Brevet de technicien supérieur communication





titreBrevet de technicien supérieur communication
page25/25
date de publication07.10.2017
taille1.1 Mb.
typeDocumentos
m.20-bal.com > loi > Documentos
1   ...   17   18   19   20   21   22   23   24   25

Épreuve E3 : Économie, DROIT, MANAGEMENT DES ENTREPRISES


coef. 3




SOUS Épreuve E3.1 : Économie et DROIT – Coefficient 2
1. FINALITÉS ET OBJECTIFS
L'objectif visé est d'évaluer les compétences acquises par le candidat dans ces deux domaines, ainsi que sa capacité à les mobiliser pour analyser une ou plusieurs situations juridiques et économiques.
2. CONTENU
Chaque partie fait l’objet d’une évaluation indépendante, notée de 0 à 20.

La note finale est obtenue en calculant la moyenne des deux notes, arrondie au point entier supérieur.
3. MODALITÉS ET CRITÈRES DE L’ÉVALUATION
3.1. Partie juridique
Cette partie de l’épreuve porte sur un ou plusieurs thèmes figurant dans la partie juridique de l’unité 3.1 du référentiel du diplôme.
L’épreuve vise à évaluer les capacités du candidat à :


  • analyser des documents juridiques et qualifier une situation juridique contextualisée ;




  • déterminer les éléments de droit positif qui s’appliquent à cette situation et les mobiliser dans le cadre d’un raisonnement ou d’une argumentation juridique ;




  • expliciter, dans le contexte proposé, le sens et la portée d’une règle de droit et/ou d’une décision de justice ;




  • produire un écrit utilisant un vocabulaire juridique approprié et témoignant d’une réflexion construite par rapport aux questions posées.


A. Forme ponctuelle (épreuve écrite, durée : 2 heures)
Le sujet remis au candidat se présente sous la forme d’un dossier documentaire, décrivant une ou plusieurs situations juridiques et comportant un questionnement destiné à guider le travail du candidat.
La correction est assurée par un professeur ayant en charge l’enseignement du droit dans une section de technicien supérieur tertiaire.
B. Contrôle en cours de formation
Le contrôle en cours de formation se présente sous la forme d’une situation d’évaluation écrite, portant sur la partie juridique de l’unité U3.1.
Cette situation est caractérisée par une durée maximale, une notation, un niveau d’exigence et des critères d’évaluation identiques à ceux décrits dans l’épreuve sous sa forme ponctuelle.
3.2. Partie économique
Cette partie de l’épreuve porte sur un ou plusieurs thèmes figurant dans la partie économique de l’unité 3.1 du référentiel du diplôme.
Outre, la maîtrise des savoirs et les compétences spécifiques indiquées dans le programme, la partie économique de l’épreuve vise à évaluer les capacités du candidat à :


  1. identifier et mobiliser les mécanismes et les théories économiques qui s’appliquent à la situation analysée ;




  1. synthétiser une documentation économique ;




  1. exposer ses analyses et ses propositions de manière cohérente et argumentée ;




  1. produire un écrit utilisant le vocabulaire économique approprié et témoignant d’une réflexion construite par rapport aux questions posées.


A. Forme ponctuelle (épreuve écrite, durée : 2 heures)
Le sujet remis au candidat se présente sous la forme d’un dossier documentaire, décrivant une ou plusieurs situations économiques, et comportant un questionnement destiné à caractériser et analyser la, ou les situations présentées.
La correction est assurée par un professeur ayant en charge l’enseignement de l’économie dans une section de technicien supérieur tertiaire.
B. Contrôle en cours de formation
Le contrôle en cours de formation se présente sous la forme d’une situation d’évaluation écrite, portant sur la partie économique de l’unité U3.1.
Cette situation est caractérisée par une durée maximale, une notation, un niveau d’exigence et des critères d’évaluation identiques à ceux décrits dans l’épreuve sous sa forme ponctuelle.

SOUS Épreuve E3.2 : MANAGEMENT DES ENTREPRISES – Coefficient 1
1. FINALITÉS ET OBJECTIFS
Elle vise à évaluer les savoirs et les compétences acquis par le candidat ainsi que sa capacité à les mobiliser pour analyser des pratiques de management des entreprises.
2. MODALITÉS ET CRITÈRES DE L’ÉVALUATION
L’épreuve vise à évaluer les capacités du candidat à :
- analyser le fonctionnement, les modes de management, les choix stratégiques et
opérationnels, la structure de l’entreprise ;
- identifier, expliciter et caractériser le ou les problèmes de management ;
- analyser la situation à l’aide des outils pertinents ;
- établir un diagnostic (ou une partie de diagnostic) préparant une prise de décision ;

- proposer des solutions pertinentes et envisager leur mise en œuvre dans le contexte
présenté ;

- argumenter ses analyses et ses propositions.

A. Forme ponctuelle (épreuve écrite, durée : 3 heures)
Elle prend la forme de l’étude d’une ou plusieurs situations concrètes de management.
L’épreuve prend appui sur un dossier qui comprend :
- la description d’une situation contextualisée de gestion d’entreprise qui soulève un ou
plusieurs problèmes de management,

- une série de questions permettant de présenter le travail à réaliser par le candidat.
Elle est corrigée par un professeur ayant en charge l’enseignement du « management des entreprises » en section de technicien supérieur tertiaire.
B. Contrôle en cours de formation
Le contrôle en cours de formation se présente sous la forme de deux situations d’évaluation.
La première situation vise à évaluer les savoirs et compétences relevant de la première partie du référentiel intitulée « finaliser et décider », la seconde situation vise à évaluer les savoirs et compétences relevant de la seconde partie du référentiel intitulée « mettre en oeuvre la stratégie ».
Chaque situation est d’une durée maximale de 3 heures.
Le niveau d’exigence et les critères d’évaluation sont identiques à ceux décrits dans l’épreuve sous sa forme ponctuelle.

Epreuve E4 – Relations commerciales

Épreuve orale - durée 40 minutes - Coefficient 4 U4




1. Finalités et objectifs
Les objectifs visés par l’épreuve sont d’apprécier la capacité du candidat à :

  • analyser et maîtriser des situations de relations commerciales dans leurs différentes dimensions 

  • adopter un comportement relationnel adapté à un contexte donné

  • communiquer efficacement en situation professionnelle

  • traiter, au niveau relationnel, les imprévus qui caractérisent de nombreuses situations de travail rencontrées dans le secteur de la communication.



2. Contenu
L’épreuve vise à évaluer les compétences concernant la fonction 2 « Conseil et relation annonceur ».
L’unité U4 de « Relations Commerciales » est validée par le contrôle de l’acquisition des compétences suivantes du référentiel :
C.2.1 - Conseiller et vendre

C21.1. Préparer les outils de vente

C21.4. Préparer la prospection

C21.5. Suivre la prospection

C21.6. Installer une relation commerciale

C21.8. Proposer des solutions de communication

C21.9. Préparer la négociation

C21.10. Présenter et valoriser la proposition commerciale

C21.11. Ajuster et finaliser la proposition

C21.12. Gérer le dossier annonceur
C.2.2 - Instaurer et entretenir des relations durables avec les prestataires

C22.1. Formaliser le cahier des charges par type de prestataires

C22.2. Choisir des prestataires

C22.3. Négocier l’achat de prestations


L’épreuve nécessite la mobilisation des connaissances associées à ces compétences (voir tableau de correspondance compétences / connaissances associées).
3. Critères de l’évaluation
Que ce soit sous forme ponctuelle ou en contrôle en cours de formation, les critères d’évaluation sont :

Conseiller et vendre

  • La pertinence, la fiabilité et la cohérence des outils

  • La cohérence et la pertinence du plan de prospection

  • L’efficacité de la prospection

  • La réussite du contact

  • La pertinence de la proposition commerciale

  • La rigueur de la préparation

  • La qualité et l’efficacité de la présentation à l’annonceur

  • Le degré de concrétisation et la qualité de l’accord obtenu

  • La fiabilité dans le suivi

Instaurer et entretenir des relations durables avec les prestataires

  • La pertinence de la sélection des prestataires

  • La qualité de l’accord négocié



4. Modalités d’évaluation 
A. Forme ponctuelle (orale, durée : 40 minutes)
Organisation de l’épreuve

L’épreuve prend appui sur un dossier comprenant le passeport professionnel du candidat. Le dossier est mis à la disposition du jury dans des conditions définies par la circulaire nationale d’organisation et selon les modalités fixées par les autorités académiques.
Le contrôle de conformité du dossier est effectué par les autorités académiques avant l’interrogation. Le passeport professionnel est indispensable au déroulement de l’épreuve. En l’absence de dossier ou en cas de non-conformité du dossier déposé par le candidat, celui-ci ne peut pas être interrogé à cette épreuve. Il est alors considéré comme non validé, la mention NV est reportée sur le bordereau de notation et il ne peut pas se voir délivrer le diplôme.
Il convient d’interroger le candidat dans les conditions normales de l’épreuve, si, face à un candidat, la commission d’interrogation considère que :

  • le dossier présenté n’est pas conforme ou qu’il ne respecte pas certaines contraintes définies dans l’arrêté portant création du diplôme

  • la conformité et la réalité de certains documents est discutable.

En fin d’interrogation, le candidat est informé du doute de la commission, le cas est signalé au président du jury et la notation est mise sous réserve de vérification. Les lacunes constatées sont pénalisées dans les limites prévues par la grille d’aide à l’évaluation, proposée par la circulaire nationale d’organisation.

Le passeport professionnel est accessible aux membres de la commission d'interrogation dans sa forme numérique ou, cas exceptionnel, sous forme d'une édition papier :

  • Lorsque le passeport professionnel est présenté sous forme numérique, la commission d'interrogation sélectionne les situations professionnelles qui ont permis la mobilisation des compétences dont l'évaluation relève de l'épreuve E4.

  • Lorsque le passeport professionnel est exceptionnellement présenté sous édition papier, il appartient au candidat de sélectionner les situations professionnelles qui ont permis la mobilisation des compétences dont l'évaluation relève de l'épreuve E4, afin d'imprimer la partie du passeport professionnel correspondant à cette épreuve.


Les candidats passent cette épreuve dans les centres d’examen désignés par les autorités académiques. Ils doivent se munir des ressources et documents nécessaires au déroulement de l’épreuve, notamment ceux qui sont référencés dans le passeport professionnel. Les candidats sont seuls responsables de la mise en œuvre de ces ressources. Les candidats concernés par ces dispositions qui ne sont pas munis de ces éléments seront pénalisés dans les limites prévues par la grille d’aide à l’évaluation proposée par la circulaire nationale d’organisation.
Déroulement de l’épreuve

L’épreuve se déroule en deux parties :

Première partie (10 minutes au maximum) 
Cette phase de l’épreuve se déroule sous la forme d’un entretien qui vise à évaluer la professionnalité du candidat dans les deux classes de situation d’achat et de vente.

Après que le candidat ait rapidement présenté seul, sans être interrompu par le jury, l’ensemble de son parcours professionnel dans le domaine des relations commerciales, la commission engage alors un dialogue le conduisant à faire un bilan de ses acquis au cours des deux années de formation.

La commission fonde son évaluation sur l’efficacité relationnelle, la pertinence et la réflexivité dont fait preuve le candidat à travers sa capacité à :

  • obtenir les résultats attendus grâce à ses compétences relationnelles

  • choisir les moyens les plus adaptés pour atteindre les objectifs fixés

  • porter un regard critique sur son parcours

Deuxième partie (durée : 30 minutes au maximum) 
Cette phase prend appui sur les situations professionnelles, réelles ou simulées, rencontrées par le candidat dans le domaine des relations commerciales et répertoriées dans le passeport professionnel ainsi que sur les supports présentés par lui au moment de l'épreuve.
L'entretien permet à la commission de vérifier par sondage le degré de maîtrise des compétences mobilisées dans les situations de Relation mentionnées dans le passeport professionnel. Elle le fait selon deux axes :

  • La commission demande d’abord au candidat d’expliciter certaines situations figurant dans le passeport professionnel.

  • La commission questionne ensuite le candidat sur plusieurs situations qui appartiennent à la classe 2.1. : Vente de solutions de communication et d’autres appartenant à la classe 2.2 : Achats de prestations. Pour chacune d’entre elles, de manière systématique, elle propose oralement au candidat une modification des paramètres. Ces changements sont significatifs tout en ne modifiant pas exagérément la situation d’origine et en conservant un caractère réaliste. Le candidat est ainsi en mesure de montrer comment il gère, dans ces nouveaux contextes proposés, la variabilité des situations.

Ces deux modalités permettent à la commission de fonder son évaluation des compétences sur le niveau de conceptualisation et la capacité de transfert du candidat.
Aucune simulation n’est demandée au candidat.

Composition de la commission d’interrogation

La commission d’interrogation est composée :

  • d’un professeur d’économie et gestion chargé de l’enseignement de la fonction 2 “ Conseil et relations annonceur”

  • d’un professeur de « Cultures de la Communication » intervenant en atelier « Relations commerciales ».

  • d’un professionnel ayant pour activité l’achat ou la vente dans le secteur de la communication.

En cas d’absence de l’un des professeurs, celui-ci peut être remplacé par un professeur chargé de l'enseignement de la fonction 3 « veille opérationnelle » ou de Cultures de la Communication. En cas d’absence de professionnel, la commission peut toutefois valablement délibérer. 
B - Contrôle en cours de formation
L’épreuve prend appui sur le passeport professionnel du candidat ainsi que sur des documents annexes, relatifs aux situations de relations commerciales de vente et d’achat.
L’épreuve comporte deux situations d’évaluation
Situation d’évaluation A (12 points)

Cette situation est centrée sur les situations « Relations commerciales » figurant dans le passeport professionnel. Ces situations professionnelles ont fait l’objet d’un travail en formation et ont été validées en tant que telles avant de pouvoir constituer un support de l’évaluation.

La commission évalue les compétences répertoriées dans le passeport professionnel, à partir d’un ou plusieurs entretiens avec le candidat lui permettant de vérifier, pour chaque situation professionnelle de « Relations commerciales », le degré de maîtrise des compétences relatives au domaine des relations commerciales d’achat et de vente. Cette évaluation se déroule dans le cadre normal de la formation.
Commission d’interrogation 

Cette interrogation est conduite par le professeur d’Economie-Gestion en charge de l'enseignement de la fonction 2 “ Conseil et relation annonceur” et du professeur en charge de l’enseignement de « Cultures de la Communication » intervenant dans l’atelier « Relations Commerciales ».

Les interrogateurs renseignent la partie du passeport professionnel réservée à l’évaluation et notent à partir de la grille d’aide à l’évaluation fournie par la circulaire nationale.

 

 Critères d’évaluation

Les critères d'évaluation sont identiques à ceux utilisés pour l'épreuve ponctuelle. Le jury renseigne la grille d’évaluation dont le modèle sera fourni par la circulaire nationale.
Situation d’évaluation B (8 points)

Cette situation, d’une durée maximale de 20 minutes est centrée sur le parcours professionnel du candidat et porte sur l’intégralité des situations professionnelles de « Relations commerciales » figurant dans le passeport professionnel. Elle vise à apprécier la professionnalité du candidat dans les deux classes de situation d’achat et de vente. Elle se déroule obligatoirement après la situation A et, compte tenu de sa définition, se situe à la fin du parcours de formation, avant une date limite fixée par la circulaire d’organisation.

La commission d'interrogation conduit un entretien destiné à apprécier la capacité du candidat à considérer l'ensemble de son parcours professionnel pour ce qui concerne les situations d’achat et les situations de vente.

Elle fonde son évaluation sur l’efficacité relationnelle, la pertinence et la réflexivité dont fait preuve le candidat à travers sa capacité à :

  • s’engager dans les relations commerciales

  • obtenir les résultats attendus grâce à ses compétences relationnelles

  • choisir les moyens relationnels les plus adaptés pour atteindre les objectifs fixés

  • porter un regard critique sur son parcours


Critères d’évaluation

Les critères d'évaluation sont identiques à ceux utilisés pour l'épreuve ponctuelle. Le jury renseigne la grille d’évaluation dont le modèle sera fourni par la circulaire nationale.
Commission d’interrogation

La commission d’interrogation est composée :

  • du professeur d’économie et gestion chargé de l’enseignement de la fonction 2 “ Conseil et relations annonceur” intervenant dans l’atelier « Relations commerciales ».

  • du professeur de « Cultures de la Communication » intervenant dans l’atelier « Relations commerciales ».

  • d’un professionnel ayant pour activité l’achat ou la vente dans le secteur de la communication.

En cas d’absence de l’un des professeurs, celui-ci peut être remplacé par un autre professeur chargé de l'enseignement de la fonction 3 « veille opérationnelle » ou de Cultures de la Communication. En cas d’absence du professionnel, la commission peut toutefois valablement délibérer.
A l’issue de cette seconde situation d’évaluation, l’équipe pédagogique de l’établissement de formation adresse au jury la proposition de note sur 20 points accompagnée de la grille d’évaluation fournie par la circulaire d’organisation de l’examen. Conformément à la réglementation, le jury pourra éventuellement demander à avoir communication des supports des évaluations. Ces documents seront tenus à la disposition du jury et de l'autorité rectorale pour la session considérée jusqu'à la session suivante.


Epreuve E5 : ACTIVITES DE COMMUNICATION

Épreuve écrite - durée 4h - Coefficient 4 U5


1. Finalités et objectifs 
L’objectif visé est d’apprécier, dans des contextes de travail variés tels que les services communication d'un annonceur, d’une agence ou d’un fournisseur de prestations de communication, comment le candidat peut :

  • maîtriser des situations complexes par les enjeux qu’elles portent, par les outils d’analyse qu’elles requièrent, par la diversité des paramètres qui les caractérisent.

  • accéder à des situations caractérisées par un niveau de responsabilité décisionnelle et d’autonomie que l’on peut attendre d’un professionnel possédant une expérience substantielle.

Plus précisément, l’épreuve permet de vérifier l’aptitude du candidat à 

  • appréhender un contexte de communication et/ou de commercialisation de prestations de communication (vente ou achat) ;

  • mobiliser des méthodes et des outils d'analyse qualitatifs et quantitatifs ;

  • rechercher et proposer des solutions ;

  • mettre en œuvre et assurer le suivi opérationnel d'un projet de communication ;

  • développer et entretenir un réseau de clients et/ou de prestataires ;

  • prendre en compte des notions de droit de la communication.


2. Contenu 

L’unité E5 de « Activités de communication » est validée par le contrôle de l’acquisition des compétences suivantes du référentiel :

C12 Mettre en œuvre un projet de communication

C12.1. Mobiliser et allouer les ressources pour mettre en œuvre le projet

C13 Instaurer et entretenir des relations techniques avec les prestataires

C13.2. Gérer une relation technique

C14 Concevoir et réaliser les moyens de communication

C14.4. Organiser des opérations de communication

C21 Conseiller et vendre

C21.2. Analyser le portefeuille- annonceurs

C21.3. Segmenter le portefeuille

C21.7. Caractériser l’annonceur et son contexte

C21.13. Evaluer la relation annonceur

C21.14. Entretenir la relation annonceur

C21.15. Concevoir et mettre en place des actions spécifiques de fidélisation

C22 Instaurer et entretenir des relations durables avec les prestataires

C22.4. Gérer un réseau de prestataires

C31 Organiser une veille informationnelle

C31.1. Organiser la collecte et le stockage d'informations.

C31.2. Mettre à disposition des informations

C31.3. Identifier des domaines de veille

C32 Produire de l’information en réponse à un besoin spécifique

C32.1. Évaluer le besoin d’information

C32.2. Exploiter le produit de la veille

C32.3. Mettre en œuvre une méthodologie de recherche d'informations

C32.4. Exploiter une étude

C32.5. Diffuser des informations

C34 Contribuer à la qualité d’un système d’information

C34.1. Évaluer et améliorer un système d’information

3. Critères de l’évaluation 
L’évaluation porte sur :


  • La précision et la fiabilité du diagnostic de la situation de l’annonceur

  • Le réalisme des objectifs

  • L’efficacité et la pertinence dans l’organisation des opérations de communication.

  • L’optimisation des ressources mobilisées 

  • Le respect des contraintes juridiques et budgétaires.

  • La fiabilité dans l’évaluation technique de la prestation

  • La qualité de l’évaluation de la satisfaction-annonceur

  • L’efficacité dans le suivi de la relation-annonceur.

  • La pertinence des actions de fidélisation engagées.

  • L’étendue et la fiabilité du réseau de prestataires.

  • L’efficience, la fiabilité et la sélectivité des procédures d’accès aux informations

  • La cohérence des domaines de veille par rapport aux besoins des utilisateurs.

  • La qualité de l’étude documentaire

  • La rigueur dans la démarche méthodologique de la recherche d’informations

  • La pertinence dans l’exploitation d’une étude

  • L’efficacité et la sélectivité de la diffusion des informations

  • La pertinence et le réalisme des propositions d’amélioration d’un système d’informations



4. Modalités d’évaluation 
Cette épreuve se passe uniquement sous forme ponctuelle.

L'épreuve s'appuie sur un ou plusieurs cas concrets présentant une situation réelle ayant trait à la mise en œuvre et suivi d'un projet de communication et /ou au conseil et relation annonceur (vente de solutions et achat de prestation) et/ou veille opérationnelle. Elle revêt une dimension juridique intégrée au(x) cas servant de support à l'épreuve. Elle comporte plusieurs parties qui peuvent être indépendantes.
5. Composition de la commission de correction
Pour l’évaluation de l’épreuve, il est fait appel aux professeurs d’Economie et Gestion enseignant en section de technicien supérieur "Communication", ayant en charge les enseignements de « Projet de Communication (F1) » et/ou de « Conseil et Relation Annonceur (F2) » et/ou de « Veille Opérationnelle (F3) ».

Epreuve E6 – Projet et Pratiques de la Communication

Épreuve orale - durée 40 minutes - Coefficient 4 U6



1. Finalités et objectifs 
L’objectif visé est d’apprécier l’aptitude du candidat à conduire un projet de communication et à produire des supports de communication pour le compte d'un annonceur.
L'épreuve permet plus précisément de vérifier l'aptitude du candidat à :

  • choisir des solutions techniques adaptées ;

  • organiser son travail et celui des différents intervenants internes et externes ;

  • contrôler rigoureusement l'exécution des différentes phases d'un projet ;

  • maîtriser les outils technologiques nécessaires à ses activités ;

  • mobiliser les techniques de production appropriées.


2. Contenu 
L’unité U6 de « Projet et pratiques de la communication » est validée par le contrôle de l’acquisition des compétences suivantes du référentiel :

C11 Préparer un projet de communication

C11.1. S’approprier la demande de l’annonceur

C11.2. Identifier les solutions à mettre en œuvre dans le projet

C11.3. Préparer le cahier des charges du projet

C12 Mettre en oeuvre un projet de communication

C12.2 Assurer la coordination des actions, leur suivi et leur contrôle

C12.3 Réguler le projet

C13 Instaurer et entretenir des relations techniques avec les prestataires

C13.1 Préparer et acheminer les documents techniques

C14 Concevoir et réaliser les moyens de communication

C14.1 Participer à l’élaboration du message

C14.2 Elaborer les documents porteurs du message

C14.3 Assurer le suivi de la production

C31 Organiser une veille informationnelle

C31.4 Rechercher et sélectionner des sources

C33 Contribuer à l'enrichissement de la base documentaire

C33.1 Sélectionner des informations

C33.2 Actualiser une base d’informations

C34 Contribuer à la qualité du système d’information

C34.2 Participer à la sécurité d’un système d’information




4. Modalités d’évaluation 

A. Forme ponctuelle (orale, durée : 40 minutes)
Organisation de l’épreuve

L’épreuve prend appui sur un dossier comprenant le passeport professionnel du candidat, la fiche Projet ainsi que les attestations de stage ou les certificats de travail. Ce dossier est mis à la disposition du jury dans des conditions définies par la circulaire nationale d’organisation et selon les modalités fixées par les autorités académiques.
Le contrôle de conformité du dossier est effectué par les autorités académiques avant l’interrogation. Le passeport professionnel est indispensable au déroulement de l’épreuve. En l’absence de dossier ou en cas de non-conformité du dossier déposé par le candidat (absence de passeport professionnel, durées de stage inférieures aux exigences du référentiel, absence de certificats de travail) celui-ci ne peut pas être interrogé à cette épreuve. Il est alors considéré comme non validé, la mention NV est reportée sur le bordereau de notation et il ne peut pas se voir délivrer le diplôme.
Il convient d’interroger le candidat dans les conditions normales de l’épreuve si, face à un candidat, la commission d’interrogation considère que :

  • le dossier présenté n’est pas conforme ou qu’il ne respecte pas certaines contraintes définies dans l’arrêté portant création du diplôme

  • la conformité et la réalité de certains documents est discutable.

En fin d’interrogation, le candidat est informé du doute de la commission, le cas est signalé au président du jury et la notation est mise sous réserve de vérification. Les lacunes constatées sont pénalisées dans les limites prévues par la grille d’aide à l’évaluation proposée par la circulaire nationale d’organisation.
Le passeport professionnel est accessible aux membres de la commission d'interrogation dans sa forme numérique ou, exceptionnellement, sous forme d'une édition papier :

  • Lorsque le passeport professionnel est présenté sous forme numérique, la commission d'interrogation sélectionne les situations professionnelles qui ont permis la mobilisation des compétences dont l'évaluation relève de l'épreuve E6.

  • Lorsque le passeport professionnel est exceptionnellement présenté sous édition papier, il appartient au candidat de sélectionner les situations professionnelles qui ont permis la mobilisation des compétences dont l'évaluation relève de l'épreuve E6 afin d'imprimer la partie du passeport professionnel correspondant à cette épreuve.


Les candidats passent cette épreuve dans les centres d’examen désignés par les autorités académiques. Ils doivent se munir des ressources et documents nécessaires au déroulement de l’épreuve notamment ceux qui sont référencés dans le passeport professionnel. Les candidats sont seuls responsables de la mise en œuvre de ces ressources. Les candidats concernés par ces dispositions qui ne sont pas munis de ces éléments seront pénalisés dans les limites prévues par la grille d’aide à l’évaluation proposée par la circulaire nationale d’organisation.
Contenus de l’épreuve

L'évaluation porte sur deux objets distincts :

  • Le projet de communication mené par le candidat en milieu professionnel, soit à l'occasion d'un ou plusieurs stages ou lors de son exercice professionnel, et/ou à l'occasion des travaux en atelier ;

  • Les productions ponctuelles réalisées soit en milieu professionnel, soit en ateliers de production. Par production on entend la mobilisation des compétences C14.1 à C 14.3. Ces travaux devront couvrir :

  1. La production de messages visuels, par exemple : reportage photographique, identité visuelle, charte graphique, signalétique, etc.

  2. La production de messages destinés à l'imprimerie : carte de visite, affiche, flyer, journal interne, magazine consommateurs, catalogue, etc.

  3. La production de messages audiovisuels : PREAO, film d'entreprise, animation sonore, spot radio, etc.

  4. La production de messages multimedia : mise à jour ou création de site internet ou intranet, de blog, de newsletter, etc.

  5. La production de messages de communication directe : mailing, e-mailing, marketing téléphonique, etc.

  6. La production de messages écrits : communiqué de presse, dossier de presse, article de presse interne, dossier de partenariat, etc.
Déroulement de l’épreuve

L’épreuve comporte trois phases :

Première phase (durée : 20 minutes au maximum), centrée sur le projet.

Le candidat est interrogé sur le projet à partir des informations figurant dans la fiche Projet et des situations « Projet » référencées dans le passeport professionnel. Dans un premier temps, le questionnement de la commission permet au candidat d’expliciter son projet. Dans un second temps, la commission d'interrogation fera varier, par le questionnement, différents paramètres du « Projet » pour vérifier l'acquisition des compétences revendiquées dans le passeport professionnel.

Deuxième phase (durée : 10 minutes au maximum), centrée sur la production

Cette phase prend appui sur les situations professionnelles rencontrées par le candidat dans le domaine de la production et répertoriées dans le passeport professionnel ainsi que sur les supports présentés par lui au moment de l'épreuve.

L'entretien entre la commission et le candidat doit permettre de vérifier par sondage le degré de maîtrise des compétences de production revendiquées dans le passeport professionnel.

Troisième phase (durée : 10 minutes au maximum), centrée sur le parcours professionnel

La commission d'interrogation conduit un entretien destiné à apprécier la capacité du candidat à évaluer l'ensemble de son parcours professionnel. La commission d'interrogation apprécie la capacité du candidat à porter un regard réflexif sur l'étendue des compétences acquises, la pertinence et l'efficacité professionnelles qui caractérisent son parcours de formation.
Composition de la commission d’interrogation

La commission est composée de trois membres :

  1. un professeur d'Economie et Gestion chargé de l'enseignement de la fonction 1 « Mise en oeuvre et suivi de projets de communication »

  2. un professeur chargé des enseignements de « Cultures Technologiques de la Communication »

  3. un professionnel du secteur de la communication

En cas d’absence de l’un des professeurs, celui-ci peut être remplacé par un autre professeur chargé de l'enseignement de la fonction 3 « veille opérationnelle » intervenant en atelier « Production ».

En cas d’absence du professionnel, la commission peut toutefois valablement délibérer.
Critères d’évaluation

Projet de communication

Préparer un projet de communication

  • La précision, l’exhaustivité et la pertinence dans l’analyse de la demande

  • La pertinence des solutions proposées

  • La valeur technique du cahier des charges

Mettre en oeuvre un projet de communication

  • L’optimisation des ressources mobilisées

  • Le respect de la programmation des actions et du budget

  • L’efficacité dans le repérage et le traitement des dysfonctionnements

Instaurer et entretenir des relations techniques avec les prestataires

  • La rigueur dans la production et la gestion des documents techniques
Concevoir et réaliser les moyens de communication

  • La pertinence et la cohérence des choix rédactionnels et iconographiques

  • La rigueur technique dans la production des documents

  • La conformité de la production

Veille opérationnelle

Organiser une veille informationnelle :

  • La pertinence des sources sélectionnées.

Contribuer à l'enrichissement d'une base d'informations

  • La pertinence et la fiabilité des informations sélectionnées

  • L'efficacité de la mise à jour

  1. Contribuer à l'amélioration d'un système d’information

  • Le respect des procédures d'archivage et de sécurisation des données



B. Contrôle en Cours de Formation (CCF)
Le contrôle en cours de formation comporte deux situations d'évaluation orales conduites à partir du passeport professionnel.

Situation d’évaluation A (12 points)

Cette situation est centrée sur les situations « Projet » et les situations « Production » figurant dans le passeport professionnel. Ces situations professionnelles ont fait l’objet d’un travail en formation et ont été validées en tant que telles avant de pouvoir constituer un support de l’évaluation.

La commission évalue les compétences répertoriées dans le passeport professionnel, à partir d’un ou plusieurs entretiens avec le candidat lui permettant de vérifier, pour chaque situation professionnelle de « Projet » ou « Production », le degré de maîtrise des compétences relatives aux domaines de la conduite de projet et de la production. Cette évaluation se déroule dans le cadre normal de la formation.
Critères d’évaluation

Les critères d'évaluation sont identiques à ceux utilisés pour l'épreuve ponctuelle. Le jury renseigne la grille d’évaluation dont le modèle sera fourni par la circulaire nationale.

Commission d’interrogation 

Cette interrogation est conduite par le professeur d’Economie-Gestion en charge de l'enseignement de la fonction 1 « Mise en oeuvre et suivi de projets de communication » et de l’atelier « Production » et le professeur en charge de l’enseignement de « Cultures de la Communication » et de l’atelier « Production ».

Les interrogateurs renseignent la partie du passeport professionnel réservée à l’évaluation et notent à partir de la grille d’aide à l’évaluation fournie par la circulaire nationale.

Situation d’évaluation B (8 points)

Cette situation, d’une durée maximale de 20 minutes est centrée sur le parcours professionnel du candidat, et porte sur l’intégralité des situations professionnelles de Projet et de Production. Elle se déroule obligatoirement après la situation A et, compte tenu de sa définition, se situe à la fin du parcours de formation avant une date limite fixée par la circulaire d’organisation.
La commission d'interrogation conduit un entretien destiné à apprécier la capacité du candidat à considérer l'ensemble de son parcours professionnel tant en ce qui concerne la conduite de projet que la réalisation de productions. La commission d'interrogation apprécie la capacité du candidat à porter un regard réflexif sur l'étendue des compétences acquises, la pertinence et l'efficacité professionnelles qui caractérisent son parcours de formation.
Critères d’évaluation

Les critères d'évaluation sont identiques à ceux utilisés pour l'épreuve ponctuelle. Le jury renseigne la grille d’évaluation dont le modèle sera fourni par la circulaire nationale.
Commission d’interrogation

La commission est composée de trois membres :

  1. le professeur d'Economie et Gestion chargé de l'enseignement de la fonction 1 « Mise en oeuvre et suivi de projets de communication » intervenant dans l’atelier « Production »

  2. le professeur chargé des enseignements de « Cultures de la Communication » intervenant dans l’atelier « Production »

  3. un professionnel du secteur de la communication

En cas d’absence du professionnel, la commission peut toutefois valablement délibérer.
A l’issue de cette seconde situation d’évaluation, l’équipe pédagogique de l’établissement de formation adresse au jury la proposition de note sur 20 points accompagnée de la grille d’évaluation fournie par la circulaire d’organisation de l’examen. Conformément à la réglementation, le jury pourra éventuellement demander à avoir communication des supports des évaluations. Ces documents seront tenus à la disposition du jury et de l'autorité rectorale pour la session considérée jusqu'à la session suivante.

Épreuve facultative EF1 - Langue vivante étrangère B

Points supérieurs à 10

Épreuve orale Durée : 20 minutes + 20 minutes de préparation
Entretien en langue étrangère à partir d’un ou de plusieurs documents (texte, document audio ou vidéo) en relation avec le domaine professionnel.

La langue vivante étrangère choisie au titre de l’épreuve facultative est obligatoirement différente de la langue vivante étrangère obligatoire.

Annexe VI




Tableau de correspondance des épreuves et des unités entre le BTS communication des entreprises
et le BTS communication





BTS Communication des entreprises

(arrêté du 3 septembre 1997)

BTS Communication

(présent arrêté)

U1 – E1 : Epreuve de communication.

U1. E1 : Cultures de la Communication

U2. E2 : Langue vivante étrangère

U2. E2 : Expression et culture en langues vivantes étrangères

  • Langue A

E3 : Economie-droit

E3 : Économie, droit et management


  • U31. Economie et Droit

  • U32. Management des entreprises

U4. E4 : Culture Professionnelle


U4. E.4 : Relations Commerciales

U5. E5 : Stratégie de communication des entreprises

U5. E.5 : Activités de Communication

U6. E6 : Conduite et Présentation d’Activités Professionnelles


U6 E.6 : Projet et Pratiques de la Communication

UF1. EF1 : Langue vivante étrangère 2


UF1 - EF1 : Langue vivante étrangère B


1 Par commodité, les relations avec les prestataires figurant dans la fonction 1 du référentiel d’activités professionnelles, appartiennent aux situations de travail de nature relationnelle et sont, à ce titre, répertoriées ici sous la fonction 2.

2 Cadre européen commun de référence pour les langues ; apprendre, enseigner, évaluer ; Conseil de l’Europe 2001

3 Les activités proposées pour amener les étudiants à comprendre les divers documents dépendront de la nature des textes supports ; elles lient d’autre part compréhension et expression orale ou écrite. C’est pour ces raisons que la présentation des tableaux pour la compréhension orale ou écrite est différente et ne propose pas ‘exemples d’activités et de tâches scolaires.

4 Les types de discours figurent en gras. Le professeur veillera à prévoir un entraînement pour ces types de discours, par le biais de tâches scolaires qui, tout en prenant en compte le domaine professionnel ne s’y limitent pas étroitement. On pourra tout aussi bien entraîner les étudiants à la présentation orale d’une activité spécifique par une simulation ou par un entraînement systématique à la présentation orale d’une tâche scolaire, d’un dossier ou d’un document étudié en classe.

5 Dans cette tâche d’interaction c’est la partie compréhension qui est traitée ici. Pour la partie expression, se reporter à la tâche correspondante dans le tableau : interaction orale.

6 Il n’existe pas de descripteur pour le niveau B2. C’est donc le descripteur pour le niveau B1 qui est pris comme référence.

1   ...   17   18   19   20   21   22   23   24   25

similaire:

Brevet de technicien supérieur communication iconBrevet de technicien supérieur communication
«communication» et à d’autres spécialités de brevet de technicien supérieur ainsi que les dispenses d’épreuves accordées conformément...

Brevet de technicien supérieur communication iconBrevet de technicien supérieur communication activités de communication
«Points d’Apport Volontaire (P. A. V.)», sont l’objet d’incivilités et dépôts sauvages, ce qui a pour effet d’inciter les usagers...

Brevet de technicien supérieur communication iconBrevet de Technicien Supérieur

Brevet de technicien supérieur communication iconBrevet de Technicien Supérieur

Brevet de technicien supérieur communication iconBrevet de technicien supérieur bioanalyses et contrôles

Brevet de technicien supérieur communication iconBrevet de technicien supérieur bioanalyses et contrôles

Brevet de technicien supérieur communication iconBrevet de technicien supérieur environnement Nucléaire

Brevet de technicien supérieur communication iconCe programme est constitué des modules suivants
«systèmes numériques» se réfère aux dispositions de l’arrêté du 15 novembre 2013 fixant les objectifs, contenus de l’enseignement...

Brevet de technicien supérieur communication iconBrevet de technicien supérieur électrotechnique session 2015
«subsonique». Cette plage de vitesse de 0 à 200m/s correspond aux phases de décollage et d'atterrissage. Elle permet aussi des essais...

Brevet de technicien supérieur communication iconAutoriser l'accès à sa propriété au technicien du Service Public...





Tous droits réservés. Copyright © 2016
contacts
m.20-bal.com