«Les nouvelles technologies au domicile des personnes âgées : la réflexion du Département du Rhône» par Yves-Armel martin





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date de publication06.02.2017
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« Les nouvelles technologies au domicile des personnes âgées :

la réflexion du Département du Rhône » par Yves-Armel MARTIN
« Le projet en cours sur le département du Rhône - nommé E-domicile 69- a pour objectif d’étudier comment faciliter le maintien à domicile grâce aux technologies informatiques.
Pourquoi s'intéresse t-on au maintien à domicile comme alternative au placement en institution ?


  • Car il est de plus en plus demandé par les familles et les personnes dépendantes.




  • Il est souvent moins coûteux qu'un placement en établissement. Par exemple une Hospitalisation A Domicile (H.A.D.) est évaluée autour de 150 euros alors qu’une journée d’hôpital peut coûter environ 800 euros. Par contre, une personne maintenue à domicile par des personnes présentes 24 heures sur 24 coûte trois fois plus cher qu’une personne placée en établissement.




  • Les personnes à domicile restent sur le territoire et permettent de faire bénéficier de leur richesse et de leur ressource humaine.


L'objectif du projet que nous conduisons est d'étudier comment les technologies d'information peuvent aider à prolonger le maintien à domicile des personnes dépendantes. Nous avons travaillé en trois phases :


  1. Réalisation d’une étude de besoins -dont le Professeur RIBES vous a rendu compte d’une partie- au niveau des personnes âgées et des aidants. Vous aurez l'autre partie ultérieurement concernant les professionnels.




  1. Proposition d’un certain nombre de scénarios d'usage et de services qui permettaient de répondre à ces besoins.




  1. Réalisation d’expérimentations grandeur nature sur le département pour valider ces scénarios.


Cela représente un certain nombre d’opportunités sur le département du Rhône. Pourquoi ?


  • Le Conseil Général est chef de file de l'organisation du maintien à domicile ; il y a un travail de coordination des différents acteurs à mener.




  • Le Rhône est couvert en réseau haut débit, cela permet d'avoir des accès permanents et peu coûteux à Internet.




  • Les technologies de l'information, le numérique, l’Internet, les ordinateurs se démocratisent :




    • en terme de coût : avec des abonnements à 30 euros par mois, la France est le pays où le haut débit est le moins cher en Europe et presque dans le monde.




    • en terme d'usage : ce sont des outils qui se vulgarisent et se généralisent auprès des familles et des professionnels, si bien que le champ des possibles est plus important qu'auparavant.




      • Les nouvelles technologies rendent les objets communicants. Le fait que l’on ait des réseaux qui puissent arriver dans toutes les maisons, dans toutes les entreprises, le fait que l'on ait des objets de moins en moins chers, qui peuvent être connectés au réseau, offre de nouvelles fonctionnalités que l’on n’imagine pas forcément a priori. A travers cela, l’accès aux nouvelles technologies ne doit pas se restreindre à utiliser internet sur un ordinateur ; il y a des variantes peut-être plus accessibles pour les publics auxquels nous pensons.


Suite à l’étude qui vous a été présentée, nous avons envisagé un certain nombre de services qui nous semblent émergents et sur lesquels nous chercherons à conduire des expérimentations :


  • Répondre aux peurs de la chute et à l'inquiétude que peuvent avoir les personnes âgées ou leur famille concernant un incident au domicile dont on s’apercevrait trop tard : il s’agit de la surveillance médicale de jour et de nuit :




    • des bracelets actimétriques détectent le mouvement et permettent, par exemple, de détecter une chute, une perte de conscience de la personne et alors de déclencher une alerte,




    • la détection d'activité : il suffit de brancher un appareil sur le compteur électrique. Il peut apprendre comment fonctionne une maison et détecter quand il y a une inactivité qui n’est pas normale ou une lumière qui est restée allumée la nuit dans une salle de bains et que la personne n’en est pas ressortie. On peut, sans avoir à filmer chaque endroit de la maison -ce qui serait très intrusif- simplement en observant les appareils électriques, détecter des comportements qui ne sont pas normaux et déclencher des alertes.


Ces technologies existent, vont exister et vont être accessibles financièrement. Notre problématique à nous n'est pas de les développer ; cela appartient aux industriels et aux chercheurs, mais de les intégrer dans les dispositifs si elles s'avèrent utiles. Par ailleurs, quelle est la procédure en cas de problème ? Dans le cas de la chute, ce n'est pas simple. Si quelqu'un chute, par exemple en milieu rural, comment cela va être traité, qui alerter et de quelle manière ? Au delà de la technologie, l'organisation derrière est très importante. Si on n'a qu'un bout de la chaîne, la technologie ne sert à rien.


  • Coordonner des acteurs. C'est parfois moins visible car ce ne sont pas forcément des services que va utiliser la personne âgée elle-même. Ce sont plutôt des outils qu'on appellerait de back-office, d’arrière-cuisine, qui vont servir à organiser la coordination de tous les acteurs, qu’il s’agisse des acteurs sociaux, des acteurs du paramédical, de l’aide à domicile, voire des familles, pour que tous puissent travailler ensemble autour de la personne âgée. On voit que la problématique n'est pas d'avoir un outil adapté à la personne âgée mais plutôt un outil qui soit efficace pour l'ensemble des aidants pour qu’ils puissent travailler ensemble.




    • ce sont typiquement des outils qui vont être destinés aux Maisons du Rhône qui ont la fonction de CLIC pour assurer cette coordination avec les différents acteurs. A travers cela, il s'agit de rechercher des outils qui vont aider les aidants et soulager leur tâche.




  • les outils de communication, ceux qui permettent de créer du lien, de mettre en relation la personne âgée avec sa famille ou avec des professionnels ou la famille en lien avec les professionnels dans le but de combattre l’exclusion numérique.


Aujourd'hui, de plus en plus de personnes utilisent des réseaux numériques pour communiquer entre elles. On voit des familles entières qui s’envoient des photos des enfants par Internet, des SMS. Celles qui n'ont pas accès à ces outils en sont exclues. La solution n'est pas forcément de se former à l'ordinateur ou d’avoir un téléphone portable ; il y a un certain âge dans la vie où cela peut être difficile de s’y mettre. Il y a des outils qui peuvent être envisagés, qui vont permettre de façon assez simplifiée à une personne âgée de voir les photos numériques ou de recevoir des messages.
Quelques exemples de ces techniques : si ce sont des outils assez banaux, il faut par contre les tester et les appliquer à la personne âgée. Le cadre photo en réseau permet d’afficher des photos électroniques (entre 100 et 200 euros). Il fonctionne en réseau dans les nouveaux modèles. On pourrait imaginer une personne qui a quatre enfants et une quinzaine de petits-enfants avec dans son salon quatre cadres-photos qui sont mis à jour par les petits-enfants en question qui eux-mêmes ont accès à l'ordinateur et à l'appareil photos numérique pour mettre à jour leur site sur Internet. Ces informations vont s'afficher dans le salon. La personne âgée est ainsi incluse dans les échanges numériques de photos. Cet outil n'est pas intrusif. Il permet aussi réciproquement aux autres membres de la famille de leur faire penser qu'il y a d'autres personnes à qui ils doivent s’adresser et de créer du lien.
Autre exemple : il existe une imprimante Presto qui est coproduite par Hewlett Packard. Elle est typiquement étudiée pour les personnes âgées : c’est une imprimante qui, une fois par jour, va imprimer tous les messages que cette personne a reçus. Quand elle n'a plus d'encre, elle

envoie un mail à la personne qui l'a installée. Ainsi, toute la complexité technique est reportée sur les générations qui savent s’en servir et cela permet à la personne âgée d'avoir son journal familial imprimé, une fois par jour ou par semaine, à défaut de recevoir des mails et de pouvoir y répondre de manière simple.
Ce sont là des exemples d’objets communicants qui ne sont pas des ordinateurs, qui fonctionnent de manière autonome et permettent à la personne de recevoir des informations. Il y a ainsi un certain nombre de projets qui permettent d'afficher des SMS sur des interfaces très simples sans avoir à réinventer et se mettre à l'informatique.


  • Les actifs sont pris dans des rythmes de plus en plus fractionnés et pour cela ont recours à des outils de communication asynchrones. On utilise le mail et le SMS pour communiquer avec d'autres personnes, cela consiste à laisser des messages pour que chacun, à son propre rythme, les traite quand il en a besoin. C’est un vrai bénéfice pour ceux qui utilisent ce système.


Il est vrai qu’il y a une rupture entre ceux qui savent utiliser les outils asynchrones et ceux qui ne savent pas le faire. On se dit par exemple que le visiophone est bien pour la personne âgée car elle va pouvoir voir son interlocuteur ; c’est un plus mais l'interlocuteur a-t-il le temps de recevoir un appel, de plus en visio, alors qu'il est pris dans un rythme effréné et qu’il préfère fonctionner à son propre rythme ?
L’une des problématiques de ces outils relationnels est de permettre d'avoir des outils asynchrones avec une technologie simple d’utilisation. Les deux exemples que je vous ai cités en sont l’illustration.
Il faut avoir un certain nombre de points de vigilance par rapport à ces différentes pistes :


  • Usage à propos des technologies, toutes les technologies ne sont pas bonnes :




    • pallier à l’absence mais non pas remplacer la présence.




    • automatiser ce qui est de l'ordre administratif pour libérer du temps et des ressources pour le relationnel. On va par exemple s’interdire de remplacer une relation personnelle par une machine. A priori on pourrait dire « C’est pratique, la personne âgée va pouvoir piloter avec telle interface quelque chose ». Si on réfléchit on se dit que si elle peut donner un coup de téléphone et avoir un contact avec quelqu’un c’est plus important pour elle. Par contre, la complexité qui est de gérer sa commande de repas ou autre doit être laissée aux professionnels ; c’est le traitement administratif qui doit être le plus informatisé possible et la relation doit être privilégiée. Il vaut mieux laisser du temps aux gens qui travaillent avec les personnes âgées pour qu'ils soient présents auprès d’elles.




    • rechercher l'autonomie de la personne âgée. Il ne s'agit pas de la barder de technologies qui vont faire qu’elle va se sentir dépossédée de quelque chose et se dire « La marche est trop haute ; je ne peux pas la franchir. Donc je deviens dépendante aussi de cette technologie ». Il faut privilégier la simplicité à la sophistication en renonçant à certaines fonctions qui nous semblent bonnes dans la théorie mais pas acceptables ou susceptibles d’exclure la personne qui les utilise.




  • Les générations de personnes âgées ont des rapports aux technologies qui évoluent.




    • pour un senior aujourd'hui, le rapport au numérique peut être très différent d'un autre. Quelqu'un qui a pris l'habitude d'utiliser le réseau et qui en a eu un vrai bénéfice, même s'il perd la capacité physique d'utiliser ces outils, aura la compréhension du bénéfice qu'il peut en retirer.


On pourra faire des choses avec lui qu’on ne pourra pas faire avec quelqu’un qui n’a jamais utilisé ces outils. Ce qui est vrai aujourd’hui pour les personnes en voie de dépendance ne sera pas vrai dans dix ans ; les choses vont évoluer et tous les projets que l’on peut mettre en place doivent évoluer à une même vitesse. Or, le domaine des nouvelles technologies est complètement mobile. Il faut donc avoir des dispositifs flexibles.


  • Le dernier point est la manière dont on développe l'usage des technologies.

Les technologies sont rarement inventées pour répondre à un besoin. On ne vous a pas demandé si vous aviez besoin d’un e-mail ; on vous a proposé un e-mail ; vous l’avez utilisé, vous avez inventé l'usage que vous en avez fait avec. De même le téléphone a été inventé au départ pour écouter la messe ou l'opéra pour les gens qui étaient malades. Celui qui l’a inventé n’imaginait pas que l’on s’en servirait pour communiquer entre deux personnes.
Nous sommes dans une logique de l’offre. Le champ des possibles est très important. L'usage qu'on en imagine est très différent de l'usage qui en est fait. La manière de faire est de proposer un choix assez large de technologies à des usagers, de voir quelles sont les pratiques qui se développent et ce sont celles-là qu'il faut filtrer, renforcer, développer. On pourrait imaginer comme allégorie un jardin où on sème des graines dans toutes les directions, puis on regarde les plantes les plus importantes qui poussent et ce sont celles-là que l’on va développer.
Le développement des usages des technologies est ainsi ; on ne peut pas prédire à l’avance comment cela va évoluer, qu'est-ce qui aura de la valeur pour l'utilisateur. Il faut le confronter à l’utilisateur et on voit émerger des choses.
En termes de méthode, il semble indispensable de passer par des phases d’expérimentation. On regarde continuellement le champ des possibles pour avoir différents scénarios relativement ouverts :


    • ne pas être figé sur une seule application et faire émerger des usages intéressants,




    • faire évoluer les design et fonctionnalités au fur et à mesure des retours,




    • identifier les freins et les fausses bonnes idées.


On a le droit à l’échec dans ce domaine ; il faut se dire qu'on peut se tromper et il est important de voir ce qui ne marche pas. Trop souvent les projets technologiques nous sont communiqués comme étant de grandes réussites. Or finalement ce que l’on a appris c'est ce que l’on a raté. Il faut communiquer s’il y a des choses qui ne fonctionnent pas, voir ce qui ne fonctionne pas et pourquoi ; c’est ainsi que l’on apprend des choses par l’expérimentation.


  • Il faut trouver des personnes âgées, des aidants, des professionnels volontaires et motivés qui vont pouvoir inventer eux-mêmes et auront suffisamment d'autonomie pour inventer le bénéfice qu’ils vont trouver de ces technologies.




  • Il faut compléter cela par une évaluation économique et éthique. Economique car si le champ des possibles est infini, la réalité économique est autre chose. On peut envisager un petit bénéfice avec quelque chose qui ne coûte pas cher mais si quelque chose coûte très cher il faudra qu’il y ait un fort bénéfice. Il y a une réalité économique qu’il faut étudier dans tous ces projets et évidemment garantir un cadre éthique. Chacun ici y sera naturellement sensible.

  • Dernier point, il faut chercher un bénéfice pour l'ensemble des intervenants du projet. Le bénéfice n'est pas simplement pour la personne âgée. Imaginez que l’on demande à la personne qui porte les plateaux repas de faire une petite évaluation de ce que la personne âgée a mangé ou pas pour pouvoir le rentrer dans un système et permettre de savoir en central ce qui va, ce qui ne va pas, détecter des choses. On voit le bénéfice pour la personne âgée par rapport au système mais on ne voit pas le bénéfice pour la personne qui va faire cela : cela va lui prendre plus de temps et être un coût supplémentaire pour elle.


Sur l'ensemble de la chaîne, par exemple quand on pense à la communication entre le médecin et la personne âgée, il faut qu’il y ait un bénéfice aussi pour le médecin, soit sous forme de rémunération, soit sous forme de temps gagné.
Pour l’ensemble des projets, il faut penser à chacun des acteurs et voir si l’on va gagner dans le nouveau dispositif. Sinon, il faudra compenser.

Concernant notre démarche, nous avons fait cette étude de besoins et nous avons un certain nombre de scénarios sur les trois points que je vous ai indiqués :


  • la sécurité de la personne à domicile,

  • la mise en réseau des acteurs,

  • les relations interpersonnelles.


Dans les mois qui viennent, le département va mettre en place un protocole d’expérimentation qui va être lancé sur des fragments assez limités, de manière à explorer ces différentes voies dans les deux trois ans qui viennent ».

Question : Comment faire pour participer au programme e-domicile 69 en tant que personne âgée ou aidante ?
Réponse : Comme vous avez pu le voir, les lieux et les contours de l’expérimentation n’ont pas été déterminés. Il y aura un certain nombre d’expérimentations qui seront assez lourdes et vraiment liées à la coordination gérontologique locale ; on choisira certains cantons ou un hôpital particulier ; il y aura quelques lieux qui seront dédiés précisément à cela. Par ailleurs les gens intéressés, en tant que particuliers ou en tant qu’aidants, peuvent me contacter (yam@erasme.org) en me signalant leur intérêt pour la chose. Cela permettra d'identifier des gens volontaires.
Question : Que signifie TIC ?
Réponse : Ce sont les Technologies de l'Information et de la Communication. Derrière ce terme on met tout ce qui est informatique communicante : Internet, ordinateur, téléphones mobiles,…
Question : Parmi les nouvelles technologie,s quelque chose est-il prévu pour les personnes âgées mal voyantes ou non voyantes à domicile ? En effet comment ces personnes peuvent-elles utiliser un écran tactile ?
Réponse : Il existe un certain nombre de technologies qui sont destinées à rendre les ordinateurs parlants pour les personnes non voyantes. Ce sont des personnes handicapées, des aveugles qui ont beaucoup développé cela et qui ont des outils qui sont souvent relativement techniques. Pour se les approprier, il faut apprendre par exemple à taper sur un clavier. J’ai un bon exemple en tête : ma voisine de 85 ans, aveugle depuis une dizaine d’années, s’est mise à l'informatique il y a deux ans. Elle est très volontaire : elle s’est formée toute seule à l’utilisation de ce type de clavier. Mais c'est un investissement relativement important.
Il existe d'autres outils. On est en train de réfléchir à une expérimentation en utilisant par exemple un lapin communicant, le Nabaztag. C’est un appareil qui est connecté au réseau : on peut lui bouger les oreilles, il a un capteur quand on le touche, et il synthétise ses informations par des phrases orales. On peut par exemple programmer ce lapin sur une adresse et quand on va lui taper sur la tête il va lire en synthèse vocale les mails reçus. Ou bien on lui appuie sur la tête, et on lui dit « France-Inter » et il va aller chercher sur le réseau France-Inter. C’est assez simple. Il a aussi un lecteur de puce ; cela permettrait de coller des petites étiquettes qui coûtent moins d'un euro sur les différentes boîtes de médicaments d'une personne aveugle qui va prendre ces boîtes, les passer sous le nez du lapin qui va lui dire ce qu’est le médicament, quelle en est la posologie. C'est un appareil qui a été développé au départ comme un gadget pour les férus de l'informatique mais, comme il est fait pour le passage vocal, il pourrait avoir un intérêt pour ces publics non voyants. Nous allons le tester prochainement à Erasme dans cet objectif.

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