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Mise à jour sur la toxicomanie pour les médecins généralistes 20 et 21 octobre 2006 Retrouvez tous les documents du séminaire sur http://aliser92.com/ Portail des professionnels de santé exerçant dans le Nord du 92 Bibliographie
http://www.ors-idf.org/etudes/pdf/RapportTREND2006.pdf
http://www.paris-nord-sftg.com/cr.accueil.toxico.98.htm
écoute et orientation : Cannabis 0 811 91 20 20 : prix d'une communication locale depuis un poste fixe de 8 h à 20h Ministère des Solidarités, mission interministérielle de lutte contre la drogue et INPES OFDT : Office Français des Drogues et Toxicomanies : http://www.ofdt.fr/ L'Atlas régional des consommations de produits psychoactifs des jeunes Français Exploitation régionale de l'enquête ESCAPAD 2002/2003- Juin 2005 Auteurs :François Beck, Stéphane Legleye, Stanislas Spilka (OFDT)
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Après les Suisses, les Canadiens en héros de la réduction des risques. Voyez le point 3, ils sont trop bien.
-------------- POLITIQUES PUBLIQUES Mildt : la France va élaborer un plan européen de lutte contre la drogue Selon la MILDT, le plan européen anti-drogue sera calqué sur celui de la France Source : AFP, Date: 04/03/2008 La France va élaborer avec la Commission Européenne un plan de lutte contre la drogue qui doit être lancé en juillet, a annoncé mardi le président de la mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (Mildt), Etienne Apaire. "Nous allons travailler avec la Commission Européenne pour mettre en place à partir de juillet un nouveau plan européen de lutte contre la drogue", a déclaré M. Apaire. Cette date coïncidera avec le moment où Paris prendra la présidence de l'Union européenne (UE). Ce plan "reprendra cette fameuse approche globale un peu inventée par la France" associant prévention, répression et soins, a-t-il précisé lors d'une conférence de presse avec le secrétaire général de l'Office international de lutte contre le trafic de stupéfiants (OICS), Koli Kouame, à l'occasion de la présentation du rapport annuel de l'OICS, dépendant de l'Onu et basé à Vienne. "S'agissant de la France, la Mildt sous l'autorité du Premier ministre et sur instruction du président de la République est en train de préparer un plan de lutte gouvernemental contre les drogues et les toxicomanies", a ajouté M. Apaire. "Nous avons décidé de réintroduire de manière très claire l'interdit pesant sur les drogues illicites", a-t-il rappelé, évoquant des "sanctions pédagogiques", comme les "stages de sensibilisation" aux drogues, prévus par la loi Sarkozy de prévention de la délinquance du 5 mars 2007 et disponibles en principe depuis le début de l'année. Le président de la MILDT a également insisté sur les ravages de la cocaïne, dont "la consommation a doublé depuis 2002". "Nous avons une répartition de cette cocaïne très importante à travers toutes les strates de notre société. Les réseaux de distribution de cannabis sont en train de se convertir à la distribution de cocaïne", a-t-il affirmé. Selon lui, en France 100.000 personnes reçoivent des produits de substitution à l'héroïne. "Je crains malheureusement qu'il n'y ait pas de substitution s'agissant de la cocaïne", a-t-il dit. -------------- NOUVELLE SUBSTANCE STUPEFIANTE BZP : un nouveau stupéfiant officiel en Europe et en Nouvelle-Zélande... Source : http://www.emcdda.europa.eu/attachements.cfm/att_49695_FR_BZPDecision2008FinalFR.pdf Date : 03/03/2008 L'Europe a aujourd'hui répondu aux préoccupations concernant la consommation de la drogue stimulante appelée BZP, en la soumettant à des «mesures de contrôle et des dispositions pénales» dans tous les États membres de l'UE. La décision par le Conseil de l'UE (1) a été adoptée aujourd'hui au stade final d'une procédure en trois étapes mise au point pour répondre à de nouvelles drogues psychoactives potentiellement dangereuses dans l'UE (2). La décision du Conseil repose sur les constatations d'un rapport formel d'évaluation des risques de la BZP, rédigé en 2007 par le comité scientifique de l'Observatoire européen des drogues et des toxicomanies (OEDT), avec la participation d'experts de la Commission européenne, d'Europol et de l'Agence européenne des médicaments (EMEA) (3). Présenté à la Commission européenne et au Conseil de l'UE le 31 mai 2007, le rapport examinait les risques sanitaires et sociaux de cette drogue, ainsi que les données concernant le trafic international et la criminalité organisée. La décision du Conseil stipule: «étant donné qu'elle présente des propriétés stimulantes et un risque pour la santé et qu'elle est dépourvue d'avantages médicaux, et pour respecter le principe de précaution, il convient de contrôler la BZP», tout en adaptant les mesures de contrôle aux «risques relativement peu élevés que comporte cette substance». Par conséquent, il est demandé aux États membres de l'UE de prendre, dans un délai d'un an, les mesures nécessaires pour soumettre la BZP à: «des mesures de contrôle, proportionnées aux risques que présente cette substance» et aux «sanctions pénales» prévues à leurs lois nationales (à leur tour conformes aux conventions des Nations unies sur les drogues). Huit États membres de l'UE (la Belgique, le Danemark, l'Estonie, la Grèce, l'Italie, la Lituanie, Malte et la Suède) contrôlent déjà la BZP aux termes des lois sur le contrôle des drogues ou autres lois équivalentes. Deux États membres (l'Espagne et les Pays-Bas) la réglementent dans le cadre de leurs lois liées aux médicaments. La BZP (1-benzylpipérazine) est une drogue psychoactive qui appartient au groupe des dérivés de pipérazine (qui comprend des substances telles que la mCPP et la TFMPP). À l'instar des amphétamines et des méthamphétamines, la BZP est un stimulant du système nerveux central. Ses consommateurs signalent des effets semblables à ceux de ces substances, bien que la BZP soit moins puissante (environ 10% de la puissance de la D-amphétamine). Tandis que la pipérazine est largement utilisée depuis de nombreuses années comme vermifuge pour animaux, la BZP n'a jamais été employée à une telle fin. Les risques sanitaires ou les effets secondaires signalés par les consommateurs de BZP sont, entre autres: vomissements, maux de tête, douleurs abdominales/nausée, angoisse, insomnie, sautes d'humeur et confusion; certains symptômes pouvant durer jusqu'à 24 heures. Les rapports cliniques de patients consommateurs de BZP suggèrent des liens entre la consommation de la drogue et des crises grand mal, bien que cette constatation repose sur un très petit nombre de cas. De la BZP a été trouvée dans quelques prélèvements post-mortem, mais le rôle de la drogue dans les décès n'est pas connu car d'autres substances ou circonstances interviennent également La BZP a été signalée pour la première fois à l'OEDT et à Europol par le biais du système d'alerte rapide pour les nouvelles drogues en 1999, mais une hausse du nombre de signalisations de la BZP aux agences a été constatée fin 2006. Au cours des deux dernières années, des produits contenant de la BZP ont fait l'objet d'une commercialisation agressive par divers détaillants et sites internet, en tant que produits euphorisants «naturels» ou «à base de plantes», ainsi que comme alternatives légales à l'ecstasy («Legal E», «Legal X») (4), induisant les consommateurs potentiels en erreur quant à la sécurité de la drogue. Un grand nombre de comprimés et capsules de BZP contiennent de la TFMPP; la combinaison des deux substances imitant certains effets de l'ecstasy. À ce jour, 15 États membres de l'UE et la Norvège, non membre, ont signalé à Europol et/ou à l'OEDT des saisies de BZP sous forme de poudre, de capsules ou de comprimés, variant de petites saisies (Belgique et Grèce) à jusqu' 64 900 comprimés (Royaume-Uni). Le rapport d'évaluation des risques révèle peu d'informations sur la synthèse, le traitement ou la distribution à grande échelle de la BZP, ou sur le rôle de la criminalité organisée dans ces processus. Cela peut être expliqué par l'absence de contrôles dans certains pays, qui élimine la nécessité d'une production illicite étant donné que la drogue est disponible auprès de détaillants de substances chimiques. La BZP ne possède aucune valeur médicale établie ou reconnue, et il n'existe pas de médicaments autorisés contenant la substance dans l'UE. La décision prise aujourd'hui par le Conseil stipule que placer la drogue sous contrôle dans les États membres de l'UE pourrait aider à éviter des problèmes d'application des lois et de coopération judiciaire à l'échelle internationale. La BZP ne fait pas actuellement l'objet d'une évaluation par le système de contrôle des drogues des Nations unies. |
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![]() | «notre campement» (tables, bancs, parasols toute une organisation) sur les dunes face à la mer. Yvonne et Anne Marie nous ont rejoints... | ![]() | |
![]() | ![]() | «égalisateurs de la puissance classique», en zone urbaine comme dans les zones refuges ou difficiles d’accès, la manœuvre tactique... | |
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![]() | ![]() | «chocolat de santé». On se le procurait sous forme de pastilles ou de tablettes dans les officines, comme chez «Debauve et Gallais»... |