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DIAPO 6 ACTINOMYCOSIS Actinomycosis is a chronic suppurative and granulomatous disease of the cervico-facial, thoracic or abdominal areas. The most common cause of actinomycosis is the organism Actinomyces israelii which infects both man and animals. In cattle, the disease is called "lumpy jaw" (figure 2) because of the huge abscess formed in the angle of the jaw. In man, A. israelii is an endogenous organism that can be isolated from the mouths of healthy people. Frequently, the infected patient has a tooth abscess or a tooth extraction and the endogenous organism becomes established in the traumatized tissue and causes a suppurative infection. These abscesses are not confined to the jaw and may also be found in the thoracic area and abdomen. The patient usually presents with a pus-draining lesion, so the pus will be the clinical material sent to the laboratory. This diagnosis can be made on the hospital floor. When the vial of pus is rotated, the yellow sulfur granules, characteristic of this organism, can be seen with the naked eye. These granules can also be seen by running sterile water over the gauze used to cover the lesion. The water washes away the purulent material leaving the golden granules on the gauze. This organism, which occurs worldwide, can be seen histologically as "sulfur granules" (figure 3 and 4) surrounded by polymorphonuclear cells (PMN) forming the purulent tissue reaction. The organism is a gram positive rod that frequently branches. The laboratory must specifically be instructed to culture for this anaerobic organism. These lesions must be surgically drained prior to antibiotic therapy and the drug of choice is large doses of penicillin. Actinomycose thoracique
Actinomycose abdominale
Autres sites
DIAPO 7 NOCARDIOSIS Nocardiosis primarily presents as a pulmonary disease or brain abscess in the U.S. In Latin America, it is more frequently seen as the cause of a subcutaneous infection, with or without draining abscesses. It can even present as a lesion in the chest wall that drains onto the surface of the body similar to actinomycosis. Brain abscesses are frequent secondary lesions. DIAPO 8 Certeines infections bact surviennent dans des situations + particulières, et peuvent être mise en ev à l’aide de colo particulières. Par ex, la colo argentique de Warthin Starry. Le genre Bartonella comprend actuellement 21 espèces validées. Ces espèces regroupent B. bacilliformis, les espèces anciennement classées dans les genres Rochalimaea et Grahamella et de nombreuses espèces caractérisées récemment. Sur le plan phylogénique, le genre Bartonella est classé dans le groupe alpha des Proteobacteria, proche des genres Brucella, Afipia, Agrobacterium et Rhizobium, mais plus éloigné du genre Rickettsia. Les bactéries du genre Bartonella sont considérées comme des micro-organismes intracellulaires facultatifs. In vivo, B. bacilliformis et B. quintana peuvent être observées dans les érythrocytes de patients bactériémiques et B.henselae, B. clarridgeiae, B. koehlerae peuvent être isolées et détectées dans le sang et les globules rouges de chats bactériémiques . Ces bactéries possèdent également un tropisme pour les cellules endothéliales, qui semble corrélé à leur capacité à induire des lésions angioprolifératives (veruga peruana pour B. bacilliformis, et angiomatose bacillaire pour B. henselae et B. quintana). 2. Introduction La maladie des griffes du chat est une infection humaine émergente due à une bactérie qui s'appelle Bartonella henselae (anciennement dénommée Rochalimea henselae) et qui se manifeste le plus souvent par une adénopathie. L'identification de B. henselae n'a été obtenue qu'en 1992 par Regnery et col. qui ont montré que la plupart des patients atteints de maladie des griffes du chat, affection décrite en 1950 par Debré et col., et pour laquelle un agent étiologique (Afipia felis) avait été proposé en 1988, possédaient des anticorps dirigés contre les antigènes de B. henselae. Le débat sur l'agent étiologique de la maladie des griffes aboutira à la démonstration de la responsabilité prédominante de B. henselae dans cette affection. Bien que B. quintana ne soit pas considéré comme agent étiologique de maladie des griffes du chat, cette bactérie a été isolée du sang de patients présentant comme seuls signes cliniques la présence d'adénopathies périphériques fébriles. Les bactéries du genre Bartonella sont de petits bacilles à Gram négatif, aérobies. Habitat, réservoir B. henselae a une distribution ubiquitaire dont le principal réservoir est le chat domestique. Le rôle du chat domestique comme principal réservoir de B. henselae est suggéré à la fois par l'isolement de la bactérie dans le sang de 4 à 70% de chats asymptomatiques, et par la présence de chats dans l'entourage de la plupart des patients infectés par cette espèce. D'autres espèces de Bartonella ont été isolées à partir du sang de chats asymptomatiques notamment B. clarridgeiae, B. koehlerae. Chez le chat, les cellules cibles des bactéries sont les globules rouges et il est possible de détecter ces bactéries en position intraérythrocytaire sur un frottis sanguin après immunofluorescence indirecte à l'aide d'un anticorps monoclonal (Photo 1). Le contact avec des chats est le facteur de risque essentiel retrouvé au cours de la maladie des griffes du chat, des endocardites, et de l'angiomatose bacillaire lorsque l'espèce B. henselae est en cause. La bactériémie à B. henselae chez le chat demeure le plus souvent asymptomatique. Le contact avec des chats est le facteur de risque essentiel retrouvé au cours de la maladie des griffes du chat. L'homme se contamine principalement par griffure ou morsure de chat. Le rôle des puces de chat dans la transmission de B. henselae du chat à l'homme a été évoquée mais n'est pas établie formellement. Signes cliniques 6.1. La maladie des griffes du chat La maladie des griffes du chat correspond, dans la majorité des cas, à la survenue d'une adénopathie dans le territoire de drainage d'une lésion cutanée due à une griffure de chat. Lors du diagnostic on retrouve une lésion d'inoculation au point de griffure associée à l'adénopathie dans environ 60% des cas (Photo 2).Cette adénopathie évolue spontanément vers la guérison après quelques semaines ou quelques mois, et reste insensible au traitement antibiotique. De ce fait, elle peut faire redouter une affection plus sévère en particulier la tuberculose ou un lymphome, ce qui justifie son exérèse fréquente. Chez environ 10% des patients, l'adénopathie évolue vers une suppuration locale. Les formes sévères ou systémiques peuvent compliquer la maladie des griffes du chat dans 5 à 14% des cas notamment des formes viscérales chez l'enfant avec adénopathies multiples et atteint hépatique et/ou splénique. Angiomatose bacillaire Cette affection, caractérisée par une prolifération vasculaire et des cellules endothéliales, survient principalement chez des patients immunodéprimés, le plus souvent du fait d'une infection par le VIH ou chez des patients transplantés, et exceptionnellement sur terrain immunocompétent. Les lésions peuvent intéresser la peau (angiomatose bacillaire cutanée), avec formation de pseudotumeurs angiomateuses, unique ou multiples, superficielles violacées, saignant facilement au contact, dermiques ou sous cutanées pouvant s'étendre aux tissus profonds notamment à l'os. Ces manifestations cutanées sont souvent associées à des lésions au niveau des différentes muqueuses, avec notamment possibilité de saignements d'origine digestive. L'angiomatose bacillaire peut également se manifester sous la forme d'une affection systémique, multiviscérale, intéressant notamment le foie, la rate, les poumons, le cerveau, la moelle osseuse, les ganglions. Péliose hépatique La péliose hépatique est une affection caractérisée par une prolifération des capillaires sinusoïdes hépatiques, conduisant à la formation de larges espaces vasculaires. La péliose hépatique a été décrite pour la première fois en 1990 chez des patients sidéens. Elle est liée à l'infection par B. henselae dans cette population. Toutefois, la péliose hépatique due à B. henselae existe également sur d'autres terrains comme en atteste sa description récente chez un patient transplanté rénal. Des lésions similaires ont été décrites dans la rate et les ganglions lymphatiques, d'où le terme proposé de péliose bacillaire. La péliose bacillaire peut être associée à des lésions d'angiomatose bacillaire, mais s'en distingue par l'absence de prolifération endothéliale. Endocardites Les endocardites à Bartonella sp. surviennent en règle sur valves natives, et se caractérisent par des lésions valvulaires extensives nécessitant souvent le recours à la chirurgie de remplacement valvulaire. Les endocardites à B. henselae sont diagnostiquées habituellement chez des patients porteurs d'une valvulopathie, et en contact avec des chats et représentent environ 20% des cas d'endocardites à Bartonella ; 80% sont dues à B. quintana. Examen anatomopathologique Au cours de la maladie des griffes du chat l'examen histologique du ganglion montre un granulome gigantocellulaire non spécifique, partiellement nécrotique au sein duquel B. henselae peut être mis en évidence par la coloration de Warthin-Starry. L'examen anatomo pathologique permet également d'écarter une néoplasie (carcinome épidermoïde, lymphome..). Les lésions d'angiomatose bacillaire cutanée se caractérisent par une prolifération capillaire lobulaire, et des cellules endothéliales constituant la paroi des néovaisseaux. Ces cellules endothéliales peuvent saillir dans la lumière vasculaire et l'obstruer. Des amas bactériens peuvent être révélés au sein du stroma, par la coloration à l'hématoxyline-éosine sous forme d'amas éosinophiles, par imprégnation argentique (coloration de Warthin Starry), ou de façon plus spécifique par immunofluorescence directe ou immunohistochimie. L'aspect histologique est semblable à celui observé dans les lésions de la verruga peruana (84), et se différentie aisément des lésions de la maladie de Kaposi. La péliose hépatique se caractérise par une prolifération intense des capillaires sinusoïdes, responsable de la formation de larges espaces vasculaires, associée à un stroma myxoïde contenant quelques cellules inflammatoires. Comme pour l'angiomatose bacillaire, des bactéries peuvent être visualisées dans le stroma par les techniques précédemment citées. Enfin, l'examen anatomo-pathologique des valves cardiaques réséquées au cours des endocardites à Bartonella montre des végétations massives avec une destruction extensive du tissu valvulaire sous-jacent. De nombreuses bactéries peuvent être mises en évidence dans ce tissu valvulaire par imprégnation argentique (coloration de Warthin-Starry) ou par immunohistochimie. Traitement - Prévention Classiquement la maladie des griffes du chat est insensible au traitement antibiotique. La gestion médicale des patients consiste en l'administration d'analgésiques pour la douleur et un suivi de l'évolution clinique des patients. Un traitement par l'azithromycine (500mg le 1er jour puis 250 mg/jour pendant 4 jours) peut être proposé chez les patients présentant une volumineuse adénopathie. Si l'adénopathie suppure, une aspiration à l'aiguille représente le meilleur traitement et les patients notent une diminution de la douleur en 24 à 48 heures. Dans les formes compliquées de maladie des griffes du chat, une association doxycycline (200 mg/jour) associée à la rifampicine (600 mg/jour) a été utilisée avec succès dans des cas de rétinites. Le traitement de l'angiomatose bacillaire repose sur l'utilisation d'érythromycine (2 g/j) pendant 3 mois ou la doxycycline (200 mg/j) pendant 3 mois. Enfin, les endocardites doivent être traitées par une association de gentamicine (3 mg/kg/j) pendant 14 jours et doxycycline (200 mg/j) pendant 6 semaines. Pour prévenir cette maladie, il est proposé de traiter les chats infectés et de contrôler l'infestation des chats par les puces. Il n'existe pas de vaccin contre la maladie des griffes du chat DIAPO 9 Les colorations histochimiques selon la bactérie La microscopie électronique: angiomatose bacillaire (bactérie à paroi trilamellaire), malacoplaquie (fragment d’E Coli), maladie de Whipple, … Des anticorps spécifiques, slmt dans les labo très spécialisés Les techniques de PCR, sur des coupes déparaffinées, congelées, ou à partir de fragments tissulaires (mycobact, etc…) DIAPO 10 Infection purulente:
Inflammation nécrosante et gangréneuse: - Mycobact ulcerans - clostridium perfrengens: Plusieurs espèces de clostridies telluriques et fécales peuvent lorsqu'elles sont introduites dans des tissus où elles trouvent les conditions d'anaérobiose nécessaires à leur développement, déclencher la gangrène gazeuse. C'est un processus d'infection locale intense, accompagné de phénomènes généraux graves dûs aux toxines résorbées. Il s'agit généralement de plaies profondes, atteignant les plans musculaires et comportant des tissus dévitalisés. Expérimentalement, il faut mille fois moins de clostridies pour déclencher l'infection dans des tissus dévitalisés que dans des tissus normalement irrigués et un million de fois moins s'il y a en outre des corps étrangers. Une fois déclenché, le processus infectieux entraîne rapidement un cercle vicieux : les toxines nécrosantes augmentent la quantité de tissus dévitallisés (myonécrose) ; les hyaluronidases et collagénases favorisent la propagation des germes dans les tissus ; le dégagement de gaz, en comprimant les vaisseaux sanguins, augmente l'anoxie et l'anaérobiose et supprime l'apport par voie sanguine des substances de défense et antibiotiques, ce qui peut entraîner la nécessité d'amputations importantes. La gangrène gazeuse peut être produite par différents germes, souvent associés. Les plus importants sont :
Le clostridium pubiserfringens peut en outre être responsable des affections suivantes :
DIAPO 11 Mycobacterium tuberculosis, commonly called M. TB or simply the tubercle bacillus, is a slightly curved or straight rod-shaped bacillus (figure 1) that requires special (acid-fast) stains (figure 3) to be visualized by routine microscopy. Mycobacterium bovis is a slow-growing (16 to 20 hour generation time), aerobic bacterium and the causative agent of tuberculosis in cattle (known as bovine TB). Related to M. tuberculosis—the bacteria which causes tuberculosis in humans—M. bovis can also jump the species barrier and cause tuberculosis in humans.[1] M. bovis is usually transmitted to humans via infected milk, although it can also spread via aerosol droplets. Actual infections in humans are rare, mostly due to pasteurisation killing any bacteria in infected milk; as well, cattle are randomly tested for the disease and immediately destroyed if infected. However, in areas of the developing world where pasteurisation is not routine, M. bovis is a relatively common cause of human tuberculosis.[2] Inflammation granulomateuse de type tuberculoïde= infl epithelioide et gignato (Langhans) avec nécrose etc… macro, micro follicule de Koster: aspect le + caractéristique: centre caséeux, couronnes de cel epithelioide et cel Géantes multiN, entourée de nbx lympho Le tuberculome pulmonaire Lésion parenchymateuse pulmonaire nodulaire, homogène, quelquefois pseudo-tumorale ou excavée, de nature tuberculeuse. Mais l'image radiologique peut être hétérogène, avec calcifications centrales, voire irrégulière ou spiculaire. Le tuberculome est généralement découvert lors d'une radiographie thoracique systématique. DIAPO 12 Habitat Ces bactéries se rencontrent dans la nature où elle vivent en saprophytes, mais également chez l'Homme et les animaux où elles se comportent soit en commensales soit en pathogènes. Quelques espèces sont pathogènes strictes pour l'homme et d'autres pour l'animal. Pouvoir pathogène Les mycobactéries pathogènes strictes sont responsable de maladies spécifiques:
DIAPO 13 Diagnostic différentiel: contamination DIAPO 15 SIDA et traitements immunosuppresseurs: post transplant, chimio. A entraziner des infections alors slmt connu en zone tropicale, comme cryptococose, pneumocystose, histoplasmose Pronostic vital: aspergillose invasive du Jj en réa, mucormycose du diabétique Mycologie: sérologie, direct, culture DIAPO 16 Levure: classer selon taille, bourgeonnement (unique, multiple), collet du bourgeonnement (etroit, large) Filaments: septa? Ramification angle droit ou aigu?, calibre régulier ou pas? Diamètre? DIAPO 17 Mycetome = TM à champignon DIAPO 18 Zygomycose: Les zygomycoses profondes, dues à des mucorales Les zygomycoses sous-cutanées, dues d’une part à Basidiobolus haptosporus et affectant n’importe quelle région du corps, et d’autre part à Conidiobolus coronatus, appelée entomophtoromycoses, typiquement localisée à la muqueuse nasale et aux tissus adjacents. DIAPO 21 Dissémination (en cas d’immunosuppression++) avec multiples localisations Inflammation aigue purulente: candida Inflammation nécrotique: champignons à tropisme vasculaire (effraction des vaisseaux, emboles mycotiques, thrombose et infarctus ou infarcissement): MUCORALES ET ASPERGILLUS Inflammation granulomateuse: histoplasmose DIAPO 22 Confrontation anatomo-clinique: notion d’ID? voyage? Étude mycologique: direct, culture, serum pour une identification précise DIAPO 25 F élastiques, F collagènes, F réticuliniques. Svt ass des 3 Sclérose : terme macro DIAPO 26 Reseau tridim, milieu dynamique d’échange, équilibre entre les processus de synthèse des fibre, de dépots extracell et de processus de dégradation. Fibrose = rupture de l’équilibre, avec augmentation des processus de synthèse et de depots des constituants extracell et diminution de leur dégradation. DIAPO 27 Évolution: trauma répétés Régression: rare (fibrose récente) Hypertrophie: chéloïde, fibrose rétropéritonéales (idiopathique, post trt beta bloquant) Atrophie: fibrose rénale après sténose incomplète de l’artère rénale, infarctus. Sur organe creux, comme œsophage après ingestion de soude, trompe après infection chlamidiae, tuberculose. DIAPO 28 Coloration : orange HES, rouge au rouge syrius, vert au trichrome de masson réticulinique : formée par des fibres ayant les caractéristiques des f de réticuline (grêles, anastomosées en reseau + ou – dense). S’observe ds les organes dont la charpente conjonctive normale est faite de f de ret: moelle osseuse dans les syndrome myeloproliferatif; ggl dans certains lymphomes; foie dans certaines hepatites virales Colo sweet: en noir FIBROSES ELASTIQUES: certains organes: poumons, fibroelastose de l’endocarde Orcéine: brun noir DIAPO 29 FIBROSES SYSTEMATISEES: certains fibroses pulm FIBROSES MUTILANTES: cicatrices cut, infarctus, abcès, cirrhose++++++ DIAPO 30 Tuberculose: stenose des uretères. hépatites chroniques : espace porte++ fibroses par organisation d’amas fibrineux: organisation conjonctives de thromboses vasc DIAPO 31 Atrophie par ischémie incomplète prolongée: atrophie rénale Atrophie glandulaire par obstruction canalaires: pancréatite chronique 5. Fibroses « dystrophiques: de meca Cx ou inconnu: F post radiotrt, sclérodermie Fibroses des stroma réactions des cancers: esst cancers desmoplastiques |
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