Essais de Montaigne, IL y a 70 citations de Sénèque (sans compter toutes les autres citations des autre auteurs !). Mais l’approche critique est très récente, elle date des vingt dernières années. Introduction le mot «mythe»





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LITTÉRATURE LATINE

Étude de la littérature latine à travers neuf mythes, une épopée et une tragi-comédie

(Cours de Mme GOGUEY, octobre 1998-février 1999)

LET 304a


Bibliographie :

Robert Graves, Mythes grecs.

S. Saïd, Approches de la mythologie grecque (Nathan U.).
Dictionnaires mythologiques :

P. Grimal (P.U.F.)

P. Brunal (Rocher)

Y. Bonnefoy (Flammarion)
* * *
Programme :
A) Études de mythes :

Les mythes sont des textes par nature non liés à un genre littéraire en particulier. Un mythe va se retrouver dans beaucoup de versions à la fois. Ce cours abordera neuf mythes :

- Prométhée.

- les cyclopes (dans l’Odyssée).

- les sirènes (idem).

- Hercule (un ou deux épisodes).

- Adonis.

- Actéon.

- Narcisse.

- Pygmalion.

- Orphée.
B) Une approche par genres littéraires :

Virgile, l’Énéide (épopée).

Plaute, Amphitryon (tragi-comédie).
Ces textes sont tous très anciens, très loin de nous dans le temps (vingt siècles au moins). Tous les écrivains, pourtant, ont été imprégnés de ces œuvres, jusqu’au début du vingtième siècle. Par exemple, dans les Essais de Montaigne, il y a 70 citations de Sénèque (sans compter toutes les autres citations des autre auteurs !).

Mais l’approche critique est très récente, elle date des vingt dernières années.


INTRODUCTION


Le mot « mythe » vient de mythos, « parole, récit ». Il s’oppose déjà au récit historique : le mythe ne reproduit pas la réalité. Le récit mythique engage les dieux, le surnaturel et des événements invraisemblables. Ils sont différents des récits philosophiques, car le mythe ne donne pas une vision logique, argumentée.

Le mythe n’appartient pas non plus au genre de l’épopée, ni au genre théâtral.

Le mythe échappe donc à toute codification. Prométhée apparaît dans une épopée (la Théogonie d’Hésiode), Hercule apparaît aussi dans des tragédies, etc.
Les mythes n’ont pas de forme, ils se transforment. Le mythe imprègne des générations et des générations, et trouve la force de resurgir, d’être recréé dans un genre littéraire différent. Ainsi, du IV° av. J.-C. au XX° siècle, de nombreuses relectures des mythes sont faites (on passe par exemple du Prométhée d’Hésiode au Prométhée enchaîné de Camus). Les mythes sont perpétuellement réemployés, plus ou moins imperceptiblement gauchis (chaque fois, il porte un nouveau message). Selon Mircea Eliade, le mythe est un « poisson soluble » (il bouge sans cesse, et se recrée comme dans une eau régénérante).
Les héros le sont au sens propre du terme : ce sont des demi-dieux (nés de l’union d’un dieu et d’une mortelle, ou inversement). Ainsi, Prométhée est un homme, mais aussi le cousin de Jupiter ; le héros typique, Hercule, est le fruit de l’union de Jupiter et d’une mortelle ; Narcisse est le fils d’un dieu et d’une nymphe ; Adonis est le fils d’une reine et du fils du mari de la reine...

C’est l’union de deux mondes : le monde d’en haut et le nôtre. Les héros mythologiques vont sans cesse se situer entre deux mondes. Ils vont parler de situations humaines, de problèmes humains. Les mythes sont des récits merveilleux, mais ils renvoient directement à l’être humain.
Les sujets des mythes sont variés : ils parlent de la création du monde et de la femme, du rapport des hommes avec la société (cf. l’épisode des cyclopes), des relations plus intimes de l’homme avec son entourage immédiat (comme l’amour-passion d’Orphée, incompatible avec la société).
Le héros affronte les limites avec lesquelles la vie pose problème. Le héros va toujours être en deçà ou au-delà de la norme. Les héros touchent des marges, des limites.
L’analyse des mythes est paradoxale. En effet, au départ, le mythe est destiné à rester sans commentaires, il est fait pour être écouté sans y touché. Ce qui, bien sûr, ne sera pas fait dans ce cours...



LES COURANTS CRITIQUES


On peut considérer que le mythe constitue à lui seul un ensemble clos, et qu’il suffit d’observer à l’intérieur certains éléments (approche d’inspiration structurale) : il faut repérer les systèmes d’opposition ou de répétition. On met en évidence des éléments redondants ou antithétiques dans un texte, révélateurs de la société à laquelle le texte appartient (c’est l’approche qui sera utilisée avec le texte sur les cyclopes). C’est une démarche de critique interne.
Les autres interprétations relèvent de la critique externe. On essaie de relier un texte à un ensemble culturel plus vaste, mais extérieur au texte.
Dans cette catégorie se range la critique historique. Il y a deux niveaux différents.

Georges Dumézil fait apparaître des ressemblances dans les structures des récits. Il formule l’hypothèse du fonds indo-européen commun, et avance que les textes gardent en eux-mêmes des traces de ce fonds et de la société tripartite — postulant que la société était constituée de trois groupes : les chefs et les prêtres, les guerriers, les producteurs (artisans et femmes, ces dernières produisant la vie). Ce fonds, Dumézil prétend le retrouver à travers des épisodes mythologiques.

Marcel Detienne et Jean-Pierre Vernant établissent un rapport entre les mythes et des rites ou des pratiques de la société (c’est sous cette approche que l’on verra le texte d’Orphée et qu’on le rapprochera d’un comportement concernant les abeilles). Pour Adonis, par exemple, on a établi un lien entre une fête grecque (les adonies) et le mythe du jeune homme, et ses années accomplies à cultiver sa passion pour Vénus.
Il existe aussi l’axe d’interprétation psychanalytique. L’exemple le plus célèbre est sans conteste celui du mythe d’Œdipe. Cet axe consiste à considérer que le mythe et le rêve fonctionnent de manières sensiblement voisines (avec l’utilisation d’images, destinées à voiler un sens caché. Le mythe est un récit en images imbriquées pour porter un sens caché).
Enfin, il y a l’interprétation par rapport à l’étude de l’imaginaire et des images. C’est l’axe de Gilbert Durand, dans ses Structures anthropologiques de l’imaginaire. Selon lui, les images forment un système d’expression à part entière (cet axe diffère de l’approche psychanalytique, dans le sens où cette dernière est plus centrée sur la libido et la sexualité). Durand fait surgir des systèmes liés à l’angoisse de l’être humain envers la mort et l’écoulement du temps (« Lutte contre la pourriture, exorcisme contre la mort... »). Les deux réactions principales face à cette angoisse sont : soit d’amplifier et de combattre (ex : la verticalité, l’élévation, réponse pour lutter contre la peur de la mort, l’enfouissement), soit d’atténuer (ex : la barque, symbole du départ, une forme engloutie dans l’eau tout en protégeant l’utilisateur).



LE MYTHE DE PROMÉTHÉE


C’est un mythe fondateur dans la mesure où il se réfère à une époque lointaine. Il va raconter les événements qui ont instauré le monde et la condition humaine : il y a eu un avant, et il y a eu un après.
Nous allons étudier la version d’Hésiode (poète grec du IV° siècle av. J.-C.).

On trouve deux références à Prométhée chez Hésiode : dans la Théogonie et dans Les Travaux et les jours (un ouvrage de poésie didactique, destiné à aider les paysans dans leur travail de la terre), comportant la même trame, mais où le rôle de la femme est plus ou moins développé.
Ce mythe, qui vient de très loin, a eu une survie aux XIX° et XX° siècles (Gide, Prométhée ; Camus, Prométhée enchaîné, 1952). C’est un mythe qui reste vivant, en ayant pourtant des aspects traditionnels, et même passéistes.
Le mythe a des origines orales, comme le montrent les épithètes formulaires (« fils de Japet », « Bien brave fils ») ou encore les périphrases (« illustre boiteux », mis pour Vulcain), qui constituaient des points de repère et des unités métriques toutes faites pour faciliter la narration orale.
C’est un récit qui commence par la fin (la sanction de Prométhée) et qui comprend des commentaires de la part du narrateur (v. 556 : « Et aussi bien est-ce pourquoi, sur la terre, les fils des hommes brûlent aux Immortels les os nus des victimes sur les autels odorants » : interprétation personnelle du mythe).
Le récit est organisé en mettant en parallèle deux comportements : celui de Prométhée et celui de Zeus. Il est structuré de telle manière que leurs actions soient mises en un effet de correspondance.

Les deux protagonistes sont entourés de groupes : le monde des dieux pour Zeus, et celui des hommes pour Prométhée (Prométhée œuvre pour les hommes). Ils font des actions d’égale symétrie :

— Tous deux vont donner quelque chose à l’autre :

• v. 535-542 : Prométhée prépare un paquet, préparation présentée avec beaucoup de détails : la part des dieux et la part des hommes. Il y a une insistance entre ce qui est dessus et ce qui est dessous, entre l’intérieur et l’extérieur des paquets, différents l’un de l’autre. L’intention du donateur est précisée : il cherchait à tromper la pensée de Zeus.

• Zeus va également faire un don (v. 571-586) : il crée un mal destiné aux mortels (dans les deux cas, c’est un don animé par une intention négative et malveillante). Comme pour le don de Prométhée, il est apporté beaucoup de soin aux préparatifs de l’objet en question. La différence avec Prométhée, c’est que Zeus répartit le travail de préparation entre plusieurs des dieux (ce travail porte beaucoup plus sur l’extérieur du colis que sur l’intérieur : vêtements, bijoux, etc., servent à cacher le fond du paquet). On retrouve ainsi l’opposition entre l’intérieur et l’extérieur : la femme est toute pareille à une chaste vierge, mais en fait elle est un piège sans fond et sans issue.

— Il y a un mouvement inverse, lui aussi mis en parallèle : les deux personnages principaux vont enlever quelque chose à quelqu’un (acte inverse du don) :

• Prométhée dérobe le « feu infatigable » (vol).

• Zeus se refuse à diriger l’élan du feu infatigable (il met fin à un don accordé préalablement).

Cette symétrie est renforcée par un effet de chiasme dans le texte :

Prométhée donne / Zeus dérobe

Prométhée dérobe / Zeus donne.

Cet effet de chiasme met en évidence la symétrie des deux actions.

— Les actions et les comportements des deux personnages se font avec la même arme, le même élément : la ruse. Le recours à la ruse a une importance prépondérante, emblématique des personnages : « Prométhée aux pensers fourbes », la ruse de Zeus... La ruse est présente dans le nom même de Prométhée, « celui qui est doué de la prévoyance et de l’intelligence » (il s’oppose à Épiméthée, dénué de cette prévoyance). C’est la fonction de la métis (c’est-à-dire l’intelligence appliquée, à la limite de la fourberie), souvent valorisée à travers des récits mythiques grecs (Ulysse possède lui aussi cette métis) — cf. l’ouvrage de Marcel Detienne, La métis chez les Grecs.
On a donc deux séries d’actes parallèles, commis par des personnages ayant la même qualité fondamentale.
Il y a un lien d’équivalence entre les dons faits par ces personnages — le paquet de viande (dont l’intérieur s’oppose à l’extérieur) et la première femme (dont l’intérieur s’oppose aussi à l’extérieur).
Au bout de ce don, on aboutit à une sorte de réunion de la femme, et à une réalité que l’on pourrait appeler le « ventre » (la femme équivalente au ventre du bœuf ; elle est dotée d’un ventre insatiable ; c’est un piège sans fond — c’est-à-dire un ventre sexuel). On trouve donc les concepts de chair et de sexualité.



Les couleurs sont symboliques. On retrouve surtout le rouge, connoté par le sang (foie qui se reforme et resaigne), les ventres (la sexualité, les règles de la femme), le feu qui est volé dans une férule (phallique).
Au bout du compte du côté des dieux, on a l’immatérialité (les os, et non la chair ; la fumée des sacrifices ; le feu naturel, infatigable) et l’inverse, le matériel, pour les hommes (la chair, les entrailles ; le feu qui doit être surveillé et ranimé, ou refait ; la femme, qui unit à la fois la nécessité de travailler et les exigences de la sexualité). D’où une démarcation qui donne aux dieux l’immatériel, et aux hommes tout ce qui est lié à la chair (donc tout ce qui est mortel), au travail et à la sexualité.
La condition humaine a une dimension loin d’être particulièrement positive. Mais il y a une ambiguïté dans la condition humaine sur la façon dont les lots sont partagés. Les rôles ne sont pas si nettement opposés.

Ainsi, du côté des hommes, on trouve deux jumeaux (Prométhée et Épiméthée), l’un sage, l’autre imprévoyant, qui partent dans deux directions opposées bien qu’étant unis de la manière la plus intime qui soit.

De plus, il y a le personnage de Pandora, la première femme. Elle aussi est marquée de ce même signe double. Son intérieur s’oppose à son extérieur (« ce mal si beau ») : la femme est à la fois la perdition de l’homme, et un objet d’admiration. Elle regroupe donc, en un seul être, le positif et le négatif. Elle est à la fois indispensable à l’homme (v. 603-610) et nuisible.

L’ensemble de la condition humaine apparaît donc sous deux pôles opposés. La sexualité est un plaisir, mais elle entraîne à la nécessité de travailler. La chair est la meilleure partie à consommer, mais elle représente ainsi la condition mortelle de l’homme. On a une imbrication totale d’éléments positifs et négatifs.
Le rôle de Prométhée lui-même est ambigu. C’est un cousin des dieux. Mais il est partial, il défend les hommes. Prométhée est en même temps le bienfaisant et le malfaisant (la femme arrive dans une situation de sanction au mal commis par Prométhée). Prométhée est donc ambigu : tout en voulant favoriser les hommes, il les plonge irrémédiablement dans ce qui fait en partie leur malheur.

Aucun personnage n’est indemne de reproche, ni Prométhée, ni Zeus. Prométhée est au bout du compte l’agent volontaire du lot qui est finalement réservé aux hommes...
Le mythe de Prométhée est imprégné d’une mentalité très ancienne, archaïque : il y a de la misogynie qui ressort de ce récit.

C’est un récit fait du point de vue de l’homme. La femme est créée dans un deuxième temps (comme dans la Genèse).

Hésiode multiplie les qualificatifs dévalorisants : la femme est un piège, un mal dont l’homme ne peut se passer. De plus, la femme est cupide (v. 593-594) : c’est un des éléments liés aux sociétés antiques (grecque et romaine — à ses débuts).

En outre, l’homme peut tomber « sur une espèce de folle » (v. 610-611) : la femme est par nature un être non pas de raison, mais de passion (la folie étant l’état où la raison ne contrôle plus l’individu). Un des risques, c’est de tomber sur un être coupé du monde de la raison (dans l’évocation du mariage, Hésiode ne parle pas du contraire — une femme tombant sur un homme fou).

On trouve cette vision de la femme dépensière et dépourvue de raison comme moteur premier particulièrement dans les sociétés rurales.
Le mythe de Prométhée est donc chargé pour nous d’archaïsmes, et il est pourtant sans cesse réutilisé.

Camus en fait l’homme révolté. C’est une idéologie de gauche, aux antipodes de la société rurale traditionnelle !

Ce qui a fait resurgir le mythe, c’est le côté positif de Prométhée, qui revient à la charge pour aider les hommes, ses efforts pour essayer d’améliorer le camp des hommes.

C’est le thème de la révolte, des efforts toujours tournés vers l’avenir (le foie est reconstitué après avoir été dévoré : c’est une tentative pour refaire, pour reconstruire).

On parle souvent « d’homme prométhéen », qui se remet inlassablement à la tâche pour améliorer le sort des autres et leur faire reprendre espoir.

C’est un mythe qui a donc en lui des germes de courage, d’altruisme et d’espoir...

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