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La mémoire Permanente Distinctions, Encodage et Récupération
Encodage : enregistrement initial et acquisition dans de l’information. Stockage : maintien de l’information dans le système nerveux pendant une période (conçu comme trace mnésique). Plus la trace mnésique est importante plus l’information est facile à récupérer. Récupération : processus par lequel une information stocker devient conscient ou affecte le comportement en cours. Théorie de la force de la trace mnésique : il y a des conditions d’encodage qui facilite la trace, d’autre qui la diminue => principaux effets de performance mesurée selon différents tests mnésiques.
La trace va être plus ou moins forte. Plus la trace mnésique est importante plus elle permettra un souvenir complet de l’évènement mémorisé. Neisser : la mémoire est comparable à un paléontologue qui reconstitue un dinosaure (souvenir) à partir de fragment.
Illustration avec l’utilisation d’un portable lors de la conduite Strayer et Drews : pour mémoriser une information, il faut l’encoder « suffisamment ». Pour l’encoder, il faut suffisamment d’attention soit portée sur elle.
Mandler Point fondamental de la mise en mémoire : ce qui compte = CE QUE L’ON FAIT avec le matériel à apprendre et non ce que l’on a l’intention de faire. Les P. voient des mots reliés (présentés sur des cartes avec un mot sur chaque) G1 : apprendre les mots = apprentissage intentionnel G2 : trier les cartes en catégories (mettre ensembles les mots qui ont quelque chose en commun) = apprentissage incident G3 : trier les cartes en catégories + « on leur dit qu’un message leur sera fourni à un moment donnée et qu’il s’agira alors de se rappeler des mots » G4 : organiser les mots en colonnes. Rappel des mots : G qui a seulement organisé les mots sur la base de leur sens sans mention d’un rappel ultérieur = score de mémorisation aussi élevé que G. reçu la consigne de « se souvenir des mots » ou « de les organiser et s’en souvenir » Tous les G. on un score plus élevé que le groupe avec la simple consigne d’organiser les mots en colonne.
Hyde et Jenkins 4 groupes de participants : G1 mémoriser 24 mots = apprentissage intentionnel 16 mots sur 24 G2 compter le nombre de lettres 10 mots sur 24 G3 détecter la présence de E 9 mots sur 24 G4 juger les caractères plaisant / déplaisant des mots 16 mots sur 24
Nilsson Des étudiants apprennent une liste de mots. Aucune pression exercée pour apprendre correctement Instructions pour les motiver seulement avant le rappel et non avant l’apprentissage : prix substantiel. Existence d’un prix mentionné avant l’apprentissage. On observe par les résultats que le fait de gagner quelque chose ne suffit pas à bien apprendre malgré une motivation très forte.
Craik et Lockart Alternative aux théories structurelles de la mémoire. Plus on traite avec le traitement profond meilleurs est l’encodage Profondeur du traitement :
Retenir le système de mémoire n’est pas un système militaire et pour bien retenir les informations il faut faire un traitement profond. EXP Craik et Tulving Apprentissage incident Caractère visuelle => « le mot est-il en majuscule ? » Caractère phonétique => « le mot rime-t-il avec lion ? » Caractère sémantique => « le mot peut-il être insérer dans la phrase … » Résultats : le premier groupe a le score le plus faible = reconnaisse le moins de mot Le deuxième groupe a reconnu un peu plus de mots. Le troisième groupe a le score le plus élevé Plus le traitement est profond plus la trace en mémoire est efficace. Roger, Kuiper et Kirker Tâche d’orientation : liste de 40 adjectifs Tâche structurelle : « taille de l’adjectif » Tâche phonétique : « rime » Tâche sémantique : « synonyme » Tâche de référence de soi : « adapté à soi ? » Ensuite tâche de rappel Résultats : la tâche structural a des moins bonnes performances que que la phonétique ensuite les performances est la tâche sémantique. Mais les meilleurs résultats viennent de la tâche de référence à soi.
Si je refais un traitement superficielle, est ce que cela va améliorer mes capacités de mémoire. EXP Morris, Bransford et Franks T superficielle = « aigle rime avec seigle ? » T profond = aigle est un oiseau de grande taille Test de reconnaissance standard Test de reconnaissance de rime Résultat : Encodage phonétique + reconnaissance de rime = résultat identique et bon Encodage sémantique +reconnaissance de rime = mauvais résultat Il faut se mettre dans les mêmes conditions lors d’un encodage et lors de récupération.
Craik et Tulving Le processus d’encodage actif dans l’analyse sémantique est l’élaboration. Elaboration =
Contexte = informations présentent lors de l’encodage mais qui n’ont pas à être traitées.
Craik et Tulving : rappel de mots sur lesquels les part. Ont effectué une tâche d’orientation sémantique. Tâche d’orientation : décider si un mot peut être inséré Si le mot pomme est l’item sur lequel le sujet doit porter son jugement. Les phrases pourraient être : Simple : il a fait cuire la … Moyen : la … mûre avait un gout délicieux Elevé : le jeune homme a rapidement cueilli la grosse … pomme rouge. Plus on se pose de question meilleurs sont les résultats. Si simple, le nombre de mots rappelé est moins important. Complexité du contexte = élaboration plus riche et amélioration du rappel MAIS le rappel est affecté uniquement quand les mots jugé és par le sujet comme compatible avec la phrase présentée (réponse positive).
James : « celui qui réfléchit le plus sur ses expériences et tisse entre elles un réseau de relation systématiques aura la meilleure mémoire. Toute amélioration de la mémoire repose sur la faculté d’élaborer des associations »
Anderson Efficacité de l’élaboration liée à l’établissement d’un encodage spécifique au fait encodé = encodage DISTINCTIF. EXP Stein et Bransford Participants doivent mémoriser dix phrases comme « le gros homme a lu le panneau avertisseur »
Après l’étude : présentation des même phrase et demande l’adjectif qui allait dans la phrase. Observation :
La précision des élaborations est déterminante pour le rappel.
Tulving dit : ce qui est stocké est en mémoire = une combinaison d’information entre le matériel à apprendre et le contexte.
Apprendre peu et souvent EXP Baddeley et Longman Conseiller à la poste britannique un plan de formation de postier à la frappe sur un clavier. 4 apprentissages
Les deux fois une heure par jour amène à des meilleures performances que le une fois 2h par jour. Mais la pire des performances est deux fois deux heures par jour. Et une heure par jour ne suffit pas.
Etude sur la privatisation de sommeil chez les êtres humains : privatisation avec un processus de consolidation. [Encodage-stock-récupère] Les performances augmentent plusieurs jours après dans des tâches de discrimination visuelle malgré l’absence de pratique subséquente. On voit une amélioration : pas observé dans le groupe privé de sommeil la nuit immédiatement suivant l’apprentissage. Si l’on sent une rose pendant que l’on apprend une tâche et que l’on est exposé à la même odeur lors de son sommeil, cela aide à mieux enregistrer ce qui a été appris. Ce qu’on apprend la journée est consolidé la nuit. Les souvenirs sont réactivés pour devenir des souvenirs permanents.
Se représenter mentalement. Individus qui se rappellent une listes de 20noms à l’aide de cette technique = score de 72% pour ceux qui recourent à cette méthode.
Prendre la première lettre de chaque mot difficile et en faire un nouveau mot par exemple et en faire une phrase.
Reprendre les mots et les remettre dans une histoire.
Rappel pour P avec feedback environ 5fois supérieur que pour P sans feedback une semaine plus tard.
« Je l’ai en tête mais je n’arrive pas à y accéder » On ne peut pas tout apprendre et on peut aussi oublier.
Peut-on ne rien oublier ? Une patiente avait une mémoire prodigieuse du passé, elle se souvient de tout ce qu’elle a fait / ces souvenirs sont vifs à la manière d’un film. Mais très rare Bahrick L’oubli d’une langue étrangère est très rapide. Il faut donc réactiver les souvenirs.
Une mémoire peut être en mémoire mais non accessible. Mandler, Pearltone et Koopmans : liste de 100 mots à des participants pendants 5 essais consécutifs. Test de la rétention des mots soit par rappel, soit par reconnaissance Pour le rappel les participants rappels 38% des mots pour la reconnaissance 96%.
Oubli ou est-ce que ce terme n’est pas seulement réservé à une difficulté d’accessibilité à l’information ? [Connaitre les dates des théories]
Action du temps : difficile à établir avec des données comportementales Fluctuation des contextes : les changements de contexte peuvent expliquer, au moins en partie « l’amnésie infantile ». Ainsi par exemple, les jeunes enfants n’ont pas développé le langage et n’ont pas à leur disposition le contexte contextuel et linguistique qui existe chez l’adulte Interférences : lorsque les souvenirs sont similaires, les traces mnésiques correspondantes sont difficiles à distinguer. Il peut arriver ainsi que sur son lieu de travail on salue plusieurs fois la même personne dans la journée.
Indices = allusions ou indications qui peuvent être utilisées pour évoquer un item Efficacité des indices de récupération
Voir livre de Proust La madeleine de Proust : « souvenons-nous de l’épisode si connu de la madeleine »
C’est le fait de retourner dans l’environnement original réinstaure le contexte dans le lequel l’évènement a été encodé, ce qui facilite la récupération. « Lorsque que l’on part chercher un objet à la cuisine et que l’on oubli ce que l’on voulait une fois arriver » Contexte d’un stimulus = autres stimuli qui ont été présenté concomitamment. Plusieurs types de contexte :
EXP : un danseur avait pris des cours toujours dans le même lieu où il y avait un gros coffre. On observe que le coffre disparait et de se fait la performance du danseur a diminué, ne se souvient plus des pas.
EXP : apprendre des mots soit sur terre soit sous l’eau (encodage), lors de la phase de rappel la moitié des participant les rappels sur terre les autres sous l’eau.
EXP : soit le patient qui apprend est sain soit l’autre est alcoolisé La moitié des gens sain doivent rappeler, les autres doivent boire, inversement pour les alcooliser.
Données cliniques : sont en faveur de la dépendance mnésique à l’égard et aux états internes. « Un alcoolique se souvient mieux ou est la bouteille qu’il a caché quand il Ets alcoolisé » EXP : apprentissage sous cigarette et sous « pétard ». Pour le rappel on sépare en deux les deux groupes.
Miles et Hardman (1998) Dépendance mémorielle avec expériences cardio- vasculaires P. écoutaient une liste de mots présentés auditivement, soit en étant assis confortablement sur un vélo au repos, soit en pédalant jusqu’à ce que le rythme cardiaque augmente jusqu’à 120-150. On fait ensuite une pause Puis une tâche de rappel : soit au repos, soit après avoir pédalé jusqu’à atteindre le même rythme cardiaque. Quand l’état physiologique est le même on observe 20% d’amélioration en rappel. Eich, Macaulay et Ryan (1994) P. : générer des évènements de leur passé en réponse à des mots-indices comme « bateau », « rue »… L’état émotionnel induit avec la musique lors de l’encodage : plaisant versus déplaisant Rappel : deux jours après // plus élevé quand congruence des états émotionnels
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![]() | ![]() | «totale» avec la satisfaction de conserver le stock osseux en cas de changement nécessaire dans le futur | |
![]() | «serait hors d'état d'exprimer sa volonté et de recevoir l'information nécessaire à cette fin» | ![]() | «les technologies de l’information et de la communication». (que l’on qualifie volontiers de «nouvelles») |