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28/11/2006 Bonjour! Très bonne initiative! Nous pourrons dorénavant commenter les documents, photos, textes qui apparaissent dans notre site. Nous interroger, demander des précisions.., des nouvelles de copains...etc Nul doute que ces petits bavardages contribueront, par recoupements, à faire revivre notre passé là-bas. Merci Henri! Manuel Bonjour Henri !!! Voilà ce qui manquait au site et c'est une très bonne idée de pouvoir retrouver toutes nos racines de làbas !!! Comment-faire pour ajouter une photo sur le forum ou le livre d'or? Je pense que tous ceux qui regarderons le site " se quedarane con la boca avierta " i con algunas lacrimas !!! J'ai encore retenu les leçons de notre Cher professeur ORTEGA !!! Donc à bientôt pour des retrouvailles sur le WEB !!! Jean-Pierre Haro Je suis allé en classe avec un Haro, Raymond me semble-t-il( né en 1939 ou 38). Il était pensionnaire, petit de taille. Je crois qu'il y en avait un autre, plus âgé ( 36).Serait-ce un frère de JP Haro? Si oui, que devient-il? Manuel Bonjour Manuel! Je n'ai aucun lien de parenté avec Haro Raymond que j'ai aussi connu en pensionnat au Collège Leclerc qu'en à l'autre Haro je n'ai aucun souvenir il était sûrement plus au Collège lorsque je suis arrivé. Mais peut être en remontant du côté de ALméria en espagne il se pourrait que l'on soit cousin éloigné !!!!Car beaucoup de HARO venaient de cette région !!! On m'a déjà posé la question si j'étais parent avec un Haro qui habitait jadis " la Calle del sol à SBA " Voilà mon cher Manuel la réponse à tes interrogations . Le Forum a démarré Henri doit être fier de son idée qui permettra à nous tous de SBA où d'ailleurs de revenir sur des sujets qui nous tiennent tous à coeur. Mes amitiés " y à otra vista " Jean-Pierre Haro Bonjour JP Je connaissais très bien les Haro de la Calle del sol. Ils habitaient un patio dont mon père était propriétaire avec ses trois soeurs. la cour a été rasée et une superbe mosquée occupe la place. C'était la cour des miracles où pratiquement tous les voisins étaient plus ou moins apparentés par le mariage des enfants. Curieusement, j'ai appris dernièrement que ces Haro étaient aussi des cousins de Jean Paul De Haro, joueur et mordu de Foot. Beaucoup de "Haro" venaient d'Andalousie . Ils devaient être là depuis deux ou trois siècles. Les premiers "Haro" venant du nord de la Péninsule, de la ville de"Haro" , la province de Logroño, voisine de la Navarre. Manuel 2/12/2006 Bonjour 1-Je suis à la recherche d'une cousine Marie-Rose Vicente (et de son frère Émile) qui habitait Bel Abbès avec ses parents. Malheuheuresement, je ne possède aucun document. Son frère Émile était dans la police à SBA et à Oran So père, était gérant d'un club privé qui se situait dans une grande artère de la ville, au premier étage. Là se trouvait une scène de théatre, un bar et des machine à sous. J'y allait avec mon père, lorsque j'étais enfant mais aucune souvenance du nom du lieux. Ils habitait, un patio, en bordure de la ville devant une sorte de terre-plein avec des arbres. Merci de vos efforts pour me rafraîchir la mémoire Michel Gonzales J'ai retrouvé bien des copains de jeunesse et de mon école EGA à Blida grace au 118012.fr gratuit et si la personne a le tel tu as ainsi toutes les personnes demeurant en terre française. Bonne chance un Bel Abbesien qui je crois te croise sur d'autres sites PN René Soro 11/12/2006 Potache de 1954 a 1962,je me souviens de ma premiere rentree!!! pour adoucir la rupture relative familiale, mes parents m enmenerentjuste avant cette rentree, à l olympia cinema jouxtant le lycee, ou le premier film cinemascope paradait( LA TUNIQUE AVEC VICTOR MATURE)!!! a suivre!! bien a tous jean-Paul La plupart de nos enseignants n’étaient pas de simples enseignants mais de vrais maitres. Les racines de reussites sociales leur sont dues!! Notre admiration , notre respect, notre affection sont loin de combler notre dette!!! jean-Paul Tout à fait et aussi, pourquoi ne pas le dire, l'effort impressionnant des gouvernements successifs pour attirer et implanter partout ces maitres dans d'excellents établissements bien dirigés (la taupe "bugeaud" intégrait largement dans les grandes écoles, je peux citer plusieurs belabbesiens ce n'était pas le cas partout en province métropolitaine) avec des mesures incitatives efficaces ("tiers colonial", paquebot tous les deux ans, bourses) par mes parents je sais que tout cela était déjà en place au début du XXe siècle (mon père et ses 5 frères ont fait des études supérieures au fond du constantinois ce qui implique à l'époque des bourses pour le secondaire voir pagnol ma mère jeune fille était instit avec son "brevet simple"et a eu des classes dites "arabes-françaises" où elle enseignait à la fois le français et la lecture) politique des "lumières" bien comprise Jean-Jacques 10/4/2007 Je vais essayer d'être calme et d'expliquer la "chose": Où est le Tiers dit colonial? Je m'explique: Instituteur titulaire au 1.01.62 à Tessala. salaire 717,15 NF au 1/01/63 en France salaire 794,16 NF sans l'indemnité de logement Qui peut me dire OU SONT LES 33 % de salaire en plus que nous avions?????? Depuis mon entrée dans l'enseignement(1955) et service militaire j'ai gardé mes fiches de paie. "Je les ai gardées." Avec preuves à l'appui j'ai mis sous le nez de cette directrice d'école qui me maintenait que nous avions 33 % en plus en Algérie. Personne n'a pu m'expliquer la chose ou bien c'était de l'intox. René 14/12/2006 Boukanéfis , c'était un petit village à 17 kms à l'ouest de Bel-Abbès, mais ce nom était très connu du fauburg Négrier, Cité des Amarnas et faubourg Thiers. Ce que l'on appelait "la traverse de Boukanéfis" était une route qui limitait au Nord la Cité des Amarnas. C'était là que se trouvaient nos terrains de foot habituels. Je me souviens bien de cette plaque routière qui rappelait: Boukanéfis 16,5 kms. Agé de 13 ou 14 ans , nous aimions jouer aux coureurs du Tour de France et avec quelques copains, nous enfourchions nos lourds vélos routiers sans dérailleur et nous faisions le circuit Bel-Abbès, Détrie, Palissy, Boukanéfis, ( un peu plus de 20 kms) et nous revenions par la dite traverse.En combien de temps? Je ne m'en souviens plus. Boukanéfis c'était aussi le village de Reverdito qui joua au SCBA( il y en eu d'autres), de mes copains de classe Pomédio, Ortéga Christian( qui vit quelque part du côté de Fréjus), et ses frères plus âgés, Jeannot et l'aîné , un fort en Maths celui-là.Il devait y en avoir d'autres encore dont je ne me souviens plus le nom. Notre ami Winum que j'ai très vite reconnu dans une photo de collège(assis entre le prof et mon beau-frère Ruiz Manuel)allait dans la classe juste au-dessous de la mienne. Je connais pratiquement tous les élèves de cette classe dont certains avaient mon âge:Merlo, Rodriguez Jean, Sierra,Rubio,,Gomez le rouquin , Tortosa et peut-être Mialet. Manuel Le nom de Boukanéfis était surtout connu à Bel-Abbès grâce à sa "traverse".Ainsi nommait-on la route qui, en principe, devait permettre de rejoindre ce village plus rapidement que par la nationale qui reliait notre ville à Tlemcen. C'était un raccourci en quelque sorte. Sauf que ce raccourci, aux dires de certains esprits mal intentionnés, paraissait plus long que la voie normale. Aussi, quand on voulait faire allusion à quelque chose de tortueux fait de sinuosités perverses, on n'hésitait pas à employer l'expression devenue courante :" C'est droit comme la traverse de Boukanéfis ! ". Mais bien entendu, il ne fallait voir là qu'un trait de l'humour de nos compatriotes. "Droit comme la traverse de Boukanéfis" Oui, c'était une expression que nous utilisions très souvent dans le faubourg. Adolescent , je me coiffais avec la raie au côté. Souvent ma mère me disait : " Ta raie ressemble à la traverse de Boukanéfis" Dès le début, cette "traverse" longeait le canal d'irrigation, et était presque parallèle à la rue Jean Macé, absolument rectiligne, direction Est- Ouest. Mais au bout de 250 mètres environ, elle bifurquait subitement plein sud , sud-ouest où étaient situés les villages de Boukanéfis, Tabia, Chanzy...etc. Amitiés M. Rodriguez À propos de Boukanéfis, j'avais autrefois un camarade originaire de cette petite agglomération, Jeannot Ortéga, compagnon de classe et de foot, dont je garde un excellent souvenir. Quelqu'un pourrait-il nous faire savoir ce qu'il est devenu ? Amitiés.
14/12/2006 souvenir des horaires de potaches!!!! huit annees de sonneries !!! Lever le matin à 6h20 , études de 7h à 7h 30, petit déj !!! cours, repas midi, recreation, étude de 1h30 à 14h, cours , récré de 16h à 17h, puis grosse étude de 17h a 19h30, repas, dortoir à 20h30, extinction des feux à 21h!!! sortie autorisée le jeudi de 13h 30 a 17h, le dimanche de 8h à19h à condition de n’avoir pas de punition consigne!! encore aujourdhui , il m arrive de me réveiller sans artifice à 6h 20!! la récréation voyait les passionnes de foot, repartis en deux équipes, s’exercer à jouer d’une petite balle, sur le terrain de hand ( cet entrainement à la brésilienne formera des joueurs exceptionnels, n est ce pas Norbert!!!) bien à tous Jean-Paul Lorsque les externes (dont je faisais partie) arrivaient au collège le matin, ils avaient parfois le privilège d'assister aux fins de parties de foot des internes. C'était du beau spectacle passionné avec dribbles à gogos et commentaires pittoresques criés des joueurs qui résonnaient dans notre cour principale dépourvue d'arbres. J'ai toujours été surpris de voir certains d'entre eux très volontaires lors de ces parties endiablées,et afficher une apathie surprenante lors des cours de gym ! Il fallait bien récupérer quelque part.Les élèves qui pratiquaient le hand ou le basket OSSU voyaient rarement leurs camarades fotballeurs, les matches se déroulaient aux mêmes heures le jeudi après-midi sur des terrains trop éloignés les uns des autres. Mais nous nous rencontrions sous le préau qui servait de vestiaire. Quand les internes footballeurs rentraient décontractés et souriants, on devinait vite le résultat de leur confrontation. Henri 15/12/2006 A propos de la photo de Galipienso publiée sur notre site. Entre la café Rebibo et la banque d'Algérie, il y avait un marchand de journaux Algérien .Il avait une longue table sur tréteaux installée sur le trottoir. Je ne me souviens plus des commerces établis à cet endroit . Dans les fenêtres du premier étage se trouvait l'appartement du docteur Authier qui était aussi le médecin scolaire du collège leclerc. Manuel R. Entre la brasserie Rebibo (anciennement Douat) et la Banque d'Algérie il y avait un Restaurant et le salon de coiffure Serna (oncle de notre camarade Dédé de Laperrine et remarquable basketteur).Mais il existait peur-être un autre commerce. Amitiés Jean-Paul Décembre 2006 Lu aujourd'hui dans "La Provence", un article concernant la future diffusion à la télé (ou à "la Criée pour les marseillais" ) d'un film documentaire intitulé "Histoires d'une blessure" qui retrace le drame de notre exil par le biais de divers témoignages. Ce film , de Gilles Perez, qui "tord le cou aux idées recues" rappelle que l'immense majorité des pieds-noirs qu'on assimilait trop facilement à de riches colons, n'étaient en réalité que de petites gens aux revenus modestes bien inférieurs à ceux des métropolitains, qui vivaient en harmonie avec les Arabes. Ce film sera diffusé sur France3 Méditerranée les 13, 20 et 27 janvier prochain à 16h20. Après presqu'un demi-siècle, il est temps que la "vraie" Histoire commence à se mettre en place pour rendre justice à notre communauté. Antoine Ce documentaire est déjà passé en Poitou Charente. Je l'aurai dans la région en janvier sûrement, avec ceux du sud de la France. Il paraît qu'il bouscule enfin les idées reçues. Nous verrons! Jusqu'à présent nous n'avons cessé d'avaler notre salive. l'abandon de l'Algérie avait soulagé la France entière. L'ORTF , unique chaîne,aux mains de qui vous savez, n'avait cessé de matraquer des contrevérités à notre sujet. Il fallait nous enfonçer, tous, sans exception....pour avoir bonne conscience. Dernièrement,lors du fameux arrêté voté à l'assemblée reconnaissant quelques côtés positifs à la présence Française en Algérie, avez-vous vu dans un quotidien ou un hebdomadaire de quelque tendance politique la moindre allusion aux tâches réalisées par nos grands-parents. Ce fut le mutisme complet.Tous unanimes! Même cet imbécile d'Ardisson affirmait que ce décret était une "connerie"qui irritait les Algériens.Quelle blague! Cela irritait leur très rusé président, un point c'est tout. Pourtant avant que notre président ne se dégonfle, 63% des français reconnaissaient encore ce côté positif. Des historiens affirmaient que toutes les infrastructures avaient été réalisées par les Algériens . Tout juste si on n'évoquait pas l'esclavage. Certes les Algériens travaillaient aussi et ils recevaient une rémunération comme les autres. Quand je pense que dans nos faubourgs, c'était en tout cas vrai dans le mien jusqu'en 62, 75% des Européens étaient des maçons,des manoeuvres,des charpentiers,des plombiers, des peintres,des carreleurs,des plâtriers,travaillant dans des entreprises de constructions. Ils étaient souvent payés à la quinzaine et leurs épouses achetaient parfois à crédit dans les épiceries. J'arrête là! Manuel on s'en passait, on n'avait pas de jouets à Noël on s'en passait) c'était une autre vie c'est tout et effectivement le bonheur des parents était d'avoir un enfant fonctionnaire mais je ne pense pas que cétait vraiment pour la paie je pense que c'était à leurs yeux une catégorie "supérieure" et ils voulaient le bien de leurs enfants (normal)en tous les cas qu'est ce qu'on regrette ce temps là!!!!! bonnes fêtes de fin d'année à tous. Difficile d'imaginer ces temps si différents. Riches ou pauvres ? Le seuil de pauvreté a tellement changé... Mais, adolescent, je me souviens des réflexions que j'entendais: beaucoup révaient de voir leurs enfants devenir fonctionnaires. Là se situait le "top". la nature de leur choix s'expliquait par la connaissance in vivo de leurs mêtiers d'artisans, d'employés ou d'agriculteurs (surtout quand on possédait peu de terrain, ce qui constituait l'immense majorité) Si l'on transpose fonctionnaire en Métropole à la même époque,on n'appellait pas celà un mêtier de riche. On me dira qu' il y avait pour les fonctionnaires ce fameux supplément de salaire "tiers colonial" mais en métropole dans les années 50 un salaire de fonctionnaire même avec un tiers supplémentaire était-il vraiment un revenu de riche ? Henri La première partie diffusée sur FR3 est programmée pour les régions Aquitaine et Méditerranée, samedi 13 janvier à partir de 16h.Je pensai que me trouvant entre les deux, près de Toulouse, nous pourrions aussi le recevoir. Je n'en vois pas trace sur le programme télé de cette semaine(?!?). Quelqu'un peut-il me communiquer la programmation dans ma région Midi- Pyrénées. Merci Manuel bonjour Manuel, je suis comme vous à l'affut de voir ce film, je vais d'ailleurs sûrement le commander. Pour les diffusions voici les dates pour régions Languedoc Roussillon + Midi Pyrénées les 24, 31 Mars et 7 avril à 16 H 20. Amitiés Adrienne Merci Adrienne d'être sortie de ton isolement à la Gare de l'Etat pour répondre à mon appel au secours. Il me faudra donc patienter encore. J'attendrai donc vos commentaires en attendant. "A voir si" vous êtes bavards, che! Manuel Mais non Manuel je n'étais pas "en isolement" mais j'habite dans la région Lyonnaise (ciel bas, pluie brouillard tché marre de marre) j'ai mis quelques affaires dans un sac et la voiture dans le sens du midi directement BORMES LES MIMOSAS et voilà 4 jours de rêve.... no comment..... Adrienne Bonjour à tous Télé 7 jours indique la diffusion samedi 13 janvier à 16h20 sur FR3 Aquitaine sous le titre "les Pieds-Noirs". 2ème et 3ème parties les samedis 20 et 27 à la même heure. Dans les Landes je peux capter FR3 Aquitaine et Midi-Pyrénées, et toi Manuel? Bien sûr, ce serait bien que chacun donne ensuite son ressenti... Le forum va chauffer...affaire à suivre. Amitiés. Raymond. Je retransmets cette info, quelques précisions techniques importantes Henri Bonjour, Un petit message pour vous informer de la diffusion, sur France 3 Méditerranée (= toute la région PACA) et sur France 3 Aquitaine (= Région Aquitaine), du premier épisode de la série Les Pieds Noirs, Histoires d'une blessure. Donc, vous pourrez voir : - Samedi 13 janvier à 16h20 : Les Pieds Noirs, les années romantiques. - Samedi 20 janvier à 16h20 : Les Pieds Noirs, les années dramatiques. - Samedi 27 janvier à 16h20 : Les Pieds Noirs, les années mélancoliques. Attention, dans ces 2 régions, il faut capter France 3 par le canal hertzien (antenne normale de la télévision) et ne pas regarder France 3 sur TPS ou sur le satellite, le décrochage régional n'intervenant pas sur le satellite. Il est tres important de faire passer le message, pour que l'audience "explose" dans ces deux régions, donc merci de faire jouer le "tam tam" et le téléphone arabe, pour qu'un maximum d'Aquitains et de Provençaux regardent samedi la télévision à 16h20. Vous pourrez aussi donner vos réactions, un espace web est en préparation sur France 3. Des informations sur le film sont déjà présentes sur France 3 Aquitaine et France 3 Méditerranée : http://aquitaine.france3.fr/emissions/27222163-fr.php http://mediterranee.france3.fr/emissions/27283021-fr.php Nous comptons sur votre soutien et pour qu'un maximum de personnes soit devant la télévision samedi. Merci encore, Cyrille PS : pour toutes les personnes qui ont une Freebox, ils peuvent regarder France 3 Méditerranée, dans la France entière, sur le canal 323 de la Freebox .. encore une raison supplémentaire de transmettre ce message aux maximum de personnes pouvant être intéressées Cyrille Perez Merci Henri pour les infos. Par curiosité je suis allé voir le forum créé sur FR3 Aquitaine pour le film des Pieds Noirs. Hé bien, sans avoir encore vu le film, ça chauffe déjà sur le forum... Et les PN ne se laissent pas marcher sur les pieds...noirs. A+ Raymond J'ai trouvé ceci dvd=Pour le double DVD le prix est de 20 euro+port et doit être commandé à l'adresse suivante: dvd@13ausud.com qui vous enverra un bon de commande! site=http://www.lespiedsnoirs-lefilm.com/ j'ai déjà reçu le bon de commande en .doc et .pdf amitiés jjk j'ai déjà reçu le bon de commande en .doc et .pdf |
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