Maladies liees au deficit des canaux ioniques : exemple de la mucoviscidose





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date de publication27.10.2016
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MALADIES LIEES AU DEFICIT DES CANAUX IONIQUES : EXEMPLE DE LA MUCOVISCIDOSE

I. La mucoviscidose

A. Historique

Au moyen-âge, on voyait que les bébés à la sueur salée mourraient précocement.

En 1936-38 on a une première description scientifique. On parlait de bronchectasie associée à une fibrose kystique du pancréas.

En 1953, on a décris les anomalies électrolytiques au niveau de la sueur.

On a ensuite eu le développement des outils de biologie moléculaire permettant :

En 1985 la localisation du gène sur le chromosome 7

En 1989 on a l'identification du gène CFTR :

  • Clonage du gène

  • Séquençage

  • Mise en évidence de la mutation : ΔF508

B. Définition et généralités

Le terme mucoviscidose vient de la contraction des termes mucus et visqueux. (Cystic fibrosis pour les anglosaxons)

1. Définition

La mucoviscidose est une maladie génétique héréditaire létale due à une mutation dans le gène CFTR (Cystic Fibrosis Transmembrane conductance Regulator)

C'est une maladie autosomique récessive.

Une maladie autosomique récessive nécessite que les 2 allèles de la maladie soient mutés pour que la maladie se manifeste.

Ainsi sur des individus homozygotes sains, l'enfant aura une chance sur 4 d'avoir la maladie.

2. Epidémiologie

C'est la maladie génétique la plus fréquente dans la population caucasienne. Elle touche 1/4 500 naissances.

On a une répartition géographique/ethnique qui diffère.

Au niveau des hétérozygotes sains on a 1/25 individu qui est touché.

L'espérance de vie à la naissance est de 47 ans, mais l'âge moyen du décès est de 24 ans.

C. Manifestations cliniques

C'est une maladie multisystémique, multiviscérale. Elle atteint plusieurs organes (poumon, foie, pancréas, intestin, tractus génital, glandes sudoripares).

1. Atteintes respiratoire

C'est la cause première de morbidité.

On a des bronchopathie chronique obstructive due au mucus épais et visqueux. On a en plus des infections répétées puis chroniques. Ces infections vont entraîner des inflammations donc des dommages oxydants entraînant la destruction des voies respiratoires.

2. Atteintes digestive, nutritionnelle

On a une insuffisance pancréatique exocrine (85% des cas)

On peut avoir une obstruction intestinale au niveau de l'iléus méconium.

On peut avoir des atteintes hépatobiliaire (Hépatomégalie, insuffisance hépatique, cirrhose)

3. Atteinte génital

Chez les hommes on a une infertilité (98% des cas) due à une absence bilatérale des canaux déférents

Chez les femmes on a une hypofertilité due au mucus cervical très épais.

4. Atteintes des glandes sudoripares

On a un excès de sel dans ces glandes ce qui fait que ces patients sont très sensibles à la déshydratation.

5. Retard de croissance

Ces patients présenteront un retard de croissance due à l'atteinte digestive et nutritionnelle.

II. Du gène de la mucoviscidose à la protéine CFTR

A. Le gène CFTR

C'est un gène localisé en 1985. Il se situe sur le chromosome 7 en position 7q31.



1. Structure du gène et de la protéine

C'est un gros gène de 250 000 paires de bases composé de 27 exons. Son ARNm fait 6 000 pdb. La protéine fait 1480 aa et a une taille de 175 kDa.

La protéine présente 5 domaines protéiques :

  • Deux domaines transmembranaires (MSD1 et MSD2). Ils forment la portion canal de la protéine.

  • Deux domaines de liaison aux nucléotides (NDB1 et NDB2) qui hydrolysent l'ATP

  • Un domaine de régulation (R) qui est le site de phosphorylation (PKA, PKC).

On peut classifier cette protéine dans la famille des transporteurs ABC. Néanmoins, la présence de ce domaine de régulation (R) la différence des autres membres de cette famille de transporteur ABC.

2. Localisations de la protéine CFTR

Cette protéine est exprimée au pole apical des cellules épithéliales des :

  • Voies respiratoires au niveau des cellules ciliées alvéolaires et bronchiques

  • Canaux pancréatiques et biliaires

  • Intestins au niveau des cryptes intestinales.

  • Glandes sudoripares

  • Tractus génital au niveau des canaux déférents.

B. Fonctions de la protéine CFTR



1. Canal anionique

Cette protéine a un rôle de canal anionique. Elle laisse passer des anions :

  • Le plus important : Cl-

  • HCO3-

  • Mais aussi des substrats : Glutathion, ATP, …

On a donc un passage sélectif. CFTR a une affinité grande c'est-à-dire une conductance importante pour le chlore.

2. Régulateur

C'est aussi un régulateur d'autres canaux ioniques ou d'autres transporteurs.

Sa régulation la plus importante est la régulation du canal ENaC qui est un canal qui permet l'entré de sodium dans la cellule. Son activité est inhibée par CFTR.

Mais elle active aussi :

  • Le canal ORCC qui permet la sortie d'ions Chlore (Cl-)

  • Les canaux potassiques ROMK que l'on retrouve plutôt au niveau des tubules rénaux

  • Le transporteur SLC26 qui transporte le Cl-/HCO3- au niveau des canaux pancréatiques.

CTFR de par son rôle de canal anionique mais aussi de par sa régulation est le facteur limitant dans le transport transépithélial. CFTR a un rôle majeur dans le transport hydroélectrolytique.

3. Autre rôles

La protéine CFTR a d'autre rôle :

  • Régulation de la sécrétion de mucines

  • Rôle dans les processus de défense contre l'infection.

  • Récepteur cellulaire permettant l'internalisation de P. aeruginosa et sa clairance (élimination)

Cette protéine a donc des fonctions cellulaires multiples.



C. Régulation du canal CFTR

Il est régulé par l'AMPc qui va activer des protéines kinases (A et C) qui vont phosphoryler le domaine R.

La phosphorylation de ce domaine R va favoriser l'hétérodimérisaion des deux domaines NBD (1 et 2).

Lorsque ces domaines sont sous forme d'hétérodimères cela va favoriser la fixation de 2 molécules d'ATP.

On aura ensuite l'ouverture du "vestibule" et passage des ions.

D. Classes de mutations

1. Généralités

A l'heure actuelle plus de 1561 ont été décrites.

Ces mutations sont classées selon les effets fonctionnels des mutations dans le gène CFTR c'est-à-dire :

  • Le dysfonctionnement de la protéine

  • Une réduction de son expression à la membrane apicale.

Lorsque CFTR n'est pas muté, son gène est transcris en ARNm exporté or du noyau et traduit en protéine qui sera maturée dans le reticulum endoplasmique. Elle doit ensuite passer par l'appareil de Golgi pour être glycosylée.

2. Les 6 classes de mutations



La classe I : On aura un défaut de production d'ARNm du à des défauts entraînant des codons stop.

La classe II : On aura un transcris synthétisé en protéine mais qui aura un défaut de maturation (mauvais repliement) entraînant sa dégradation.

La classe III : On a un défaut de régulation. On a une mutation sur le domaine de régulation de CFTR entraînant absence de fonction de la protéine.

La classe IV : On a un défaut de la conduction de la protéine canal inhibant sa fonction.

La classe V est au niveau du noyau. On aura un peu de transcrits mais l'ARNm sera très instable et donc dégradé très rapidement

La classe VI : La protéine a une fonction correcte mais elle est peu stable. Elle sera donc rapidement dégradée.

3. La mutation ΔF508

C'est la mutation la plus fréquente :

  • 70% des allèles sont mutées

  • 50% des malades sont homozygotes ΔF508. Ces patients présentent une forme de la maladie sévère (insuffisance pancréatique et atteinte respiratoire).

  • On aura un défaut de la maturation de CFTR (Classe II)

On aura une délétion de 3 codons codants pour la Phe (F), en position 508. D'où l'appellation de mutation ΔF508. On aura une mutation dans le domaine NBD1.

D. Relation génotype/Phénotype

1. Formes de la maladie

On a une maladie qui a une grande variabilité génotypique et phénotypique (expression clinique). On aura des :

  • Formes sévères avec des affections pulmonaires graves et des insuffisances pancréatiques : Issue fatale et rapide



  • Formes atténuées aux conséquences pulmonaires graves et une suffisance pancréatique : issue fatale à ± long terme (25-30 ans)



  • Formes asymptomatique avec absorption normale des aliments et des graisses. Néanmoins, on pourra avoir une stérilité due à l'absence de développement des canaux déférent.

2. Corrélation entre phénotype et génotype

La fonction pulmonaire, l'âge du début de la maladie et le taux de Cl- dans la sueur ne sont que peu corrélée à un génotype particulier.

Néanmoins, 2 allèles "sévères" entraînent plus souvent une insuffisance pancréatique que 2 allèles "atténuées

Exemples :

  • Patients composites ΔF508 / A455E : Atteinte pulmonaire modérée

  • Mutation R117H : Substitution d'une arginine à une histidine : forme adulte asymptomatique avec absence des canaux déférents.

3. Facteurs d'influence

Ainsi, d'autres facteurs peuvent moduler la sévérité et la progression de la maladie :

  • L'influence environnementale :

  • Précocité du diagnostique

  • Qualité des soins

  • Conditions de vie



  • Le contexte génétique de l'individu avec des gènes modulateurs / modificateur de la mucoviscidose impliqués :

  • Dans la réponse immunitaire

  • Allèle prédominant dans l'ileus meconium (19q13.2)

III. Physiopathologie

A. Pulmonaire

1. Caractéristiques

On a des anomalies du liquide de surface épithélial dû à des anomalies des sécrétions hydro électrolytiques.



Patient normal.

En bleu on a le liquide de surface épithéliale surmonté du mucus (en jaune).

Le liquide de surface épithéliale recouvre toute la partie où il y a des cils et seule l'extrémité des cils touchent au mucus. Ainsi les cils vont pouvoir battre et donc expulser le mucus qui capture tous les pathogènes, la poussière, … C'est ce qu'on appelle la clairance muco-ciliaire.

On a un influx de Cl- et une inhibition du canal ENaC et donc de l'absorption de Na+.

Patient atteint de mucoviscidose.

La protéine CFTR ne va pas inhiber le canal ENaC on aura donc une hyperabsorption du sodium accompagné d'un défaut d'influx du chlore. On aura aussi un passage d'eau plus important, diminuant le volume du liquide de surface, augmentant la couche de mucus.

Les cils vont donc baigner dans le mucus épais, visqueux. Le mouvement des cils est altéré et donc la clairance muco-ciliaire est inefficace. C'est cette absence de clairance muco-ciliaire qui est à l'origine de cette physiopathologie pulmonaire. Ce mucus va donc être un milieu très pathogène.


Mutation du gène CFTR



Diminution de la quantité ou de la fonction CFTR
 Défaut de transport ions/H20





Liquide de surface diminué  Concentration en mucus





Diminution de la clairance mucociliaire
 Obstruction par le mucus





Infection bactérienne





Inflammation  Dommages oxydants



Destruction du tissu pulmonaire


2. Le problème microbiologique

Ce problème est lié à la complexité de la physiopathologie de l'infection :

  • On a un environnement pulmonaire unique chez les patients atteints de mucoviscidose

  • La persistance des germes (plusieurs années)

  • La nature particulière des micro-organismes

On a le développement constant de la résistance aux antibiotiques

3. Infections

a. Infection à S. aureus 

Cette bactérie peut entrainer une infection chronique

Elle participe à la dégradation pulmonaire par libération de catalase mais aussi à la desquamation de récepteurs membranaires

b. Infection à H. influenzae

C'est souvent une infection précoce. La pathogénécité de ce germe est inférieur à celle de S. aureus

b. Infection à P. aeruginosa

La primo-infection se fait en moyenne entre 8 et 10 ans mais elle est possible dès les premiers mois de vie

L'infection par cette bactérie est pratiquement inéluctable en cours d’évolution : plus de 95% des patients en phase terminale sont contaminés.

Elle responsable en grande partie de l’aggravation de l’affection.

4. Conséquences du phénotype mucoïde

On va avoir la formation de microcolonies de bactérie engluées au sein d'un biofilm.

Cela va entraîner une augmentation de la viscosité des sécrétions et de l'adhérence du germe aux cellules épithéliales.

La clairance ciliaire sera diminuée.

On aura un échappement du germe à la réponse immunitaire (phagocytose) et une protection du de celui-ci contre l'action des antibiotiques. On aura donc une survie prolongée des germes.

Le caractère mucoïde de P aeruginosa est un facteur de virulence spécifique de la mucoviscidose.

L'infection est donc le problème majeur de la maladie. La colonisation microbienne chronique des principales voies aériennes conduit à une réponse inflammatoire incessante qui entraîne la détérioration progressive des fonctions respiratoires.

L'infection est responsable du décès dans plus de 90% des cas.

B. Digestive

On aura une sécrétion de fluide diminuée (déshydratée et visqueuses).

Au niveau du pancréas on aura des sécrétions concentrées avec des canaux pancréatiques obstrués. On aura donc un défaut de production d'enzymes (insuffisance exocrine).

Au niveau de l'intestin, du colon on aura une hydratation insuffisance qui entraînera des constipations et des occlusions intestinales.

Au niveau du foie on aura une diminution de la sécrétion des sels biliaires intra-luminal (atteinte hépatique).

Cela entraînera une mal digestion lipido-protéique, une malabsorption (carences en vitamines liposolubles et en acides gras essentiels). On aura donc un retard de croissance.

IV. Diagnostique et traitements

A. Diagnostique néo-natal

Il existe 4 types de tests :

  • Le dosage de la trypsine immuno-réactive

  • La recherche des mutations CFTR

  • Le test de la sueur

  • La différence de potentiel nasal

1. Dosage de la trypsine immuno-réactive

On réalise ce dosage de façon systématique. Le dosage de la trypsine immuno-réactive se fait à j3 par le test de Guthrie. Ce test se fait dans des laboratoires de biologie.

Si on a un taux supérieur à 65 µg/L on réalise une recherche des principales mutations.

2. Recherche des mutations du gène CFTR

Cette recherche se fait à partir du sang. Il existe des coffrets commerciaux qui recherchent les mutations les plus fréquentes. Cette recherche se fait en laboratoire de génétique ou de biologie moléculaire.

3. Test de sueur

Ce test consiste en la mesure de la concentration en Cl- sur un échantillon de sueur. Ce test se fait à partir de 5 semaines dans un centre de référence.

Taux (ne pas apprendre):

  • ≤ 40 mmol/L : normal

  • 40-60 mmol/L : douteux

  • 60 mmol/L, sur 2 test : pathologique

Le taux de Cl- dans la sueur important sera du au fait que la protéine CFTR au niveau des glandes sudoripare réalise une réabsorption de chlore. Ainsi, si la protéine est mutée, on aura un taux important de chlore dans la sueur.

4. Différence de potentiel nasal

On explore la conductance de CFTR avec différents solutés que l'on fait passer dans le nez. On place une électrode sur la peau (masse) et un sur l'épithélium nasal et on mesure le courant pendant 30 à 45 minutes.

Ce test étant compliqué à réaliser on le garde pour les formes atypiques de mucoviscidose. Il se fait à partir de 6 ans.

B. Diagnostic anténatal

Ce diagnostique est réalisée uniquement dans les familles à risques c'est-à-dire dont un des enfants est atteint ou un des parents est hétérozygote.

On réalise une étude génétique sur les villosités choriales (du cordon) à 10-12 semaines.

On peut aussi doser l'activité enzymatique sur amniocentèse à 19 semaines.

On peut voir l'iléus méconial sur une échographie anténatale à partir de 20 semaines.

C. Circonstance de diagnostique

Diagnostique néonatal

47.8%

Diagnostique sur symptômes

40.4%

Antécédents familiaux

8,3 %

Diagnostique anténatal

3,5%

D. Traitements

Il n'existe pas de traitement curatif, seulement des traitements symptomatologiques.

1. Prise en charge respiratoire

On aura plusieurs axes de prise en charge :

  • Kinésithérapie : Par vibration manuelle on va préparer l'évacuation des sécrétions par la toux et fragmenter les sécrétions

  • Luttes contre l'infection : On utilisera des antibiothérapies

  • Inflammation : On utilisera des molécules anti-inflammatoires

  • Mucus : On va liquéfier les sécrétions via la DNAse (dégrade l'ADN bactérien en excès dans le mucus), la N-acétylcystéine (Casse les ponts disulfures des mucines)

  • Gymnastique : La pratique d'un sport et une rééducation respiratoire sont nécessaires.

2. Prise en charge digestive et nutritionnelle

On donne au patient :

  • Des extraits pancréatiques (enzymes)

  • Une alimentation hyper énergétique (apport lipidique)

  • On supplémente en vitamine liposoluble (A, D, E et K)

  • Une alimentation riche en sel

3. La thérapie protéique

Elle va chercher à contourner les différentes anomalies et mutations :

  • Restaurer la synthèse (classe I et V)

  • Inhiber la dégradation ou court-circuiter les points de contrôle au niveau du réticulum endoplasmique (Classe II et VI)

  • Restaurer la fonction (Classe III et IV)

4. La thérapie génique

On va essayer de remplacer le gène défectueux (protéine normale) avant l'apparition des dommages. On utilisera pour cette technique un aérosol.

Kevin CHEVALIER


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