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30/4/2007Camerone, Bir-Akeim , Dien Bien Fu...la Légion. Dès que j'entends ces mots, l'émotion m'étreint. Il n'y a pas que de la joie, mais de la tristesse aussi. Beaucoup de "notables" de Bel-Abbès étaient dévoués corps et âme au régime de Vichy. Heureusement il y avait la Légion qui a toujours su garder son honneur. Je revois encore ce jeune légionnaire, menottes aux poignets, insignes arrachés, encadré par une paire de gendarmes qui le rudoyaient, traverser la ville à pied. " Un déserteur !" m'a-t-on dit. Méritait-il un pareil traitement ? Aujourd'hui, je réponds encore non ! Je revois encore ces braves, musique en tête, aller à la gare, direction Oran et l'Indochine en guerre. Combien en sont revenus ? Dans l'Aurès, lorsque nous étions en difficulté, la Légion venait à notre secours, pas les paras qui ont eu beaucoup trop d'honneurs. Voilà, chaque fois que j'entends en dire du mal, la colère monte en moi. Jacques "Emotion , joie , tristesse ..."et nous qui conversons sur ce site ,si nous sommes là ...c'est "peut-être" grâce à la présence de La Légion dans notre ville ? Jeannine Jeannine, vous n'auriez jamais pu dire plus vrai que ce que vous avez écrit. Pour moi et ma famille c'est sûr, nous devons la vie à la Légion. Le 24 avril 1962, nous enterrions ma Grand-mère maternelle. La période était horrible car 2 jours avant, soit le jour de Pâques, 3 jeunes hommes de 18, à 20 ans, dont mon voisin José Sabater avaient été massacrés. Au sortir du cimetière, nous nous apercevons que 2 des voitures du convoi avaient les 4 pneus crevés!!!! Comment sortir du village nègre, où dèjà depuis plusieurs mois aucun européen ne s'aventurait. Nous n'avons jamais su comment ni pourquoi,( bien que pendant la cérémonie, nous avions vu éparpillés aux quatre coins du cimetière, quelques Europééns )mais soudain 2 jeeps,t 4 halftracks et une camionnette de la Légion sont arrivés, prenant possession du terrain et se dépliant en éventail de protection. Le reste est très confu dans mon esprit et je ne me rappelle plus comment(Il est vrai que je n'étais pas très bien, car je perdai en même temps ma grand mère et mon voisin le plus cher) mais tout le cortège a pu évacuer le village nègre sans qu'un coup de feu n'ait été tiré. Bien plus tard on nous avoua que tout avait été minutieuseùent préparé, mais qu'au final, la bain de sang n'avait pas été souhaité! La LEGION, je n'ai pas de mots pour dire ce que j'en pense! POUR LA VIE. Jean Claude Jacques!!! tu étais où dans les AURES ??? je ne te pardonnes pas le trop d'honneurs des PARAS je ne suis pas là pour ouvrir une polémique entre Légion et Paras mais avant d'écrire une connerie tourne bien ta plume dans l'encrier !!! J'ai eu un oncle qui a été Légionnaire ( 5 ans prisonnier en Allemagne !!! pour être Français!! il s'appelait PEREZ !!!Un cousin Lieutenant au 2èm REP !!J'ai été breveté Para Prémilitaire à la Légion et fait ma PME à la Légion , j'ai faillit être Légionnaire pour ne pas faire de la peine à mes parents je ne suis engagé dans les PARAS 18ème RCP j'ai fait partie de la 25ème DP et crapahuté beaucoup avec le 2ème REP car nous étions de la même Division !!!Les Aurès je les ai fait de haut en bas !!!J'ai fait pour terminer le Putsch d'Avril 61 et j'ai été à cette occasion à SIDI-BEL-ABBES et c'est la Légion qui nous a donné un peu de soupe car nous n'avions plus rien à manger !!Avec dix pains et 30 boites de sardines que mes parents m'avaient emmenées j'ai nourri mes camarades de la section !!! Je me suis battu pour une noble cause et beaucoup de mes camarades ont laissé leur vie pour accomplir leur devoir sans jamais laisser personne dans le fossé ou simplement dans la merde !!! La Légion et les PARAS étaient des frères d'armes et allaient où le devoir les appelés ; Alors Jacques ne fait pas de procès sans connaitre l'histoire des uns et des autres !!! Paramicalement Un PARA !!! JPH Allez les gars, on se calme!, surtout le lendemain de Camerone, on ne se lance pas dans une polémique, J.P tout le monde reconnait tes états de service et tu es la fierté de notre College.En tant qu'ancien camarade du collège et coéquipier à la prépa Para de la légion, je connais ton tempéramment fougueux mais je suis sûr que Jacques ne voulait pas offensé les Paras. Je ne voudrais reteni de cet hommage rendu aux legionnaires (et qui me vont personnellement droit au coeur), que l'enthousiasme de chacun pour honorer ce corps d'élite et exprimer son admiration. Allez les gars on se sert la main! Jorge HARO (Jean-Pierre) sur le baudet (Jacques). En exprimant sur ce forum une opinion basée sur ce que j'ai vu et vécu, j'étais loin de m'attendre à une telle réaction. Admettre que quelqu'un ait un avis différent du sien, sans le taxer de connerie, celà s'appelle la tolérance, c'est la forme la plus noble de l'intelligence humaine. Je n'ai surtout pas voulu blesser qui que ce soit, fût-il ancien parachutiste. Si mon propos a été perçu comme tel, je le regrette sincèrement. Parole de Marsouin, je ne recommencerai pas. Sans rancune, Jacques Moi aussi, je suis un Marsouin. J'ai servi dans l'Infanterie de Marine rapatrié au 16è RIMA d'Angoulême. Tu as dû chanté "Viens chez les Marsouins" et tu as dû souvent entendre dire: "Chapeau la Colo!" Manuel Et oui Manuel, J'ai effectué toute ma "carrière militaire", environ 29 mois, Marsouin au 2ème RIC ( la colo ! ), devenu avec la décolonisation, par décret en 58 2ème RIMA, aujoud'hui basé à Auvours à côté du Mans. Ce sont mes copains, tous appelés, de ce régiment que j'ai pleurés quand leur section est tombée dans l'embuscade de Palestro. Ils sont entrés dans l'Histoire. En 76 je suis allé en pèlerinage sur les lieux du drame. Je garde précieusement l'insigne de mon régiment, et celui de ceux qui "pacifiaient" l'Aurès et les Nemenchas, sous le commandement du général Vanuxem. Mais, je ne tire ni gloire ni orgueil de cette période : j'ai fait le boulot qu'on m'a ordonné de faire.Maintenant c'est le 1er RIMA qui est à Angoulême. Plus de bidasses en uniforme en ville, c'est une autre époque. Jacques Il ne faudrait surtout pas que ce site se transforme en cercle d'anciens combattants. On sait bien que chacun de nous a dû accomplir, avec plus ou moins de chance, son devoir militaire durant une époque aussi triste que détestable et je ne pense pas que ce soit ici l'endroit d'en faire état. Je regarde souvent une photo de foot qui représente l'équipe réserve du FCThiers. Sur le plan sportif, elle n'a absolument aucune valeur, mais pas sur le plan symbolique. L'un des équipiers qui apparaît sur cette photo, mon ami Georgeot Penan, a été en effet tué par l'ALN en service commandé tandis que son pote, qui figure à sa droite sur le même cliché, mon bon copain Khemliche, a lui été lâchement assassiné par l'OAS. Match nul donc, mais vraiment absolument nul . Il vaut mieux, je crois, pour nous tous, tourner la page. C'est tout au moins ma conviction. Antoine D'accord avec toi Antoine. Il n'y pas que mon agresseur qui ait des états de service. C'est la première et dernière fois que j'en parle. Evoquons plutôt ce qui nous rapproche, que ce qui nous a toujours divisés. Des anecdotes amusantes, nous en avons encore plein nos mémoires, que diable! Jacques 30/4/2007 Camerone Qui ne connaît pas l’histoire de Camerone ?… Tant pis, je ne résiste pas au plaisir et à l’émotion de la raconter encore aujourd’hui. Ceux qui la connaissent m'excuseront j'espère... De 1863 à 1868, la Légion se bat au Mexique. Le 30 avril 1863, la 3ème compagnie du 1er bataillon, aux ordres du capitaine Danjou, assisté des sous-lieutenants Vilain et Maudet ( soixante cinq hommes en tout ) a reçu pour mission d’escorter un convoi de Chique-Huite à Puebla. Vers les 8 h, le combat s’engage ; nos 65 légionnaires doivent faire face à 850 cavaliers et 1200 fantassins mexicains. Une percée leur permet d’arriver au village de Camerone où ils se retranchent. A 9h30 le commandant mexicain presse le capitaine Danjou de se rendre. Danjou refuse. Vers 11h il fait prêter à ses hommes le serment de lutter jusqu’à la mort. Il est tué quelques instants plus tard. A 14h le sous-lieutenant Vilain, qui l’a remplacé, succombe à son tour. Vers 17h le sous-lieutenant Maudet tient encore avec 5 légionnaires. Ayant tiré leurs dernières cartouches, ils tentent une sortie, au sabre et à la baïonnette. Le légionnaire Cotteau qui s’est jeté en avant pour protéger son chef, s’écroule mortellement atteint. Le sous-lieutenant chancelle et tombe, mort. Il ne reste que 3 légionnaires vivants dont l’ennemi se saisit. Les cadavres de cinq à six cents mexicains jonchent le terrain. Camerone, c’est depuis lors, la fête de la Légion. Quand on a tout perdu, qu’on sait ne plus pouvoir s’en sortir, il reste au légionnaire une dernière étape pour ne point faillir à l’honneur : « faire Camerone ». En Algérie, de 1954 au 01/03/1961, la Légion Etrangère a perdu au service de la France 1528 légionnaires, 264 sous-officiers et 63 officiers. Texte et chiffres extraits d’une Histoire de la Légion parue le 17 octobre 1962 dans un journal conservé par mon père et dont j’ai retrouvé les pages jaunies en ce jour de Camerone. Raymond 30/4/2007 légionnaire Haberthur Quelqu'un dans le forum aurait-il entendu ou lu l'histoire du légionnaire Haberthur? Paul j'en ai entendu parler pour la première aujourd'hui, car à l'heure de "l'apéro" j'étais avec mon beau frère (ancien militaire) et je lui ai parlé de Camerone, et il m'a parlé de ce légionnaire qui avait reçu la Croix de Chevalier de la Légion d'Honneur pour son combat au MAROC en 1910... Bizarre ces coincidences et maintenant c'est Paul qui en parle...... Adrienne Ne serait-ce pas ce légionnaire qui suite à ses blessures était devenu aveugle?? il avait été décoré d'ailleurs pour fait d'armes Annie "Pour les Belges yen a plus , Pour les Belges yen a plus! Ce sont des tireurs au cul ...." C'est une double fête pour moi. Mon troisième petit-fils n'a rien trouvé de mieux que de naître, il y a 8 ans, le 30 Avril.Un signe n'est-ce pas! Du coup ,ils l'ont prénommé....Manuel...como yo....enfant de Bel-Abbès. Manuel J'ai trouvé dans des "archives" familiales le nom de ce légionnaire, et en ce temps de "CAMERONE", j'ai pensé qu'un des "éminents" participants au forum pourrait éclairer ma lanterne. ( je découvre ma ville de naissance en lisant le forum! Pas-sion-nant!!!) Paul Tataratata! tataratata! tataratata! (c'est censé être une sonnerie du clairon mais vous vous souviendrez de l'air et voici les paroles) "Tiens voilà du boudin voilà du boudin voilà du boudin pour les Alsaciens les Suisses et les Lorrains Pour les belges y'en a plus pour les belges y'en a plus car ce sont tous des tires au c.. Pour les belges y'en a plus pour les belges y'en a plus car ce sont tous des tite au c.." Désolé pour nos amis Belges mais ce n'est que la transcription exacte En ce moment dans toutes les casernes de la Légion on fête Camerone et souvenez vous de mes explications antérieures aujourd'hui les "trouffions" se font servir au réfectoire par leurs sous officiers, et ça se passe au moment même où j'envoie ce message Joyeux Camerone à tous Jorge Comment vous n'êtes pas encore prêts le défilé de la légion ne va pas tarder, pour ma part je suis déjà aux quatre horloges pour être sure d'être au premier rang ce sera magnifique comme d'habitude si j'osais je vous souhaiterais à tous un joyeux CAMERONE. SNIF!!!!!! Annie mais comment vous ne m'avez pas attendue ? mais c'est quoi ces amis qui partent sans moi voir le défilé!!!!! bien sûr j'ai aujourd'hui une pensée toute particulière pour ces légionnaires qui faisaient partie intégrante de ma vie, SBA sans eux ? mais c'est une ville sans symbole!!!! allez j'avoue aujourd'hui j'ai fait une grasse matinée terrible, tu vois Jorge aujourd'hui la matinale est restée au lit..... bonne journée à tous. Adrienne Boulevard de la République, on les attends avec impatience; Toute la famille est là,au grand complet; les voilà au grand complet eux aussi. Tout, absolument tout est impeccable. On est émerveillé, on peut presque les toucher. On s'en mets plein la tête et voilà déja l'hélicon qui s'éloigne laissant la place aux troupes.pom pom pom pom pom JAMAIS, je n'ai retrouvé cette sensation sur les Champs Elysées.et Dieu sait si j'en ai vu des défilés me levant de bonne heure pour être au premier rang,impossible de reculer, complètement coincé pendant 3 heures entre la barrière métallique et les 4 ou 5 rangs de sardines derrière moi, maudissant le service d'ordre qui me cache parfois nos légionnaires. Ne me parlez pas de périscopes en carton... personne ne peut comprendre, c'est mon jardin secret. Henri Par la pensée nous sommes tous à Aubagne aujourd'hui, mais SI DIOS QUIERE l'año que viene estaremos todos aya...... vous allez sur le site d'Alexis et vous laissez la chanson en fonds sonore vous fermez les yeux et ça y est, nous y sommes.... plus besoin de périscope Henri on les survole nos légionnaires, leurs pas cadensés, leurs chemises aux plis impeccables. Allez pour le plaisir : tiens voilà du boudin, voila du boudin!!!!!!!!!!! Adrienne Dans notre famille,Les traditions sont toujours là par son mariage ma fille a un beau fils légionaire qui a fait la Bosnie. En ce moment à Nouméa Nicole 30/4/2007 Plooner, le SCBA C’était en 1950 ou peut être 51….Qu’importe. C’était en tout cas l’époqueoù je commençais à user mes premieres « Tennis » dans la cour de l’école Marceau, Et celle où je fréquentais assidûment et exclusivement les tribunes latérales du stade.C’était… ça j’en suis sûr, au stade Paul André.Cet après midi , Le Sporting était opposé à l’USMO.Depuis, j’ai vu des milliers de matchs, je n’ai jamais oublié celui-là, Par la faute ou plutôt par la grâce d’un gardien de but vêtu de noir,Qui, après avoir repoussé un premier tir, s’était détenducomme un ressort pour arrêter une reprise de volée à bout portant de Bendimered, je crois.C’ était devant la tribune latérale, C’était Plooner C’était en 50 Ou en 51 C’est comme si c’était hier...... André M Si l'auteur du tir était bien Bendimered, ça ne pouvait-être qu' Aman, le frère aîné de Noury, des Bel-Abbésiens. Il joua en effet à l'USMO.Il est décédé il ya 6 mois en Allemagne où il vivait depuis plusieurs années avec son épouse Allemande. Son frère me disait l'an dernier qu'il ne voulait plus revenir à Bel-Abbès. Ils se voyaient donc de temps en temps, en week-end .....à Paris. Ils habitaient la rue du stade Paul André, à 150m de chez moi. Manuel je vous imaginais bien hier soir, pas au stade Paul André, mais.... surtout quand Cédric est resté anéanti assis par terre par le beau but de Sochaux!!!!!! tes pauvres cheveux André!!!!! mais ensuite, le feu d'artifice, Camerone, tout tout y est passé, le champagne sablé (sans moi) que de la joie dans les foyers!!!! allez vive l'O.M. et les supporters de.........MEKERRA'S.fidèles au delà des frontières!!!!! olé olé olé Adrienne Oui, j'étais au stade Oui, j'ai chanté "popopopo..." Oui, j'ai sauté " Qui ne saute pas n'est pas marseillais....ais" Mais je n'ai pas osé chanter "On sera champion de France lalalla" André M Extrait de "Le marabout de Blida" d'Annie Cohen : "Pardon, pardon, toute petite déjà je défendais les couleurs du Sporting-club de bel-abbès contre tout autre équipe ; juste derrière arrivait l'AS d'Alger, mais quand les deux se trouvaient face à face, c'était la bagarre dans les chaumière, un cas de conscience dans ma tête, un prétexte à rappeler une appartenance de clocher ( même pour moi qui n'en avait pas ). Une partie de ma famille s'amusait à vibrer dès que les belabbésiens ( les meilleurs ) montraient ce qu'ils savaient faire ! Fallait pas pourtant pousser le bouchon trop loin ni froisser la susceptibilité des autres, Algérois ( d'adoption ) qui étaient prêts à tout pour voir perdre bel-abbès ! Je ne devais à bel-abbès que ma naissance et déjà je prenais des sueurs froides à entendre les attaques devant les buts, à imaginer le pire. le commentateur mélangeait alors toutes les langues, la passion lui déliait les mots qui se bousculaient en français, en arabe, en espagnol, en italien, en pataouet, exprimant ainsi la vitesse avec laquelle les joueurs de défendaient, organisaient le jeu." Il y a bien sûr dans ce bouquin, publié en 96 aux Editions Actes Sud, d'autres allusions savoureuses autour de notre ville natale. Je vous en recommande la lecture. Annie Cohen est la petite fille de "Prosper- Chaussures" dont certains anciens doivent encore se souvenir. Antoine Mechaly Le poropriètaire du "Palais de la chaussure". Il était un peu"Chepao", bossu, la tète inclinée sur le côté. Ce magasin se trouvait sur la grande avenue, avant d'arriver au café Alba. Attention, il ne fallait pas lui faire sortir plus de 3 paires de chaussures et dire ensuite que vous alliez voir ailleurs.Mauvais caractère! Je l'ai revu à Aix-en -Provence, dans les années 70 où il tenait aussi, dans les années 70, un magasin de chaussures. Mais il y avait d'autres Méchaly vendeurs de chaussures à Bel-Abbès.Alors???? Manuel Nous disions en effet parfois:" j'ai acheté mes chaussures chez "Prosper".Mais je ne me souviens plus de sa situation dans la ville.Il y avait aussi"Windsor", "Laïk", "Bata", "Macia" Et celui qu'on appelait"Au pied mignon" vendait-il aussi des chaussures?Les copains du centre ville vont sûrement nous aider. Manuel Prosper, ça devait être rue Gambetta autant que je me souvienne. Pendant la guerre, et grâce à son humanité ( et peut-être aussi à son sens du commerce ), il permettait à notre mère de ramener à la maison des chaussures pour ses enfants, achetées à crédit qu'elle réglait sur plusieurs mois. Je crois bien d'ailleurs qu'elle avait son petit carnet chez tous les commerçants, C'était alors le seul moyen pour s'en sortir. Une vie e "colon" quoi ! Mechaly, sur la rue Prudon, c'était plutôt les bicyclettes, je crois. Antoine Précisions sur les marchands de chaussures rue Montagnac : Prosper Amsellem, face au marché couvert. Son fils Claude lui succéda. Un autre fils tenait le magasin "Romans chaussures" rue Catinat, sous le théâtre. Macia près du café "Chez Gallo" et en face de Zouzou réputé pour ses kémias. Méchaly et Ganancia, près de la pâtisserie Vincent Pagan et face au "Tapis vert". Lachèze, à l'angle de la rue Catinat. Rue Lord Byron, face au marché couvert : Laïk, Bata et Ganancia. "Le pied mignon", curieusement, c'était une mercerie. Que de souvenirs ! AndréH Mon épouse apporte un rectificatif à mon précédent message. Le magasin "Romans" se situait rue Prudon, entre la pharmacie Martineu et le salon de coiffure "Louis XV". Sous le théâtre, le vendeur de chaussures était un autre frère Laïk. Nos épouses ont une meilleure mémoire des commerces !... André H Le docteur Cohen, rue St. Augustin, était notre docteur de famille. Mon père le connaissait bien . Ils se tutoyaient . Il se prénommait aussi Prosper. Je me souviens bien du bar dont le propriétaire était surnommé"El gallo", rue Montagnac. Il avait deux garçons dont un, le cadet, jouait au "petit coq", c'est le cas de le dire.Il venait chez mon oncle Périco Sanchez, route des Amarnas, se faire la coupe au rasoir. Manuel Il y a un an, Henri me faisait part de son intention de créer "Mékerra’s" ; j’avoue avoir eu une petite moue dubitative, plausible, oui plausible......Les contacts étaient si rares, le travail à fournir si important ; possible bien sur, mais si incertain. Aujourd’hui : plus de quarante mille passages, une petite communauté recréée, beaucoup d’instants de bonheur et d’émotion partagés. Au palmarès de "mékerra’s" , avec Henri, Adrienne et Manuel mériteraient les honneurs du podium, l’une par le dynamisme et la vitalité qu’elle insuffle, l’autre par son étonnante mémoire et sa passion de la langue espagnole. Je me sens revivre aux interventions de l’une, avec l’autre j’apprends à connaître une langue qui ne chantait que dans ma tête. Une mention spéciale à notre ami Djimi et à sa fougue épistolaire dévastatrice. Pour les places d’honneur, le coude à coude est féroce..... Bon anniversaire "Mékerra’s", merci Henri. Geo Tout à fait d'accord avec toi Geo, et je te lance un salut matinal en ce beau jour de Camerone, bien que vu l'heure à laquelle tu t'es couché , tu n'as pas dû entendre mon clairon Jorge Henri doit en connaître la date exact! Je ne suis pas peu fier d'avoir soufflé à l'oreille de notre webmaster que la création d'un forum stimulerait la visite du site. Nous pourrions y commenter les nouvelles: textes, photos, cartes postales, oeuvres d'art...etc et une affirmation en entraînant une autre, cela ferait boule de neige ,suggérerait des idées, réveillerait des souvenirs quelque peu "assoupis" ou enfouis dans les mémoires...pratiquement oubliés. L'initiative , le savoir- faire d'Henri et.....votre participation active ont fait le reste .Bravo! Manuel Eh bien non, je ne connais pas la date exacte ! Je sais que j'ai commencé à préparer des docs après le 19 Avril, pour me changer les idées suite au décés de mon beau-père que j'aimais beaucoup. il me fallait penser à quelque chose de fort, ce ne pouvait être que Bel Abbès. Je pense que leur mise en ligne doit dater de la deuxième quinzaine de Mai, plutôt le début, je dirai pour la beauté de la chose : le 16 MAI ! C'est vrai que le forum a tout changé, Jean-Pierre et Manuel sont les premiers à m'avoir suggéré sa création. Henri bravo pour ce beau bébé, on peut dire qu'un an après il se porte à merveille, et quelle mémoire!!!! digne de son père et de ses parrains ???? c'est sûr que son premier anniversaire sera fêté comme il se doit, le 16 MAI dis tu ? quelle bonne idée. Geo il faut faire un beau dessin pour l'occasion..... Adrienne C'est vrai que je connais ce site depuis peu mais je ne peux plus m'en passer c'est devenu ma drogue même si je n'écris rien j'ai besoin de vous lire à tous, Manuel m'apporte beaucoup sur le plan linguistique j'adore lire tout ce qu'il écrit et pour les autres aussi j'ai une admiration sans bornes, je lis et je relis tous vos écrits, merci pour tout bisous amitiés bel-abbésiennes à vous tous mes nouveaux amis . Annie de sba 1er Mai 2007 suite aux différents messages très courts des mekerristes, voici celui de Raymond Merci aux ami(e)s du forum qui m'ont envoyé leurs souhaits pour le 1er Mai. A toutes et à tous meilleurs voeux de Bonheur !... Recevez virtuellement en plus un brin de muguet à 13 clochettes! Raymond "C'est mon petit bouquet de fleurs Mon petit muguet, mon porte-bonheur Je l'ai cueilli pour la vie entière Et je veux le porter à ma boutonnière. Mon joli petit bouquet Avec des yeux comme deux grands bleuets Ce petit nom là lui va comme un gant Car en la regardant je crois au printemps !" Georges Guétary - Paroles: Jacques Plante. ----- . . . . . . |
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