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il y a 10 minutes Un Congolais de la RDC, poignarde à mort son bébé, puis tente de se tuer. Posté le : 23/06/2013 Branle-bas de combat, hier à Renens (VD), où un père s’était retranché chez lui, avec son petit garçon. Lors de l’intervention de la police, il a réussi à poignarder l’enfant d’un an, avant de tenter de se suicider. «Go, go, go», hurlent les forces de police encagoulées juste avant d’intervenir dans un immeuble de l’avenue du 1er-Mai, hier en fin de journée à Renens, près de Lausanne. Les agents défoncent avec un bélier la porte d’entrée d’un appartement du 3e?étage. A l’intérieur, se trouve un père, âgé de 29 ans, qui séquestre son fils d’un an. Au moment de cette intervention, le papa est quand même parvenu à poignarder l’enfant, puis il a retourné son arme – un couteau de cuisine – contre lui, explique Pierre-Olivier Gaudard, porte-parole de la police cantonale vaudoise. Blessée, la petite victime a été immédiatement transportée au CHUV à Lausanne. Elle y est décédée quelques heures plus tard des suites de ses blessures. Le père, touché au cou, a été incarcéré. Ses jours ne seraient pas en danger. L’intervention avait mis fin à près de quatre heures d’une attente insupportable. Un différend familial est à l’origine de ce drame, selon le porte-parole de la police vaudoise. «Un problème de droit de garde», a-t-il précisé. Le couple n’est pas marié. Le père, de nationalité congolaise (RDC) était en conflit avec la mère de nationalité portugaise au sujet de l’autorité parentale. Durant l’opération, la maman, âgée de 26 ans, a été prise en charge dans un poste de police. C’est elle qui avait donné l’alerte après avoir constaté que son compagnon lui interdisait l’entrée de son domicile alors que celui-ci avait l’enfant avec lui. Le père était menaçant Tout avait commencé vers 15h30. Une fois avertie, la police avait déployé les gros moyens pour tenter de maîtriser le forcené enfermé chez lui et qui menaçait de tuer son fils puis de se suicider. Des patrouilles de la police de l’Ouest lausannois et de la gendarmerie vaudoise ont alors bouclé le secteur. Aux alentours du bâtiment encerclé, des ambulanciers, des pompiers et une équipe du groupe d’intervention des polices vaudoise et lausannoise se préparaient à intervenir. Des tireurs d’élite étaient même positionnés dans les immeubles voisins, prêts à faire feu. Les spécialistes de la négociation tentaient de raisonner le forcené. Vers 17h30, quelques policiers étaient visibles du public, certains armés d’un fusil automatique, pour bloquer la circulation des piétons et des voitures dans la rue. Les nombreux autres membres de l’opération étaient cachés dans les jardins, sur les balcons, au pied de l’immeuble encerclé. L’ambiance était lourde. Même si le voisinage ne semblait pas être conscient de la gravité des faits qui se déroulaient à deux pas de chez eux. Une jeune fille promenait ses chiens dans un jardin. «Je ne sais pas ce qui se passe», avouait-elle avec indifférence. Une famille observait tranquillement la scène depuis la cour de son immeuble. «Franchement, nous ne connaissons pas ce monsieur, expliquait une mère de famille qui habite depuis très longtemps dans le quartier.» Circonstances à élucider Vers 18h, le porte-parole de la police cantonale venait expliquer que les négociations étaient toujours en cours. «Nous ne savons pas combien de temps cela va encore durer», ajoutait-il à ce moment-là. Une heure plus tard, la tension est montée d’un cran. A 19h10, deux ambulances sont arrivées. Quelques secondes avant l’intervention des forces spéciales. La police n’a pas donné plus d’explications sur le geste fou du père. Source (Le Matin) Read more at http://congosynthese.com/actu.aspx?Id=1137#fe8022g9qOSPv2Sz.99 ![]() Un Congolais de la RDC, poignarde à mort son bébé, puis tente de se tuer. congosynthese.com Branle-bas de combat, hier à Renens (VD), où un père s’était retranché chez lui, avec son petit garçon. Lors de l’intervention de la police, il a réussi à poignarder l’enfant d’un an, avant de tenter de se suicider.«Go, go, go», hurlent les forces de police encagoulées juste avant d’intervenir dans… Haut du formulaire J’aime · · Promouvoir · Partager Bas du formulaire Gode Bayama a partagé un lien via Youyou Muntu-mosi. il y a 20 minutes Aie ! aie ! aie ! Youyou Muntu-mosi La même histoire est arrivée il y'a quelques années à une amie d'enfance ...elle se séparait de son gars (tous 2 congolais) et ce dernier n'acceptant pas la situation a poignardé leur petite fille de plusieurs coups de couteaux la tuant sur le coup,le BB avait 9 mois! Il a essayé de retourner l'arme contre lui mais les secours sont arrivés avant,il a été maîtrisé et condamné à la prison à perpétuité. 1 an après sa condamnation ne supportant pas son incarcération et pris de remords,il a fini par se suicider dans sa cellule...on l'a retrouvé pendu un beau matin. Direct lifelooooo sans bifurcation...mawaaaa,esprit nini wana oboma mwana na yo moko? J'espère qu'il va crever en prison,trooop lâche de s'attaquer à un être aussi innocent. Je plains sa famille et ses amis quelle honte! :( ![]() Un Congolais de la RDC, poignarde à mort son bébé, puis tente de se tuer. congosynthese.com Branle-bas de combat, hier à Renens (VD), où un père s’était retranché chez lui, avec son petit garçon. Lors de l’intervention de la police, il a réussi à poignarder l’enfant d’un an, avant de tenter de se suicider.«Go, go, go», hurlent les forces de police encagoulées juste avant d’intervenir dans… Haut du formulaire J’aime · · Promouvoir · Partager Bas du formulaire Gode Bayama a partagé la photo de Banque mondiale Région Afrique. il y a 22 minutes En Afrique subsaharienne, la hausse des températures pourrait menacer la sécurité alimentaire et provoquer des vagues de chaleur et de sécheresse extrêmes. Comment le continent peut-il se préparer à gérer le changement climatique? http://bit.ly/14sBKqM ![]() Haut du formulaire J’aime · · Promouvoir · Partager Bas du formulaire Gode Bayama il y a 36 minutes Cour des grands > Cour des miracles (40 photos) ![]() ![]() ![]() Haut du formulaire J’aime · · Promouvoir · Partager Bas du formulaire Gode Bayama il y a environ une heure Dopage : L Jalabert était positif à l'EPO lors du Tour de France 98 ! Haut du formulaire J’aime · · Promouvoir · Partager Bas du formulaire Gode Bayama il y a environ une heure Séisme à Wimbledon : R Nadal éliminé d'entrée en 3 sets secs par S Darcis, un obscur belge ! Haut du formulaire J’aime · · Promouvoir · Partager
Bas du formulaire Gode Bayama a partagé un lien. il y a environ une heure Une histoire belge en direct vidéo(selon zones de réception)? http://www.rtl.be/sport/touslessports/wimbledon/254999/direct-wimbledon-darcis-mene-2-sets-a-rien-contre-nadal---verdasco-malisse-2-1-sets-goffin-elimine ![]() DIRECT WIMBLEDON: Darcis mène 2 sets à rien contre Nadal ! Verdasco - Malisse 2-1 (sets), Goffin... www.rtl.be Trois Belges jouent en ce moment à Wimbledon. Steve Darcis a réalisé l'exploit d'arracher les deux premiers sets à Rafael Nadal, deux fois au tie-break (7-6). Xavier Malisse a remporté le premier... Haut du formulaire J’aime · · Promouvoir · Partager Bas du formulaire Gode Bayama il y a environ une heure NADAL SORTI D'ENTREE ? R Nadal est mené 7-6, 7-6, 4-2 par le belge S Darcis ! Haut du formulaire J’aime · · Promouvoir · Partager Bas du formulaire Gode Bayama il y a environ une heure Sassou, Mandela et les larmes de Miriam 24/06/2013 à 12h:30 Par François Soudan Conversation avec Denis Sassou Nguesso, une tiède soirée de cette mi-juin, au palais présidentiel du Plateau, à Brazzaville. Loin des tensions régionales et des tumultes locaux, le président congolais a tenu à me parler d'un homme qu'il est le seul, parmi ses pairs d'Afrique francophone, à connaître vraiment : Nelson Mandela. Jusqu'au coeur de la nuit d'encre, avec une émotion palpable, DSN égrène ses souvenirs où les larmes se mêlent aux fous rires. 11 février 1990 : c'est au-dessus de l'océan, à bord de l'avion d'Air Afrique qui l'emmène à New York, qu'il apprend de la bouche du pilote la libération de Madiba. « J'ai tenu un meeting avec tous les passagers, et nous avons bu tout le champagne disponible », se rappelle-t-il. Un an plus tard, Mandela rend visite à Sassou à Brazzaville. Le premier négocie pied à pied la mort de l'apartheid avec Frederik de Klerk, le second perçoit déjà la bourrasque d'une conférence nationale qui finira par l'emporter. Tous deux s'offrent un triomphe romain sur les avenues de la capitale à bord d'une limousine décapotable, avant de gagner la résidence du Plateau pour une soirée intime. On chante, on danse au son d'un orchestre, on boit, et malgré ses 72 ans le héros des townships n'est pas le dernier à se déhancher. Assise un peu à l'écart, une femme le dévore des yeux et pleure toutes les larmes de son corps. Miriam Makeba, Mama Africa, se noie dans le bonheur. Le lendemain, celui qui est encore chef d'État et celui qui ne l'est pas encore ont un long entretien. Mandela remercie son hôte pour son militantisme à la tête de l'OUA et pour son rôle déterminant dans l'indépendance de la Namibie - Brazzaville ayant abrité l'essentiel des négociations quadripartites. Puis il formule une requête : les combattants de l'ANC qui rentrent d'exil sont une bombe à retardement pour le processus de réconciliation sud-africain. Il lui faut de l'argent pour les réinsérer dans la vie civile. Or ce qui reste du pouvoir pâle refuse tout financement. Aussitôt, DSN fait débloquer les fonds nécessaires. Cela, ni lui ni Mandela ne l'ont jamais révélé. Mais il fallait sans doute que ce soit su. L'histoire de Sassou et de Mandela ne s'arrête pas là. Fin 1996, celui qui est alors l'ex-président congolais dans sa traversée du désert rend visite à son ami dans sa résidence du Cap. Avec, à son tour, une demande à présenter : que, du haut de son autorité morale, l'icône sud-africaine écrive une lettre à Pascal Lissouba, le chef de l'État congolais, afin de lui enjoindre d'organiser des élections « free and fair », faute de quoi le pays pourrait entrer dans une guerre civile. Mandela s'exécutera, mais, comme on le sait, ce message, dont DSN conserve toujours précieusement copie, ne servira à rien. Depuis, les deux hommes ne se sont longuement revus qu'à une seule reprise, en 1999, lors de la passation de pouvoirs avec Thabo Mbeki. Ils se sont parlé au téléphone, et Winnie Mandela est devenue une proche du couple Sassou Nguesso. Mais alors que le vieux lutteur s'éteint doucement, mon interlocuteur de ce soir n'a oublié ni les larmes de Miriam ni cette phrase de Mandela qui lui revint en mémoire un jour de 1997, quand des obus s'abattirent sur sa villa de Mpila : « Le courage n'est pas l'absence de peur, c'est le triomphe sur la peur. » Lire l'article sur Jeuneafrique.com : Sassou, Mandela et les larmes de Miriam | Jeuneafrique.com - le premier site d'information et d'actualité sur l'Afrique Follow us: @jeune_afrique on Twitter | jeuneafrique1 on Facebook Haut du formulaire J’aime · · Promouvoir · Partager
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