblaste au niveau du pôle embryonnaire (multitude de noyaux sans limites cellulaires visibles) et le cytotrophoblaste (couche interne limitt le blastocène).

Destruct° progressive de la muqueuse utérine, en formant ds villosités, pr permettre à l’œuf de s’y nicher. Destruct° de la paroi ds vaisseaux sguins formant ds lacunes où circulera le sg maternel. + de 40% ds embryons formés ne s’implantent pas.

Vers le 10ème jour, l’épithélium utérin se referme sur le blastocyte : la nidation est achevée.
c. Formation de l’embryon :

Evolut° du bouton embryonnaire qui forme l’embryon et du trophoblaste qui forme les annexes embryonnaires qui vt assurer la protect° et la nutrit° de l’embryon.

  • Devenir du bouton embryonnaire : 8 à 10 j après la fécondation, ° en 3 couches (feuillets germinatifs) à

l’origine de l’ectoblaste (ou ectoderme) : à l’origine du système nerveux et de l’épiderme ; le mésoblaste (ou mésoderme) : à l’origine du derme, de la musculature, du squelette, des appareils urinaires et génital, et du système cardio-vasculaire ; l’endoblaste (ou endoderme) : à l’origine du tube digestif et de ses glandes annexes, de l’appareil respiratoire et de glandes comme la thyroïde ou le thymus. L’embryon formé de 3 feuillets est l’embryon triblastique.

  • Devenir du trophoblaste : à l’origine de la cavité amniotique qui permet le dvpmt de l’embryon en milieu

liquide (protect° contre les chocs et les infections), du chorion (simple membrane) et du placenta. Liquide en permanence renouvelé. Les 2 1er mois, les villosités se forment autour de l’œuf. Le 3ème mois, elles se rassemblent au pôle pr former le placenta.

  • Evolution de l’embryon (voir fig 19 et 20 p.58 et annexe 7 p.83) : le 1er mois, format° ds feuillets et de la

cavité amniotique. Apparit° d’1 sillon d’où dérivera le système nerveux, puis de l’intestin primitif, du tube cardiaque. Le 2ème mois, mise en place ds ébauches de la plupart ds organes. Le 3ème mois, ° ds organes sexuels, allongement ds membres, poursuite de l’ossification. L’embryon devient fœtus et commence à bouger.

  • Evolution du fœtus (voir fig 21 et 22 p.59, 23 p.60 et 24 p.61) :  rapide du poids et de la taille du fœtus, ls

organes st formés et commencent à fonctionner. Le 4ème mois, dvpmt de l’abdomen, peau très fine, battemts rapides du cœur, le tube digestif et ls reins commencent à fonctionner. Poussée ds 1ers cheveux. Le 5ème mois, mvmts perceptibles par la mère. Cheveux de + en + abondants et poussée ds ongles. Ls poumons continuent de se dvper. Le 6ème mois est celui du mvmt. Affinement du visage. Le cerveau continue son dvpmt. Période d’éveil et de sommeil pr le fœtus. Le 7ème mois est celui de l’éveil ds sens. L’enfant entend. Il semble ê sensible à certaines impress° visuelles et aux  goûts de l’alim de la mère. Il suce son pouce. Le 8ème mois, la +part ds organes st fonctionnels. Ls contours s’arrondissent, la peau est - plissée, le duvet qui recouvrait la peau disparaît. Le 9ème mois, l’enfant prend ds forces et du poids. Pendant tte sa vie in utero, l’enfant dépend de sa mère pr son approvisionnement en oxygène et l’évacuat° du gaz carbonique.

  • Le placenta (voir fig 25 p.61) : rôle nutritionnel à part du 3ème mois. Origine maternelle (transformat° d’1

partie de l’endomètre) et fœtale (villosités du syncytiotrophoblaste). Lieu d’échange. Les sgs maternel et fœtal ne se mélangent pas. Ls échanges se font à travers la paroi ds villosités, spécialement par diffus°, transport actif. La barrière sélective laisse passer l’eau, sels minéraux, glucose, AG et AAI à la croissance du fœtus, ainsi que l’oxygène, et rejette le gaz carbonique et ls déchets. Laisse passer ls immunoglobulines de la mère (immunité passive pendant qques mois après la naissance).

Lieu de synthèse d’hormones essentielles au bon déroulement de la grossesse et préparat° de l’utérus à l’accouchement : hCG (sécrétion précoce) qui permet le maintien du corps jaune et la P° d’œstrogène et de progestérone. P° d’œstrogène et de progestérone de + en + importante : le placenta prend le relais du corps jaune.

Le placenta sécrète l’HPL (hormone placentaire lactogène) qui active la maturat° ds glandes mammaires.

L’embryon, puis le fœtus, est relié au placenta par le cordon ombilical (2 artères + 1 veine ombilicales).

  • Embryopathies et foetopathies : les atteintes de l’embryon st généralement + graves que celles du fœtus

car il est très vulnérable. Causes de ss troubles variés : alcool, tabac, rayons X, maladies ….

La rubéole est 1 maladie virale très contagieuse. Ls symptômes peuvent passer inaperçus. Maladie bénigne sf en début de grossesse (transmiss° au futur bébé). Ls femmes l’ayant déjà eu st immunisées. Peuvent survenir chez le futur enfant ds malformat°, surtout dans les 3 1er mois.

La toxoplasmose est due à 1 parasite, le toxoplasme. Très fréquent ds la viande de mouton et de porc, et dans ls viandes mangées saignantes. Les symptômes peuvent aussi passer inaperçus. Maladie dangereuse qu’en cas de grossesse ou de patients immunodéprimés. Symptômes graves pr l’embryon (lés° cérébrales ou oculaires).

La listériose est =ment bénigne chez la mère mais redoutable pr le fœtus. Transmise par ds animaux domestiques ou d’élevage, ou par le biais d’aliments d’origine animale. Symptômes discrets chez la mère mais l’enfant pt en mourir. Le + souvent, la maladie  1 accouchement prématuré donnant naissance à 1 enfant qui mourra souvent en qques j.

Voir annexe 8 p.84-87
II Modifications physiologiques de l’organisme maternel

La grossesse a ds répercuss° / ts ls organes, ttes ls fonctions, ts ls tissus de la mère, ainsi que / son état psycho et / son moral. L’organisme maternel se modifie selon 4 grds axes :

  • L’enfant grandit dc  de la taille de l’utérus

  • Ls seins se préparent à l’allaitement et se dvpt

  • Modif de la +part ds fonct° physiologiques de la mère

  • Préparat° de l’organisme à l’accouchement en fin de grossesse.

1- Le diagnostic de la grossesse :

Retard des règles de + de 5 j (aménorrhée), accompagné de cert1 symptômes tels que nausées, vomissements, tens° ds seins .... Confirmat° du dia : tests urinaires et sguins pr déceler la présence d’hormone de grossesse (bêta hCG).

2- Augmentat° du volume de l’utérus : (voir figure 26 p.65)

 visible entre le 4ème et le 5ème mois de grossesse. L’utérus gagne la place qui lui est nécessaire / l’extérieur, mais aussi sur l’intérieur de l’organisme en comprimant ls organes qui l’entourent. Au fur et à mesure que l’utérus  de vol, l’attitude de la future mère se modifie : ls seins se creusent, la taille se cambre.

3- Préparation à l’allaitement

Tt au lg de la grossesse, ls seins se préparent à sécréter le lait dt se nourrira éventuellement le nourrisson. Dès ls 1er mois, ls seins gonflent,  de vol, deviennent + lourds. A part du 4ème mois, il pt déjà pduire du colostrum, précurseur du lait. Dans ls seins, ls acini (alvéoles sécrétoires) se  et  de vol, comme ls canaux qui conduiront le lait jusqu’au mamelon. Ls vaisseaux sguins s’élargissent. A terme, ls seins st prêts à allaiter. La sécrét° lactée commence en général 3 j après l’accouchement, sous l’act° de la prolactine (hormone hypophysaire). Ls 2 1ers jours, ls seins pduisent encore du colostrum, riche en albumine et vitamines, qui agit comme 1 léger purgatif et aide le nourrisson à se débarrasser de ss 1ères selles (méconium). Voir figure 27 p.66

4- Modifications des fonctions de l’organisme :

Pas ttes aussi visibles que l’ de taille de l’utérus et ds seins. Concernent ls fonctions essentielles de l’organisme (digest°, respirat°, circulat° …). Dues au fait que l’enfant puise ds le sg de la mère ls matériaux qui lui st nécessaires et y rejette ls déchets de son métabolisme. L’organisme maternel doit aussi faire face au dvpmt ds seins et de l’utérus (apport supp de nutriments nécessaire).

Le cœur et la circulat° doivent faire face à 1 W supp occasionné par l’apparit° de la circulat° mère enfant au niveau du placenta.  du sg circulant et du rythme ds battements du cœur. La femme enceinte respire + d’air à chq inspiration.

Ls reins st =ment sollicités car ils filtrent le sg afin d’en éliminer ls déchets. La quantité de sg  et leur W aussi.

Effets indésirables de la progestérone / l’appareil digestif : lenteurs, difficultés de digest°, constipat°…

5- Préparation du corps à l’accouchement :

Pr l’accouchement, l’utérus devra se contracter et l’enfant devra franchir le col de l’utérus et le vagin. Traversée du bassin en apparence inextensible. Ces  organes doivent dc ê préparés à l’accouchement.

Relâchement ds articulat° qui relient les os du bassin pour l’élargir de quelques mm.

Allongement et élargissement ds fibres musculaires de l’utérus. L’utérus sera dc + élastique et pourra se contracter + facilement.  de la circulation sanguine au niveau de l’utérus. Le col de l’utérus s’amollit et devient souple.

Le vagin se transforme : il s’allonge, s’élargit, ss parois s’assouplissent et deviennent extensibles.  ds sécrét° vaginales qui  l’acidité du vagin (excellente barrière contre ls microbes) et apparit° du bouchon muqueux au col de l’utérus en fin de grossesse.

6- Hygiène de vie de la femme enceinte :

Modif du rythme de vie de la maman tt au lg de la grossesse. Le repos et le sommeil st très importants car l’org maternel est très sollicité. L’exercice phys modéré est à encourager (marche, natat° …). L’alim doit ê équilibrée. Eviter de fumer car la cigarette favorise ls accouchements préma et a ds incidences / le faible poids du BB. L’alcool est déconseillé car il passe dans le sg de la mère et du bébé. Sf cas part, ls relat° sexuelles peuvent se poursuivre pdt la grossesse.Voir annexe 8 p.84-87

7- Surveillance médicale de la femme enceinte :

Par le médecin ou la sage-femme tt au lg de la grossesse pr s’assurer que la santé de la mère est satisfaisante et que le bébé se dvpe bien. En France, 7 consultat° prénatales obligatoires : 1 au 1er trimestre, 1 ts les mois à part du 4ème mois et jusqu’à l’accouchement. 1 autre examen a lieu dans ls 8 semaines après l’accouchement.

Le 1er examen doit ê fait par 1 médecin. A pr but de confirmer la grossesse, de préciser son début et son terme probable, d’évaluer ls facteurs de risques … Recueil d’info / la patiente. Nécessité de pratiquer 1 examen d’urine et de sg pr vérifier l’absence de Mies, déterminer le gr sguin et le degré d’immunité face à la toxoplasmose et la rubéole.

1ère échographie vers 12 semaines d’aménorrhée.

Ls exam du 2nd trimestre permettent de vérifier le col de l’utérus (lgueur, imperméabilité) et l’utérus (dvpment) et écoute ds bruits du cœur du bébé. Permettent aussi 1 surveillance de la tens° de la mère, de son poids et de ss urines. 2nde échographie pr dépister d’éventuelles malformations.

Ls exam du 3ème trimestre permettent de prévoir la façon dt va se dérouler l’accouchement (mesure du fœtus, façon dt il se présente, caraq du bassin de la mère). Surveillance particulière du poids de la mère, de sa tens° artérielle, de la présence éventuelle d’albumine dans ls urines ainsi que la hauteur utérine et le col utérin.Voir annexe 8 p.84-87
III L’accouchement :

Sortie de l’enfant hors de l’utérus, hors ds voies génitales de la mère. Avant de naître, le fœtus doit franchir ls mb qui l’entourent (amnios et chorion), le col de l’utérus et le vagin, le bassin osseux de la mère.

Ce st ds contractions puissantes et rythmées qui vont pousser le fœtus vers l’extérieur.

1- Déclenchement :

Le placenta cesse de secréter ls hormones qui maintiennent la grossesse dc reprise des contractions, d’abord faibles et espacées, puis  ds amplitudes et de la fréquence jusqu’au moment de l’accouchement. Stimulat° du muscle utérin. Au fur et à mesure de l’intensification du processus, le col de l’utérus s’efface pr rendre possible la sortie du fœtus.

2- Déroulement :

- Phase de dilatat°: 1ère contractions espacées, brèves et peu intenses. Deviennent progressivement + rapides, + intenses et + lgues. En poussant l’enfant à travers le col de l’utérus, celui-ci s’efface puis se dilate progressivement. Rupture de la poche des eaux.

- Phase d’expulsion : qd le col est suffisamment dilaté, ds contractions très intenses, lgues et rapprochées vt aider l’enfant à sortir. Qd la tête a franchi l’orifice vaginal, le reste du corps passe facilement. La femme aura dû contracter ss muscles abdos à chq série de contract°. L’enfant est né. Son cordon ombilical est ligaturé et coupé.

- Phase terminale ou délivrance : ls contract° utérines qui avaient cessées reprennent après 20-30 min. Décollement du placenta de la muqueuse utérine et expuls° du placenta, ainsi que du reste ds enveloppes rompues et le cordon ombilical : c’est la délivrance.

La +part du tps, l’accouchement se déroule naturellement. Il peut arriver que le corps médical doive intervenir, en utilisant ds forceps ou en faisant 1 césarienne (opération couramment pratiquée ; indiquée pr de nbses raisons : BB trop gros, bassin trop étroit, impossibilité d’accouchement par voie basse …).

- La préparat° à l'accouchement est conseillée à la maman pr mieux vivre son accouchement. 8 séances remboursées à 100%. Le but est de donner ds connaissances / le déroulement de la grossesse et de l’accouchement, de se préparer physiquement par ds exercices respiratoires, musculaires et de relaxat°.

3- Les suites de couches : 

Commencent dès la fin de l’accouchement et durent 6 à 8 semaines jusqu’au retour des règles (retour de couches).

Les organes retrouvent peu à peu leur place et leur taille. L’allaitement, en provoquant des contract° utérines, facilite la rétractat° de l’utérus.

Chez certaines femmes, ls profondes modif hormonales qui se produisent après l’accouchement peuvent  la dépress° post partum.
IV- L’allaitement :

Pendant la grossesse, ls seins se préparent à pduire du lait. Après l’accouchement, la product° d’oestrogènes et de progestérone  brutalement, permettant l’act° de la prolactine (libérée par l’hypophyse). Elle stimule la croissance ds glandes mammaires et  la P° de lait par ces glandes après la naissance. La succ° du mamelon stimule la P° de prolactine, ce qui permet de maintenir la P° de lait.

Evacuat° du lait assurée par 1 autre hormone, l’ocytocine, synthétisée par l’hypothalamus. Elle  la contract° ds canaux ds glandes mammaires. Sécrét° déclenchée par la succ° ds mamelons ainsi que par ds facteurs psycho.

1ers jours, P° de colostrum, riche en anticorps maternels : protect° du nourrisson contre ls infections ls 1er mois. Progressivement, il est remplacé par le lait, + riche en protéines et lipides.

Lait maternel le + adapté au nourrisson : facile à digérer, bien tolérer, n’ pas de risque d’allergie aux protéines, fer maternel bien absorbé. L’allaitement permet, s’il se passe bien, 1 contact intense entre la mère et l’enfant.
V- La maîtrise de la reproduction :

A pr but d’éviter la format° d’un embryon ou d’empêcher se nidat°. Les moyens contraceptifs sont multiples.

1- Contraception masculine :

- Le retrait : interruption du rapport sexuel avant l’éjaculat°. Aucune préparat° nécessaire. Efficacité relative, difficulté d’emploi pr certains hommes, frustrat°.

- Le préservatif : protège ls partenaires contre le risque de transmiss° ds MST (en particulier sida). Totale innocuité, facilité d’emploi mais mal acceptés par cert1 hommes. Tx d’échecs faible (rupture du préservatif ou mauvaise utilisat°).

2- Contraception féminine :

+ variées. Peuvent ê physiques, chimiques ou hormonales.

- Méthodes naturelles : basées / l’obs ds manif du cycle (temp corporelle, aspect de la glaire cervicale). Innocuité totale. Demandent 1 formation adéquate et 1 rigueur d’enregistrement ds informations pr ê efficace.

- Le diaphragme : appareil en latex que la femme place dans son vagin avant chq rapport. Il forme 1 obstacle à la progress° de spermatozoïdes. L’act° pê renforcée par l’utilisat° de crème spermicide. Tx d’échec faible et du à 1 mauvaise utilisat°. Ls pdts spermicides ont pr but de tuer ls spermatos. Gels, crèmes et mousses st utilisés en appoint avec 1 préservatif ou 1 diaphragme. Existent =ment ls ovules, éponges et tampons à placer dans le vagin.

- Le stérilet ou dispositif intra-utérin (DIU) : empêche la nidat° de l’œuf. Nbx modèles, recouverts d’1 fil de cuivre ou de progestérone. Placé dans l’utérus par 1 médecin. Taux d’échec très faible. Efficace entre 4 et 5 ans. Aucun soin particulier. Inconvénients divers mais rares.

- La pilule : composée d’hormones de synthèse normalement sécrétées par l’ovaire (oestrogènes et progestérone). Empêche la fécondat° en bloquant l’ovulat°, en transformant la muqueuse utérine qui devient impropre à la nidat° et en modifiant la glaire cervicale qui fait obstacle à la progress° ds spermatos. Efficacité proche de 100%. Inconvénients très rares. Nécessite 1 suivi médical régulier. La pilule du lendemain fait partie des contracept° orales d’urgence. Le but est éviter qu’1 grossesse ne survienne après 1rapport sexuel à risque. Doivent ê prises le + tôt possible après le rapport et avant 72h.

- L’IVG : cf annexe 6 p 78

Voir annexes 9 et 10 p.88-91

VI La stérilité et ses traitements :

1- Causes de la stérilité :

Stérilité : absence de grossesse après 2 ans de rapports sexuels non protégés.

Pê traitée au bout d’1 an de tentatives infructueuses pr avoir 1 enfant. Pê le fait de pb chez l’homme ou chez la femme. Séparément, cs problèmes peuvent ê mineurs, mais additionnés, ils compromettent la grossesse. La stérilité pt aussi ê d’ordre psychologique. La 1ère cause d’infertilité d’1 couple est la stérilité des femmes (40%).

- Chez la femme : ls causes traditionnelles st le dérèglement hormonal (traitement de stimulat° ovarienne ou inséminat° artificielle ou fécondat° in vitro), 1 détériorat° ds trompes (suite à 1 infect° liée à 1 MST ou en raison d’1 grossesse extra-utérine) qui empêche la rencontre entre ls gamètes (qd ls trompes ne peuvent ê réparées, recours à la FIV) ou ds malformat° de l’utérus. S’ajoutent aussi ds demandes de grossesse de + en + tardives. Or, la fécondabilité  à partir de 35 ans.

- Chez l’homme : à l’origine de 20 à 30% ds cas d’infertilité dans le couple. Causes : les spermatos ne st pas assez mobiles, ont 1 forme anormale ou st peu nombreux ou inexistants. Traitements presque inexistants. Qd il y a absence totale de spermatos, recours au don de sperme. S’il y a présence de spermatos en nb insuffisant ou pas assez mobiles, recours à la micro-injection.  générale de la qualité du sperme depuis les années 50. Plusieurs facteurs : tabac, pollution, urbanisation … et surtout ls composés chimiques. Le stress et ls expositions fréquentes au froid et au chaud peuvent aussi perturber la spermatogenèse.

2- Traitements de la stérilité :

Ls traitements s’adaptent à la cause de la stérilité, si connue. Ce st ds techq de procréa° médicalemt assistée (PMA).

- L’insémination artificielle : 1 ds techniques les + courantes. 2 types : l’inséminat° artificielle avec sperme du conjoint (IAC) et celle avec le sperme d’1 donneur (IAD). Dépôt à l’intérieur du vagin, du col de l’utérus ou de la cavité utérine, 1 peu de sperme.

- Fécondation in vitro et transfert d’embryons (FIVETE) : faire réaliser la fus° ds 2 gamètes en labo (in vitro) plutôt qu’à l’intérieur de la trompe de Fallope de la patiente (in vivo). Implique 1 stimulat° de l’ovulat° pr obtenir +sieurs ovocytes qui donneront 1 meilleur tx de grossesse. Au moment opportun, ls ovaires st ponctionnés pr en aspirer le

contenu et en obtenir ds ovocytes. Ces ovocytes st incubés avec ds spermatos du conjoint capacités. La fécondat°, qd elle se produit, a lieu dans les 48h qui suivent. Ls embryons st alors déposés dans la cavité utérine pr que l’implantat° puisse se faire ls j suivants. Voir tableau 4 p.75

- Techniques dérivées de la FIV : transfert de gamètes dans ls trompes (GIFT), de mm pr ls zygotes (ZIFT) ou ls embryons (TET).

- Injection intracytoplasmique de spermato (ICSI) : ls spermatos proviennent de sperme éjaculé. Micro-injection de spermatos à l’intérieur de l’ovocyte. Complémentaire de la FIV. Son but est de court-circuiter l’étape de fixation-fusion-pénétration du spermato dans l’ovocyte quand il existe un dysfonctionnement au niveau de cs phases. Introduction mécanique sous microscope d’un spermato vivant, à l’intérieur de chaque ovocyte recueilli par ponction.

- Diagnostic pré-implantatoire : pê assoc à 1 FIV qd il y a risque de maladie génétique. Voir annexe 11 p.92

3- La procréation médicalement assistée et l’éthique

Le dvpmt ds PMA a donné lieu à la mise en place de la loi de bioéthique de 1994, révisée en 2003.Voir annexes 12 et 13 p.93-94

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