 Module : AGEA et Typologie d’exploitation agricole
Responsable de module : Olivier Scheurer
Typologie d’exploitation agricole
 Spécialité Agriculture, Promotion 151
Année 2010/2011 Claire BERTIN& Pierre-Marie PERAN
Sommaire
1.Classement des exploitations agricoles 4
2.Type 1 : « Grandes exploitations à forte dynamique » 4
3.Type 2 : «Exploitations familiales aux investissements limités, dominance élevage» 6
4.Type 3 8
5.Type 4 9
6.Type 5 10
7.Type 6 11
8.Exploitation 14 « Petite exploitation avec peu de moyens, élevage dominant » 12
9.Influence du fonctionnement sur la perception du travail 13
1.Type 1 « Grandes exploitations à forte dynamique » 13
10.Type 2 « Exploitations familiales aux investissements limités peu, dominance élevage » 13
11.Type 3 14
12.Type 4 14
13.Type 5 14
14.Exploitation 14 14
Sommaire des tableaux
Sommaire des figures
Introduction
La Picardie est une région agricole à forte dominance des productions végétales. On trouve cependant certaines zones dans lesquelles l’élevage est présent (dans le pays de Bray, la Picardie verte, la Thiérache). Les exploitations de polycultures-élevage représentaient près de la moitié des exploitations Picardes en 2006 (45% avec 5 600 fermes). On a pu observer une baisse globale du nombre d’élevage ces dernières années, cette disparition étant fortement corrélée avec la zone d’implantation ; en effet, celle-ci est plus prononcée dans les régions possédant déjà peu d’exploitations.
Les enjeux de cette réduction du nombre d’exploitations polyculture-élevage sont multiples, d’une part elle entre composition dans des enjeux environnementaux (paysage, qualité de l’eau, érosion, biodiversité…) et d’autre part dans des enjeux économiques et sociaux (emplois, rentabilité…) Une étude sur les facteurs de diminution du nombre d’élevages en Picardie montre qu’ils sont de nature variée : Restructuration, astreinte et contraintes de travail, incertitudes économiques, investissement pour les mises aux normes et image du métier.
Nous allons nous concentrer sur la perception de leur travail par les éleveurs de troupeaux allaitants (car parmi les éleveurs bovins lait et ovins, ce sont ceux qui estiment leur travail le plus dur et le plus pénible). Nous allons nous poser la question suivante : « Quels éléments du fonctionnement de l’exploitation expliquent la perception qu’a l’agriculteur de sa charge de travail et la pénibilité dans les élevages polyculture-viande ? »
Nous avons travaillé sur 18 exploitations enquêtées par les élèves de la 149ème promotion, ce qui nous a rendu le travail plus difficile en raison des disparités entre les travaux. Avant de pouvoir répondre à cette question, nous avons eu besoin d’effectuer une typologie des exploitations (minimiser la variabilité intra-type et maximiser la variabilité inter-type), en les classant selon des critères de ressemblance (objectifs, stratégie, caractéristiques). C’est pourquoi nous vous présentons dans un premier temps la typologie que nous avons réalisé puis dans un second temps les corrélations entre type d’exploitation et le ressenti des éleveurs quand à leur travail.
1.Classement des exploitations agricoles 2.Type 1 : « Grandes exploitations à forte dynamique » Le type 1 comprend les exploitations 1, 2, 6 et 12.
Les ressemblances entre ces exploitations sont exposées dans le schéma de fonctionnement. Ce sont ces fortes ressemblances qui nous ont permit de créer ce type. On remarque que les grandes dominantes est le niveau de qualité de vie, l’importance des relations extérieures, ainsi qu’une surface agricole utile importante.
Toutes ces raisons nous ont amené à nommer ce type de la façon suivante : « Grandes exploitations à forte dynamique »
Malgré tout on observe des divergences. Elles concernent le choix de la race, on voit que les exploitations 2, 6 et 12 utilisent la race Charollaise à l’opposé de la première exploitation qui a choisit la race Limousine en Label Blason prestige. Les modes de commercialisations sont différents mais tous très réfléchis afin d’avoir une marge brute maximum sur l’atelier bovin.
La place de l’exploitation numéro 12 peut se discuter. Il s’agit de la plus différente du groupe. Notre choix s’est porté sur ce type en raison des conduites communes des ateliers PA et PV et de la volonté de créer un emploi, ce qui, dans un futur proche, le rapprochera encore des autres exploitations du type. Tableau Bilan des caractéristiques du type 1
Ferme
| SAU (Ha)
| Bâtiments
| Matériel
| Main d’œuvre
Organisation
| Productions végétales1
| Productions animales2
| Conduite
Commercialisation
| Relations
Diversification
| 1
| 260
| 3 hangars (2000m² aux normes+ 2 appentis (matériel + stockage lin)
| Propriété (beaucoup) + Copropriété (moissonneuse, taureau) + ETA avec son matériel
| Couple d’exploitant + 2 salariés à plein temps en CDI
Gain temps, pas de travail le weekend
| Blé, orge de printemps, escourgeon, pois, colza, lin textile, miscanthus, BS, luzerne, prairies
| 45 VA
120 têtes
Limousine
| 1. Traditionnel ; Labour
| Syndicat des éleveurs Limousins Haute Normandie
GDA
V.P Coopérative déshydratation
Chambres d’hôtes
| 2. IA + monte naturelle, herbe l’été, nourries 1/J, vaccins systématiques
Label Blason prestige
| 2
| 228,7
| Construction personnelle + location (stockage matériel)
| Propriété (beaucoup) + Copropriété (semoir BS) + CUMA (traitement semences)
| Exploitant
Sa femme (1/2)
Stagiaire ¾ année
| Blé, orge d’Hiver et Printemps, BS, colza alimentaire et industriel, lin, luzerne, prairies
| 105 VA
256 têtes
Charollaises
(10 taureaux)
| 1. Raisonnée, TSL, fongicide systématiques.
Vente Coopérative, contrat éthanol
| Administrateur coopérative agricole
Syndicat de l’Eure
Régime de viande normande
| 2. Monte naturelle, achat aliments
| 6
| 336
| Stabulation aux normes + Bâtiments d’élevage + Corps de ferme
| ETA (moisson, récolte BS) + Propriété (occasion ou neuf) + système surveillance vêlages
| Exploitant
Salarié plein temps
Sa femme (2/3)
Maçon occasionnel
Répartition des tâches ↑ temps libre
| Prairie, blé, escourgeon, colza, BS, féverole, lin, légumes
| 55 VA
Charollaise
| 1. Irrigation, agriculture de précision, fumier
Marché à termes, coopératives
| Président syndicat charolais département
Conseiller municipal
| 2. IA, vêlage en hiver, autonomie alimentaire, 7 mois à l’herbe
Vente à négociant
| 12
| 200
| Bâtiment d’élevage aux normes + hangar de stockage
| Propriété+ CUMA (chicorée) + ETA (fumier) + Entraide (paille)
| Exploitant
Aide familiale
| Blé, chicoré, lin textile, maïs ensilage/seigle et grain, prairie, colza, RG semence, PDT
| 70 VA
Charollaises
| 1. Conventionnelle (labour)
Coop, multiplicateur semence,
|
| 2. IA (2ans)
Groupe alliance, vente février
|
Grâce à toutes ces observations, nous avons pu construire le schéma de fonctionnement standardisé pour le type « Grandes exploitations à forte dynamique», qui nous aidera à agencer de nouvelles exploitations si besoin et d’avoir une vision globale du groupe. Vous pouvez le trouver dans la figure ci-dessous.

Figure Schéma de fonctionnement standardisé du type 1
3.Type 2 : «Exploitations familiales aux investissements limités, dominance élevage» Le type 2 regroupe les exploitations 3 et 11.
On peut trouver une synthèse des ressemblances dans le schéma de fonctionnement général du type (figure 2). Ces ressemblances nous ont conduits à nommer ce type «Exploitations familiales aux investissements limités peu, dominance élevage».
En effet, il y’a une forte volonté de la part des agriculteurs de baisser les charges au maximum. Ils sont également liés par leur passion pour l’élevage. Une forte volonté d’autonomie se dégage de ce type.
En ce qui concerne les dissemblances, on peut citer la taille qui varie un peu (de70 à 260 ha), cela aurait pu être une raison de scinder ce type en 2 sous types. Nous avons choisi de ne pas le faire.
L’exploitations 18 se démarque par son taux d’investissement supérieur. Tableau Bilan des caractéristiques des exploitations du type 2
Ferme
| SAU (Ha)
| Bâtiments
| Matériel
| Main d’œuvre
Organisation
| Productions végétales1
| Productions animales2
| Conduite
Commercialisation
| Relations
Diversification
| 10
| 155
| Construction personnelle stabulation
Prêt de hangar pour stockage matériel par le voisin
| 2 CUMA ( (beaucoup de matériel)
ETA (semis+récolte BS)
Propriété (peu) et copropriété
Système de surveillance des vêlages
| Exploitant
Apprenti
Sa femme (80%)
Aide familiale occasionnelle
| Blé, féverole, BS, colza, maïs, prairie
| 55 VA
250 têtes
Broutards
Blonde d’Aquitaine
| 1. Traditionnel ; Labour, Logiciel Farm star, bilan azoté. Stockage l’été
|
| 2. Alimentation autonome + tourteau de colza, herbe printemps-automne,
Groupement vêlage, vaccination systématique, amélioration génétique qualités maternelles
Vente Bleu blanc cœur, SOCOPA
| 13
| 70
| Bâtiments mis aux normes
Location étable (60 taurillons)
| Propriété suréquipement
ETA (récolte maïs)
Entraide (moisson)
| Exploitant
Sa femme : comptabilité
| Blé, prairies, Maïs ensilage, BS, colza
| 40 VA
2 taureaux
150 taurillons
Charollais
| 1. Traditionnelle, classique. Vente à coopératives, Saint Louis pour BS,
| Président association foncière de Tricot
Beaucoup entraide
| 2. Maïs ensilage, monte naturelle, 2 lots de VA, vaccination systématique. Vente à un maquignon
| 16
| 260 (43 en propriété)
| Stabulation neuve aux normes
Ancienne stabulation : stockage matériel
| Propriété : autonomie
Copropriété : benne, épandeur
ETA (ensilage maïs)
Entraide (moisson)
| Exploitant
Aide familiale
Installation du frère
| Prairie, blé, escourgeon, colza, maïs ensilage, luzerne pois
| 60 VA
40taurillons
/génisses
2 taureaux
Charollais
| 1. 50% blé/blé, utilisation fumier, paille orge broyée
Vente coopérative direct
|
| 2. 7 mois en pâture, valorisation produits de l’exploitation, monte naturelle (un peu IA)
Vente à un négociant
| 17
| 190
| 2 stabulations vétustes
MAN
| Propriété
Cuve récupération eau de pluie
| Couple d’exploitant (2 UTH) partage des tâches
Entraide
| Prairie, Blé, maïs, BS, orge, luzerne, pois
| 130 têtes
Taurillon
| 1. Labour, rotation des pâtures.
Luzerne : UCDV, BS : sucrerie locale, Céréales coopérative
| GDA
Entraide
Mme : Administratrice Groupama, GDS, AREVN, GDFA, fédération
| 2. IA, amélioration génétique, herbe l’été, une période de vêlage, contrôle de croissance, séparation des bovins
| 18
| 82 (17 en propriété)
| 2 Stabulations (origine+2005)
2 appentis (stockage)
Local phyto aux normes
| Parc complet en propriété
| Exploitant(1 UTH)
Aide familiale occasionnelle
Stagiaire occasionnel
| Blé, BS, colza, luzerne, maïs ensilage, prairies
| 30 VA
20 génisses
Taureaux
84 têtes
Charollais
| Labour, rotation fonction des terres, enrubannage, optimiser fumure BS : Saint-Louis, luzerne UCDV,
| Adhérent au Syndicat charollais
| Ration simple et complète, IA, échographie, forte surveillance chaleurs, vêlage automne, contrôle de croissance
Vente à SOCOPA, marchand, fermes
|

Figure Schéma de fonctionnement standardisé du type 2
4.Type 3 Tableau Bilan des caractéristiques des exploitations du type 3
5.Type 4 Tableau Bilan des caractéristiques des exploitations du type 4
6.Type 5 Tableau Bilan des caractéristiques des exploitations du type 5
7.Type 6 Tableau Bilan des caractéristiques des exploitations du type 6
8.Exploitation 14 « Petite exploitation avec peu de moyens, élevage dominant »
Cette exploitation ne se rapproche d’aucune autre.
Tout d’abord, la petite taille de l’exploitation (32 ha) est étonnante, puis vient ensuite son mode de fonctionnement un peu particulier. En effet, l’exploitant se considère avant tout comme un éleveur et non un cultivateur, c’est pourquoi il délègue l’ensemble des interventions sur les productions végétales à son voisin. Parmi les 18 exploitations, il est le seul à fonctionner de cette façon.
L’alimentation du bétail se fait quasi-exclusivement avec les produits des cultures, ce qui se traduit par une très forte autonomie alimentaire
Les faibles moyens peuvent aussi être mis en avant par le peu d’investissements réalisés au niveau du matériel et même des bâtiments.
Le problème de ce genre d’exploitation est qu’il n’y a pas de reprise et que de toutes façon Tableau Bilan des caractéristiques de l'exploitation 14
Ferme
| SAU (Ha)
| Bâtiments
| Matériel
| Main d’œuvre
Organisation
| Productions végétales1
| Productions animales2
| Conduite
Commercialisation
| Relations
Diversification
| 18
| 32
| Ancien bâtiment rénové
| Peu propriété (tracteur, matériel de fenaison, concasseur, broyeur) aucun matériel de culture
Exploitation des terres par son voisin : entraide
| Exploitant
Ne s’occupe que de l’élevage
| Prairie (majorité),
Orge printemps, féverole, blé, luzerne (petites surfaces)
| 26 VA
1 taureau
Charollais
| 1. Rotations importantes, agriculture raisonnée
Vente en coopérative
| Syndiqué FDSEA
Adhérant société de chasse du village
| 2. Autonomie alimentaire complète, monte naturelle, vêlages en hiver
Vente à des marchands
|
9.Influence du fonctionnement sur la perception du travail
Après avoir réalisé une typologie des 18 exploitations à notre disposition, nous pouvons à présent analyser La corrélation entre le fonctionnement d’une exploitation et la perception qu’à l’agriculteur de son travail. Pour cela nous allons procéder type par type afin de mieux comprendre les réponses des agriculteurs et d’en tirer des conclusions.
Type 1 « Grandes exploitations à forte dynamique » Tableau Perception du travail pour le type 1
-
Fermes
| Charge de travail
| Pénibilité
| Qualité de vie
| Nombre de jours de vacances
| Nombre de semaines de surcharge
| 1
| Moyenne
| Moyenne
| Élevée
| 2 semaines
| 0
| 2
| Élevée
| Moyenne à élevée
| Moyenne
| 0
| Certains mois
| 6
| Moyenne
| Moyenne
| Bonne
| 2 semaines
| Toute l’année
| 12
| Moyenne
| Faible
| Faible (peu de vie de famille)
| 0
| Été et hiver
|
Nous allons regarder les choses dans leur globalités, c’est l’intérêt d’avoir classer les exploitations par type.
La charge de travail ressentie par ces éleveurs est due à la taille des exploitations, ce sont des grandes exploitations avec un cheptel conséquent ce qui induit une certaine charge de travail. En parallèle la bonne organisation du travail et la répartition de celui-ci entre les différents acteurs permet d’avoir une bonne qualité de vie. Sauf pour l’exploitant 12 qui regrette d’avoir peu de vie de famille, ce qui est du au temps qu’il passe à travailler sur sa ferme.
Le bon équipement de ces exploitations leur facilite l’exécution des tâches pénibles, ce qui se traduit par une pénibilité relativement acceptable.
La main d’œuvre étant d’origine familiale et salariale, le dégagement de temps libre est possible pour l’exploitant ou le couple d’exploitant.
10.Type 2 « Exploitations familiales aux investissements limités peu, dominance élevage » Tableau Perception du travail pour le type 2
-
Fermes
| Charge de travail
| Pénibilité
| Qualité de vie
| Nombre de jours de vacances
| Nombre de semaines de surcharge
| 10
| Moyenne
| Faible
| Moyenne
| 12 jour/an
| 10 semaines
| 17
| Élevée
| Moyenne
| Bonne
| 0 (souhait)
| 0 (bonne répartition du travail sur l’année)
| 18
| Moyenne
| Forte l’hiver
| Bonne
| Quelques WE organisés (syndicat : visite d’exploitation)
| 0
| 13
| Moyenne
| Faible
| Bonne
| 0
| 2-3 semaines
| 16
| Très élevée
| Moyenne/faible
| Bonne
| 1 semaine
| 0
|
Pour ce type, on remarque que la charge de travail est plus élevée. On explique ce sentiment du fait que la main d’œuvre soit familiale. Malgré tout, la pénibilité de travail est faible et la qualité de vie plutôt bonne, ce qui résulte d’une bonne organisation du travail. La passion du métier peut également expliquer la sous-notation de la pénibilité.
Les exploitants ne prennent que peu de vacances, par conviction surement ou alors par problème pour trouver un remplacent.
11.Type 3 Tableau Perception du travail du type 3
Ferme
| Charge de travail
| Pénibilité
| Qualité de vie
| Nombre de jours de vacances
| Nombre de semaines de surcharge
| 4
| Moyenne
| Moyenne
| Très bonne
| 2 semaines
| 3 semaines
| 5
| Très élevée
| Élevée
| Bonne (métier par passion)
| 0
| Toute l’année
| 7
| Élevée
| Très élevée
| élevée
| 1 semaine
|
|
12.Type 4 Tableau Perception du travail du type 4
Ferme
| Charge de travail
| Pénibilité
| Qualité de vie
| Nombre de jours de vacances
| Nombre de semaines de surcharge
| 3
| Très élevée
| Très élevée
| moyenne
| 3-4 jours
| 50
| 11
| Élevée
| Moyenne
| Moyenne
| 0
| 8 semaines
|
13.Type 5 Tableau Perception du travail du type 5
Ferme
| Charge de travail
| Pénibilité
| Qualité de vie
| Nombre de jours de vacances
| Nombre de semaines de surcharge
| 8
| Élevée
| Moyenne
| Bonne
| 1 semaine
| Toute l’année
| 9
| Élevée
| élevée
| faible
| 0
| 8 semaines
| 15
| Très élevée
| Moyenne
| faible
| 2 semaines
| 0
|
14.Exploitation 14 Tableau Perception du travail de l’exploitation 14
Ferme
| Charge de travail
| Pénibilité
| Qualité de vie
| Nombre de jours de vacances
| Nombre de semaines de surcharge
| 14
| Moyenne
| Moyenne
| Faible
| 0
| 2 semaines
|
Étant donné que cette exploitation ne rentre dans aucun type, il ne serai pas significatif d’analyser ses résultats de l’enquête sur la charge et la pénibilité du travail.
Conclusion Nous avons essayer de faire de notre mieux en fonction du peu de temps qui nous était imparti. La typologie n’a pas toujours été facile à réaliser, les données ayant été récoltée et traitée par des étudiants et par des groupes différents. Souvent, les tableaux ne sont pas complets, ce qui peut nous amener à avoir un jugement erroné sur l’exploitation. Ce que nous avons pu constater, c’est qu’il nous aurait été impossible d’analyser de façon optimale les résultats de l’enquête sans avoir réalisé au préalable une typologie, les résultats auraient été trop dispersés et difficiles à analyser. Après avoir regardé les perceptions du travail pour chaque type, on peut voir qu’il existe une corrélation entre les type constitué et la perception qu’ont les exploitants de leur travail.
Ceci est logique puisque le fonctionnement et l’organisation de l’exploitation influent de façon importante sur le travail.
Institut Polytechnique Lasalle Beauvais ; 19, Rue Pierre Waguet ; 60000 Beauvais
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